29 Octobre-Matin.
Voici donc comment vous devez prier: Notre Père qui es aux cieux! Que ton nom soit sanctifié; {#Mt 6:9}
Cette prière commence par où toute véritable prière doit commencer, avec l’esprit "d’adoption": "Notre Père". Il n’y a pas de prière acceptable si nous ne pouvons dire "Je me lèverai et j’irai vers mon père". Cet esprit d’enfant perçoit bientôt la grandeur du Père "qui est aux cieux", et accède â la fervente adoration: "que ton nom soit sanctifié". L’enfant balbutiant "Abba Père" se transforme en chérubin proclamant: "Saint, Saint, Saint". Il n’y a qu’un pas de l”adoration extatique â l’ardent esprit missionnaire, qui est le résultat certain d’un amour filial et d’une adoration respectueuse. "Que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel".
Ensuite vient l’expression de dépendance envers Dieu: "Donne nous aujourd’hui, notre pain quotidien". Etant inspirés par l’Esprit, l’homme découvre que non seulement il est dépendant, mais aussi pêcheur et qu’il doit donc implorer miséricorde. "Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons â ceux qui nous ont offensé": étant pardonné, se réclamant de la justice de Christ et se sachant accepté de Dieu, il implore humblement pour une sainte persévérance.
"Ne nous induit pas en tentation". L’être humain qui est vraiment pardonné, désire ne pas commettre de nouvelles offenses. Le fait d’être justifié conduit â un anxieux besoin de sanctification. "Pardonne-nous nos offenses": c’est la justification, "Ne nous induit pas en tentation mais délivre nous du mal", c’est la sanctification sous sa forme négative et positive.
De tout ceci résulte cette louange triomphante: "Car c’est â toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire, Amen." Nous nous réjouissons que notre Roi règne en providence, qu’il règnera en source de grâce aux confins de la terre, et que son règne sera éternel. Ainsi, depuis le sentiment d’adoption jusqu’â la communion avec notre Seigneur dans son règne, ce court modèle de prière conduit l’âme. Seigneur, enseigne-nous â prier ainsi.
#Lu 19:1-20:47 * Lecture Quotidienne de la Bible
Horaire de la semaine
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dimanche 29 octobre 2017
Lecture du soir Spurgeon 28-10-2017
Sa tête est de l’or pur; Ses boucles sont flottantes, Noires comme le corbeau. {#So 5:11}
Toutes comparaisons sont impuissantes â décrire le Seigneur Jésus, mais l’époux est quand même ce qui peut le mieux le définir. Par la tête de Jésus nous pouvons comprendre sa divinité, "car la tête de Christ est Dieu" et alors le lingot d’or le plus pur est la métaphore la plus concevable, mais tout est trop pauvre pour décrire quelqu’un de si précieux, si pur, si cher â nos coeurs, si glorieux. Jésus n’est pas un grain d’or, mais un énorme globe d’or, une masse inestimable d’un trésor tel que la terre ne peut en posséder. Les créatures sont faites de fer et d’argile, elles périront toutes comme le bois, le foin, et le chaume, mais l’éternelle Tête vivante de la création de Dieu brillera pour toujours. Il n’y a en lui aucun mélange, ni la plus petite parcelle d’alliage. Il est â jamais infiniment saint et entièrement divin. Ses boucles flottantes représentent sa puissante vigueur. Il n’y a rien d’efféminé dans notre Bien-aimé. Il est le plus mâle des hommes. Puissant comme un lion, laborieux comme un boeuf, rapide comme un aigle. Chaque beauté concevable ou inconcevable se trouve en lui, et pourtant jadis il a été méprisé et repoussé des hommes. "Sa tête est de l’or pur; Ses boucles sont flottantes, Noires comme le corbeau". La gloire de sa tête est couronnée pour l’éternité d’une majesté sans pareil. Les cheveux noirs indiquent la fraîcheur de la jeunesse, car Jésus a sur lui la rosée de sa jeunesse. Les autres deviennent languissants avec l’âge, mais lui, il est â jamais un sacrificateur comme l’était Melchisédek; les autres vont et viennent, mais il demeure comme Dieu sur son trône, sur un monde sans fin. Nous le voyons, ce soir, et nous l’adorons. Les anges ont leur regard sur lui, son racheté ne doit pas détourner les yeux de lui. Où y aurait-il un tel Bien-aimé? O pour une communion d’une heure avec lui! Eloignez-vous, soucis importuns! Jésus m’appelle, et je cours vers lui.
samedi 28 octobre 2017
Lecture du matin Spurgeon 28-10-2017
28 Octobre-Matin.
Je vous ai choisis du milieu du monde. {#Joh 15:19}
Distinguons ici la grâce et une judicieuse estime; certains sont devenus les objets spéciaux de l’affection divine. Ne soyons pas effrayés de demeurer sur cette haute doctrine de l’élection. Si votre esprit est très lourd et déprimé, vous trouverez dans ce verset une bouteille de plus riche cordial. Ceux qui doutent des doctrines de la grâce, ou qui les rejettent dans l’ombre manquent les grappes les plus riches d’Eschcol; ils perdent les vins les plus raffinés, les nourritures pleines de moelle. Aucun baume dans Galaad n’est comparable â ces paroles. Si le miel dans le bois de Jonathan a éclairé les yeux, après avoir été seulement touché, c’est ici le miel qui éclairera votre coeur pour aimer et apprendre les mystères du royaume de Dieu. Mangez, sans peur d’un excès; vivez sur ce met de choix si délicat du choix, et ne craignez pas que ce soit une alimentation trop délicate. La viande de la table du Roi n’indisposera aucun des membres de la cour. Ayez le désir de voir s’élargir votre esprit, de façon que vous puissiez de mieux en mieux comprendre l’amour éternel, incessant et incomparable de Dieu. Lorsque vous aurez atteint le sommet de l’élection, vous pourrez porter votre regard sur l’autre sommet, qui est l’alliance de la grâce. Les engagements de l’alliance sont les fondements des rochers, prodigieux rocs derrière lesquels nous pouvons nous retrancher; les engagements de l’alliance avec leur garant, Jésus-Christ, sont de tranquilles lieux de repos pour les esprits effarouchés.
"Son serment, son alliance, son sang,
Me soutiennent au milieu des flots furieux;
Lorsque tout soutien terrestre se relâche,
C’est encore lâ que je trouve ma force".
Si Jésus a entrepris de m’amener â la gloire, et si le Père a promis qu’il me donnerait au Fils afin d’être une partie de la récompense infinie méritée par ses douleurs, alors, mon âme, tant que Dieu lui-même n’est pas infidèle, et jusqu’â ce que Jésus cesse d’être la vérité, tu es sauve.
Lorsque David a dansé devant l’arche, il a dit â Mical que c’était l’élection qui le faisait agir de la sorte. Viens, mon âme, exulte devant le Dieu de grâce et bondit â cause de la joie de ton coeur.
#Lu 17:1-18:43 * Lecture Quotidienne de la Bible
Je vous ai choisis du milieu du monde. {#Joh 15:19}
Distinguons ici la grâce et une judicieuse estime; certains sont devenus les objets spéciaux de l’affection divine. Ne soyons pas effrayés de demeurer sur cette haute doctrine de l’élection. Si votre esprit est très lourd et déprimé, vous trouverez dans ce verset une bouteille de plus riche cordial. Ceux qui doutent des doctrines de la grâce, ou qui les rejettent dans l’ombre manquent les grappes les plus riches d’Eschcol; ils perdent les vins les plus raffinés, les nourritures pleines de moelle. Aucun baume dans Galaad n’est comparable â ces paroles. Si le miel dans le bois de Jonathan a éclairé les yeux, après avoir été seulement touché, c’est ici le miel qui éclairera votre coeur pour aimer et apprendre les mystères du royaume de Dieu. Mangez, sans peur d’un excès; vivez sur ce met de choix si délicat du choix, et ne craignez pas que ce soit une alimentation trop délicate. La viande de la table du Roi n’indisposera aucun des membres de la cour. Ayez le désir de voir s’élargir votre esprit, de façon que vous puissiez de mieux en mieux comprendre l’amour éternel, incessant et incomparable de Dieu. Lorsque vous aurez atteint le sommet de l’élection, vous pourrez porter votre regard sur l’autre sommet, qui est l’alliance de la grâce. Les engagements de l’alliance sont les fondements des rochers, prodigieux rocs derrière lesquels nous pouvons nous retrancher; les engagements de l’alliance avec leur garant, Jésus-Christ, sont de tranquilles lieux de repos pour les esprits effarouchés.
"Son serment, son alliance, son sang,
Me soutiennent au milieu des flots furieux;
Lorsque tout soutien terrestre se relâche,
C’est encore lâ que je trouve ma force".
Si Jésus a entrepris de m’amener â la gloire, et si le Père a promis qu’il me donnerait au Fils afin d’être une partie de la récompense infinie méritée par ses douleurs, alors, mon âme, tant que Dieu lui-même n’est pas infidèle, et jusqu’â ce que Jésus cesse d’être la vérité, tu es sauve.
Lorsque David a dansé devant l’arche, il a dit â Mical que c’était l’élection qui le faisait agir de la sorte. Viens, mon âme, exulte devant le Dieu de grâce et bondit â cause de la joie de ton coeur.
#Lu 17:1-18:43 * Lecture Quotidienne de la Bible
vendredi 27 octobre 2017
Lecture du soir Spurgeon 27-10-2017
27 Octobre-Soir.
Nous sommes tous comme des impurs, {#Isa 64:6}
Le croyant est une nouvelle créature, il appartient â une génération sainte et â un peuple particulier: l’Esprit de Dieu est en lui, et en toutes choses il est très éloigné de l’homme naturel; mais le chrétien est encore un pécheur. Il en est ainsi â cause de l’imperfection de sa nature, et il continuera jusqu’â la fin de sa vie terrestre. Les doigts noirs du péché laissent des parcelles de suie sur nos vêtements les plus beaux. Le péché gâte notre repentir, avant que le grand Potier n’ait terminé son oeuvre, sur la roue. L’égoïsme empêche nos larmes, et l’incrédulité altère notre foi. La meilleure chose que nous puissions faire ne peut que gonfler le nombre de nos péchés, si le mérite de Jésus n’y est pas attaché; car lorsque nous avons été très purs selon notre propre vue, cependant, comme les cieux, nous ne sommes pas purs au regard de Dieu; et comme il a accusé ses anges de folie, bien plus il nous en accusera, même dans nos plus angéliques tournures d’esprit. La chanson qui monte vers le ciel, et qui cherche â être harmonieuse, contient en elle des dissonances humaines. La prière qui fait agir le bras de Dieu est encore une prière meurtrie et délabrée, et elle ne fait agir ce bras que parce que l’immaculé Un, le grand Médiateur, a décidé d’enlever le péché de notre supplication. La foi la plus pure, le plus haut degré de la sanctification qu’un chrétien n’ait jamais atteint sur terre, ont encore beaucoup de scories qui y sont contenues, et sont seulement dignes des flammes. Chaque fois que nous nous regardons dans une glace, nous voyons un pécheur, et nous avons besoin de confesser: "Nous sommes une chose impure, et toute notre justice n’est qu’un tas de chiffons sales". Oh, combien est précieux le sang de Christ pour des coeurs tels que les nôtres! Quel don inestimable est sa parfaite droiture! Et combien est brillant l’espoir de notre future parfaite sainteté! Même maintenant, bien que le péché demeure en nous, son pouvoir est brisé. Il n’a aucune autorité; il est un serpent écrasé; nous sommes dans un conflit amer avec lui, mais c’est avec un ennemi vaincu que nous avons â traiter. Encore un peu de temps, et nous entrerons victorieusement dans la ville où rien n’est souillé.
Nous sommes tous comme des impurs, {#Isa 64:6}
Le croyant est une nouvelle créature, il appartient â une génération sainte et â un peuple particulier: l’Esprit de Dieu est en lui, et en toutes choses il est très éloigné de l’homme naturel; mais le chrétien est encore un pécheur. Il en est ainsi â cause de l’imperfection de sa nature, et il continuera jusqu’â la fin de sa vie terrestre. Les doigts noirs du péché laissent des parcelles de suie sur nos vêtements les plus beaux. Le péché gâte notre repentir, avant que le grand Potier n’ait terminé son oeuvre, sur la roue. L’égoïsme empêche nos larmes, et l’incrédulité altère notre foi. La meilleure chose que nous puissions faire ne peut que gonfler le nombre de nos péchés, si le mérite de Jésus n’y est pas attaché; car lorsque nous avons été très purs selon notre propre vue, cependant, comme les cieux, nous ne sommes pas purs au regard de Dieu; et comme il a accusé ses anges de folie, bien plus il nous en accusera, même dans nos plus angéliques tournures d’esprit. La chanson qui monte vers le ciel, et qui cherche â être harmonieuse, contient en elle des dissonances humaines. La prière qui fait agir le bras de Dieu est encore une prière meurtrie et délabrée, et elle ne fait agir ce bras que parce que l’immaculé Un, le grand Médiateur, a décidé d’enlever le péché de notre supplication. La foi la plus pure, le plus haut degré de la sanctification qu’un chrétien n’ait jamais atteint sur terre, ont encore beaucoup de scories qui y sont contenues, et sont seulement dignes des flammes. Chaque fois que nous nous regardons dans une glace, nous voyons un pécheur, et nous avons besoin de confesser: "Nous sommes une chose impure, et toute notre justice n’est qu’un tas de chiffons sales". Oh, combien est précieux le sang de Christ pour des coeurs tels que les nôtres! Quel don inestimable est sa parfaite droiture! Et combien est brillant l’espoir de notre future parfaite sainteté! Même maintenant, bien que le péché demeure en nous, son pouvoir est brisé. Il n’a aucune autorité; il est un serpent écrasé; nous sommes dans un conflit amer avec lui, mais c’est avec un ennemi vaincu que nous avons â traiter. Encore un peu de temps, et nous entrerons victorieusement dans la ville où rien n’est souillé.
Lecture du matin Spurgeon 27-10-2017
27 Octobre-Matin.
Cette parole est certaine. {#2Ti 2:11}
Paul écrit quatre paroles certaines. La première se trouve dans #1Ti 1:15: "C’est une parole certaine et entièrement digne d’être reçue, que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier." La deuxième parole est dans #1Ti 4:8: "La pièté est utile â tout, ayant la promesse de la vie présente et de celle qui est â venir. C’est lâ une parole certaine et entièrement digne d’être reçue." La troisième est dans #2Ti 2:11-12: Cette parole est certaine: Si nous sommes morts avec lui, nous vivrons aussi avec lui; si nous persévérons, nous régnerons aussi avec lui; si nous le renions, lui aussi nous reniera." Et la quatrième est dans #Tite 3:8: "Cette parole est certaine, et je veux que tu affirmes ces choses, afin que ceux qui ont cru en Dieu s’appliquent â pratiquer de bonnes oeuvres. Voilâ ce qui est bon et utile aux hommes."
Nous pouvons tracer une suite dans ces paroles certaines. La première pose le fondement de notre salut éternel dans la grâce libre, gratuite, comme nous l’a montré le grand Rédempteur dans sa mission. La suivante nous affirme la double béatitude que nous recevons â travers ce salut: la miséricorde des sources supérieure et inférieure, du temps et de l’éternité. La troisième nous montre un des devoirs auquel le peuple choisi est appelé. Une promesse nous est donnée que lorsqu’il nous est ordonné de souffrir pour Christ, "si nous souffrons, nous régnerons aussi avec lui." La dernière nous décrit le service actif d’un chrétien nous invitant â faire de bonnes oeuvres avec application. Ainsi, nous avons le fondement du salut dans la grâce gratuite, libre. Ensuite, nous avons les privilèges de ce salut dans la vie présente et â venir; et nous avons aussi les deux grandes branches de souffrances avec Christ et de service avec Christ, étant comblés par les fruits de l’Esprit. Gardez soigneusement ces paroles certaines. Laissez-les guider votre vie, vous réconforter, vous instruire. Elles ont été éprouvées comme étant certaines par l’apôtre des Gentils, elles le sont toujours. Pas un mot ne tombera â terre; elles sont dignes d’acceptation. Que ces quatre paroles certaines soient sur les quatre angles de ma maison.
#Lu 14:1-16:31 * Lecture Quotidienne de la Bible
Cette parole est certaine. {#2Ti 2:11}
Paul écrit quatre paroles certaines. La première se trouve dans #1Ti 1:15: "C’est une parole certaine et entièrement digne d’être reçue, que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier." La deuxième parole est dans #1Ti 4:8: "La pièté est utile â tout, ayant la promesse de la vie présente et de celle qui est â venir. C’est lâ une parole certaine et entièrement digne d’être reçue." La troisième est dans #2Ti 2:11-12: Cette parole est certaine: Si nous sommes morts avec lui, nous vivrons aussi avec lui; si nous persévérons, nous régnerons aussi avec lui; si nous le renions, lui aussi nous reniera." Et la quatrième est dans #Tite 3:8: "Cette parole est certaine, et je veux que tu affirmes ces choses, afin que ceux qui ont cru en Dieu s’appliquent â pratiquer de bonnes oeuvres. Voilâ ce qui est bon et utile aux hommes."
Nous pouvons tracer une suite dans ces paroles certaines. La première pose le fondement de notre salut éternel dans la grâce libre, gratuite, comme nous l’a montré le grand Rédempteur dans sa mission. La suivante nous affirme la double béatitude que nous recevons â travers ce salut: la miséricorde des sources supérieure et inférieure, du temps et de l’éternité. La troisième nous montre un des devoirs auquel le peuple choisi est appelé. Une promesse nous est donnée que lorsqu’il nous est ordonné de souffrir pour Christ, "si nous souffrons, nous régnerons aussi avec lui." La dernière nous décrit le service actif d’un chrétien nous invitant â faire de bonnes oeuvres avec application. Ainsi, nous avons le fondement du salut dans la grâce gratuite, libre. Ensuite, nous avons les privilèges de ce salut dans la vie présente et â venir; et nous avons aussi les deux grandes branches de souffrances avec Christ et de service avec Christ, étant comblés par les fruits de l’Esprit. Gardez soigneusement ces paroles certaines. Laissez-les guider votre vie, vous réconforter, vous instruire. Elles ont été éprouvées comme étant certaines par l’apôtre des Gentils, elles le sont toujours. Pas un mot ne tombera â terre; elles sont dignes d’acceptation. Que ces quatre paroles certaines soient sur les quatre angles de ma maison.
#Lu 14:1-16:31 * Lecture Quotidienne de la Bible
jeudi 26 octobre 2017
Lecture du soir Spurgeon 26-10-2017
26 Octobre-Soir.
Tous les fleuves vont â la mer, et la mer n’est point remplie; ils continuent â aller vers le lieu où ils se dirigent. {#Ec 1:7}
Le mouvement est perpétuel, le temps ne connaît pas le repos. La terre solide est une balle qui roule, et le grand soleil lui-même est un astre qui suit docilement son cours autour d’autres plus grands luminaires. Les marées déplacent la mer, les vents excitent l’océan, qui vient frotter les rochers; le changement et la mort gouvernent partout. La mer n’est pas un entrepôt avare qui accumule une richesse d’eaux, car si par une force les eaux coulent en elle, par une autre elles en sont enlevées. Les hommes naissent, mais c’est pour mourir: tout est précipitation, souci, et contrariété d’esprit. Ami du Christ qui ne change pas, quelle joie que de pouvoir réfléchir â ton héritage immuable; ta mer de béatitude sera pleine â jamais, puisque Dieu lui-même versera des rivières éternelles de plaisir en elle. Nous cherchons une ville pour demeurer au-delâ des cieux, et nous ne serons pas déçu. Le passage qui est devant nous peut nous enseigner de la gratitude. Le Père Océan est un grand receveur, mais il est aussi un donateur généreux. Ce que les fleuves lui apportent revient â la terre sous forme de nuages et de pluie. L’homme qui n’est pas en contact avec l’univers prend tout, mais ne redonne rien. Donner aux autres c’est préparer de la semence pour nous-même. Celui qui est un bon intendant disposé â utiliser sa compétence pour son Seigneur, recevra beaucoup plus. Ami de Jésus, lui redonnes-tu en fonction des bienfaits que tu as reçus? Beaucoup de choses t’ont été données, quel est ton fruit? As-tu fait tout ce que tu pouvais? Ne peux-tu faire plus? Etre égoïste c’est être méchant. Supposons que l’océan ne nous abandonne plus aucune de ses richesses, ce serait la ruine de notre humanité. Dieu interdit qu’aucun de nous ne suive la politique non généreuse et destructrice de vivre sur lui-même. Jésus ne l’a lui-même pas voulu. Toute plénitude demeure en lui, mais de sa plénitude est venu tout ce que nous avons reçu. O pour l’Esprit de Jésus, que désormais nous puissions ne pas vivre sur nous-même!
Tous les fleuves vont â la mer, et la mer n’est point remplie; ils continuent â aller vers le lieu où ils se dirigent. {#Ec 1:7}
Le mouvement est perpétuel, le temps ne connaît pas le repos. La terre solide est une balle qui roule, et le grand soleil lui-même est un astre qui suit docilement son cours autour d’autres plus grands luminaires. Les marées déplacent la mer, les vents excitent l’océan, qui vient frotter les rochers; le changement et la mort gouvernent partout. La mer n’est pas un entrepôt avare qui accumule une richesse d’eaux, car si par une force les eaux coulent en elle, par une autre elles en sont enlevées. Les hommes naissent, mais c’est pour mourir: tout est précipitation, souci, et contrariété d’esprit. Ami du Christ qui ne change pas, quelle joie que de pouvoir réfléchir â ton héritage immuable; ta mer de béatitude sera pleine â jamais, puisque Dieu lui-même versera des rivières éternelles de plaisir en elle. Nous cherchons une ville pour demeurer au-delâ des cieux, et nous ne serons pas déçu. Le passage qui est devant nous peut nous enseigner de la gratitude. Le Père Océan est un grand receveur, mais il est aussi un donateur généreux. Ce que les fleuves lui apportent revient â la terre sous forme de nuages et de pluie. L’homme qui n’est pas en contact avec l’univers prend tout, mais ne redonne rien. Donner aux autres c’est préparer de la semence pour nous-même. Celui qui est un bon intendant disposé â utiliser sa compétence pour son Seigneur, recevra beaucoup plus. Ami de Jésus, lui redonnes-tu en fonction des bienfaits que tu as reçus? Beaucoup de choses t’ont été données, quel est ton fruit? As-tu fait tout ce que tu pouvais? Ne peux-tu faire plus? Etre égoïste c’est être méchant. Supposons que l’océan ne nous abandonne plus aucune de ses richesses, ce serait la ruine de notre humanité. Dieu interdit qu’aucun de nous ne suive la politique non généreuse et destructrice de vivre sur lui-même. Jésus ne l’a lui-même pas voulu. Toute plénitude demeure en lui, mais de sa plénitude est venu tout ce que nous avons reçu. O pour l’Esprit de Jésus, que désormais nous puissions ne pas vivre sur nous-même!
Lecture du matin Spurgeon 26-10-2017
26 Octobre-Matin.
Vous comptiez sur beaucoup, et voici, vous avez eu peu; Vous l’avez rentré chez vous, mais j’ai soufflé dessus. Pourquoi? dit l’Eternel des armées. A cause de ma maison, qui est détruite, Tandis que vous vous empressez chacun pour sa maison. {#Hag 1:9}
Les âmes grincheuses limitent leurs contributions aux ministères et aux actions missionnaires, et elles appellent cet argent épargné, une bonne économie; elles ne songent guère qu’elles s’appauvrissent elles-mêmes. Leur excuse est, qu’elles doivent se préoccuper de leurs familles et elles oublient que de négliger la maison de Dieu est un moyen sûr d’amener la ruine sur leur maison. Notre Dieu a une méthode providentielle avec laquelle il peut faire réussir nos efforts loin de nos suppositions, ou bien Il peut renverser nos projets et nous mettre dans la confusion et le désarroi. De sa main, Il peut guider notre barque dans un chenal avantageux ou nous faire échouer dans la pauvreté et la faillite. Les Ecritures nous enseignent que le Seigneur enrichit ceux qui donnent avec libéralité et Il laisse les gens avares découvrir que détenir, tend â la pauvreté. Dans un très large sens d’observation, j’ai remarqué que les chrétiens les plus généreux â ma connaissance ont toujours été les plus heureux, et presque invariablement les plus prospères. J’ai vu celui qui donne avec libéralité s’accroître en richesse bien au-delâ de ses rêves; et j’ai souvent vu le mesquin, peu généreux, descendre â la pauvreté par le même moyen que celui par lequel il pensait s’élever. Les hommes confient des sommes de plus en plus grandes aux bons gestionnaires et le Seigneur réagit fréquemment pareillement; il donne par brassées â ceux qui donnent par poignées. Lorsque les richesses ne sont pas nombreuses, le Seigneur change le peu en beaucoup par le contentement que le coeur sanctifié ressent. L’Egoïste met sa maison en premier, mais l’homme pieux recherche premièrement le royaume et la justice de Dieu. En fin de compte, l’égoïsme est perte et la piété est source de grand gain. On a besoin de la foi, d’agir avec une main ouverte vers notre Dieu. Il le mérite de notre part et tout ce que nous pouvons faire n’est qu’une faible reconnaissance de notre merveilleuse dette envers sa bonté.
#Lu 12:1-13:35 * Lecture Quotidienne de la Bible
Vous comptiez sur beaucoup, et voici, vous avez eu peu; Vous l’avez rentré chez vous, mais j’ai soufflé dessus. Pourquoi? dit l’Eternel des armées. A cause de ma maison, qui est détruite, Tandis que vous vous empressez chacun pour sa maison. {#Hag 1:9}
Les âmes grincheuses limitent leurs contributions aux ministères et aux actions missionnaires, et elles appellent cet argent épargné, une bonne économie; elles ne songent guère qu’elles s’appauvrissent elles-mêmes. Leur excuse est, qu’elles doivent se préoccuper de leurs familles et elles oublient que de négliger la maison de Dieu est un moyen sûr d’amener la ruine sur leur maison. Notre Dieu a une méthode providentielle avec laquelle il peut faire réussir nos efforts loin de nos suppositions, ou bien Il peut renverser nos projets et nous mettre dans la confusion et le désarroi. De sa main, Il peut guider notre barque dans un chenal avantageux ou nous faire échouer dans la pauvreté et la faillite. Les Ecritures nous enseignent que le Seigneur enrichit ceux qui donnent avec libéralité et Il laisse les gens avares découvrir que détenir, tend â la pauvreté. Dans un très large sens d’observation, j’ai remarqué que les chrétiens les plus généreux â ma connaissance ont toujours été les plus heureux, et presque invariablement les plus prospères. J’ai vu celui qui donne avec libéralité s’accroître en richesse bien au-delâ de ses rêves; et j’ai souvent vu le mesquin, peu généreux, descendre â la pauvreté par le même moyen que celui par lequel il pensait s’élever. Les hommes confient des sommes de plus en plus grandes aux bons gestionnaires et le Seigneur réagit fréquemment pareillement; il donne par brassées â ceux qui donnent par poignées. Lorsque les richesses ne sont pas nombreuses, le Seigneur change le peu en beaucoup par le contentement que le coeur sanctifié ressent. L’Egoïste met sa maison en premier, mais l’homme pieux recherche premièrement le royaume et la justice de Dieu. En fin de compte, l’égoïsme est perte et la piété est source de grand gain. On a besoin de la foi, d’agir avec une main ouverte vers notre Dieu. Il le mérite de notre part et tout ce que nous pouvons faire n’est qu’une faible reconnaissance de notre merveilleuse dette envers sa bonté.
#Lu 12:1-13:35 * Lecture Quotidienne de la Bible
samedi 21 octobre 2017
Lecture du matin Spurgeon 21-10-2017
21 Octobre-Matin.
Car l’amour de Christ nous presse, {#2Co 5:14}
Combien dois-tu â ton Seigneur? N’a-t-il jamais fait quelque chose pour toi? A-t-il pardonné tes péchés? T’a-t-il couvert du vêtement de sa justice? A-t-il posé ton pied sur un rocher? A-t-il établi ton départ? A-t-il préparé le ciel pour toi? T’a-t-il préparé pour le ciel? A-t-il écrit ton nom dans le livre de vie? T’a-t-il donné ses innombrables bénédictions? T’a-t-il comblé de bénédictions que les yeux ne peuvent voir et que les oreilles ne peuvent entendre? Alors fais quelque chose qui soit digne de l’amour de Jésus. Ne multiplie pas seulement des paroles â l’égard d’un Rédempteur qui serait un simple mortel. Que diras-tu quand ton Maître reviendra, si tu dois confesser que tu n’as rien fait pour lui, que tu as fait taire ton amour pour lui, que tu as été comme une mare d’eau stagnante qui n’a rien produit. Quel amour que celui-lâ! Que pensent les hommes d’un amour qui ne se manifeste pas d’une manière pratique? Pourquoi dit-on "réprimander ouvertement est mieux qu’aimer en secret". Qui acceptera un amour si faible, qui ne te pousse pas â un acte d’abnégation, de générosité, d’héroïsme, ou de zèle! Vois combien il t’a aimé et s’est donné lui-même pour toi! Connais-tu la puissance de son amour? Alors laisse cet amour être un vent miséricordieux et pressant pour ton âme afin de balayer le nuage de ta mondanité, et de nettoyer les brumes du péché. "Pour l’amour de Christ", c’est la langue de feu qui descend sur toi. "Pour l’amour de Christ, c’est l’extase divine, l’esprit divin qui te rendra hardi comme les lions et rapide comme les aigles dans ton service pour le Seigneur. L’amour doit donner des ailes aux pieds du serviteur, et de la force au bras du travailleur. Concentré sur Dieu de manière constante afin de ne pas s’ébranler, résolu de l’honorer avec la détermination de ne jamais faire demi-tour, et continuant avec une ardeur inlassable, manifestons envers Jésus les contraintes de l’amour. Puisse la divine pierre angulaire nous conduire â faire avancer son royaume.
#Lu 2:1-3:38 * Lecture Quotidienne de la Bible
Car l’amour de Christ nous presse, {#2Co 5:14}
Combien dois-tu â ton Seigneur? N’a-t-il jamais fait quelque chose pour toi? A-t-il pardonné tes péchés? T’a-t-il couvert du vêtement de sa justice? A-t-il posé ton pied sur un rocher? A-t-il établi ton départ? A-t-il préparé le ciel pour toi? T’a-t-il préparé pour le ciel? A-t-il écrit ton nom dans le livre de vie? T’a-t-il donné ses innombrables bénédictions? T’a-t-il comblé de bénédictions que les yeux ne peuvent voir et que les oreilles ne peuvent entendre? Alors fais quelque chose qui soit digne de l’amour de Jésus. Ne multiplie pas seulement des paroles â l’égard d’un Rédempteur qui serait un simple mortel. Que diras-tu quand ton Maître reviendra, si tu dois confesser que tu n’as rien fait pour lui, que tu as fait taire ton amour pour lui, que tu as été comme une mare d’eau stagnante qui n’a rien produit. Quel amour que celui-lâ! Que pensent les hommes d’un amour qui ne se manifeste pas d’une manière pratique? Pourquoi dit-on "réprimander ouvertement est mieux qu’aimer en secret". Qui acceptera un amour si faible, qui ne te pousse pas â un acte d’abnégation, de générosité, d’héroïsme, ou de zèle! Vois combien il t’a aimé et s’est donné lui-même pour toi! Connais-tu la puissance de son amour? Alors laisse cet amour être un vent miséricordieux et pressant pour ton âme afin de balayer le nuage de ta mondanité, et de nettoyer les brumes du péché. "Pour l’amour de Christ", c’est la langue de feu qui descend sur toi. "Pour l’amour de Christ, c’est l’extase divine, l’esprit divin qui te rendra hardi comme les lions et rapide comme les aigles dans ton service pour le Seigneur. L’amour doit donner des ailes aux pieds du serviteur, et de la force au bras du travailleur. Concentré sur Dieu de manière constante afin de ne pas s’ébranler, résolu de l’honorer avec la détermination de ne jamais faire demi-tour, et continuant avec une ardeur inlassable, manifestons envers Jésus les contraintes de l’amour. Puisse la divine pierre angulaire nous conduire â faire avancer son royaume.
#Lu 2:1-3:38 * Lecture Quotidienne de la Bible
vendredi 20 octobre 2017
Lecture du soir Spurgeon 20-10-2017
20 Octobre-Soir.
Ne retiens point! {#Isa 43:6}
Bien que ce message ait été envoyé dans le sud, et qu’il se rapportait â la postérité d’Israël, il peut nous être extrêmement profitable. Nous sommes naturellement attirés par toutes les bonnes choses, et c’est une leçon de grâce que d’apprendre â aller de l’avant dans les voies de Dieu. Lecteur, peut-être n’êtes-vous pas converti, mais vous désirez avoir confiance dans le Seigneur Jésus? Alors ne reculez pas. L’amour vous invite, les promesses vous assurent le succès, le sang précieux prépare le chemin. Ne laissez pas vos péchés ou vos craintes vous entraver, mais venez â Jésus tel que vous êtes. Voulez-vous prier? Est-ce que vous videriez votre coeur devant le Seigneur? "Ne retiens point!" Le propitiatoire est préparé pour celui qui a besoin de miséricorde; les larmes d’un pécheur prédomineront avec Dieu. Vous êtes invités, non, il vous est ordonné de prier, venez donc avec hardiesse au trône de la grâce. Ami, êtes-vous déjâ sauvé? Ne tournez alors pas le dos â l’union avec le peuple du Seigneur. Ne négligez pas les ordonnances du baptême et de la Sainte Cène. Vous pouvez être d’une humeur timide, mais vous devez lutter contre cela, de peur d’être conduit dans la désobéissance. Il y a une douce promesse qui est faite â ceux qui confessent Christ, ne la manquez en aucune manière, de peur que vous ne veniez sous la condamnation de ceux qui le nient. Si vous avez des talents, gardez-vous de ne pas les utiliser. Ne réservez pas votre richesse, ne gaspillez pas votre temps; ne permettez pas â vos capacités de rouiller ou â votre influence d’être inutilisée. Jésus n’a rien retenu, imitez-le par votre abnégation et votre dévouement. Ne vous détournez pas d’une intime communion avec Dieu, appropriez-vous courageusement les bénédictions de l’alliance, avancez dans la vie divine, furetez dans les mystères précieux de l’amour de Christ. Et puis, bien-aimé ami, ne soyez pas coupable de retenir les autres par votre froideur, votre dureté, ou votre suspicion. Avancez pour l’amour de Jésus, allez de l’avant, et encouragez les autres â en faire de même. L’enfer, les liens de la superstition et l’infidélité sont prêts pour le combat. O soldats de la croix, ne reculez pas.
Ne retiens point! {#Isa 43:6}
Bien que ce message ait été envoyé dans le sud, et qu’il se rapportait â la postérité d’Israël, il peut nous être extrêmement profitable. Nous sommes naturellement attirés par toutes les bonnes choses, et c’est une leçon de grâce que d’apprendre â aller de l’avant dans les voies de Dieu. Lecteur, peut-être n’êtes-vous pas converti, mais vous désirez avoir confiance dans le Seigneur Jésus? Alors ne reculez pas. L’amour vous invite, les promesses vous assurent le succès, le sang précieux prépare le chemin. Ne laissez pas vos péchés ou vos craintes vous entraver, mais venez â Jésus tel que vous êtes. Voulez-vous prier? Est-ce que vous videriez votre coeur devant le Seigneur? "Ne retiens point!" Le propitiatoire est préparé pour celui qui a besoin de miséricorde; les larmes d’un pécheur prédomineront avec Dieu. Vous êtes invités, non, il vous est ordonné de prier, venez donc avec hardiesse au trône de la grâce. Ami, êtes-vous déjâ sauvé? Ne tournez alors pas le dos â l’union avec le peuple du Seigneur. Ne négligez pas les ordonnances du baptême et de la Sainte Cène. Vous pouvez être d’une humeur timide, mais vous devez lutter contre cela, de peur d’être conduit dans la désobéissance. Il y a une douce promesse qui est faite â ceux qui confessent Christ, ne la manquez en aucune manière, de peur que vous ne veniez sous la condamnation de ceux qui le nient. Si vous avez des talents, gardez-vous de ne pas les utiliser. Ne réservez pas votre richesse, ne gaspillez pas votre temps; ne permettez pas â vos capacités de rouiller ou â votre influence d’être inutilisée. Jésus n’a rien retenu, imitez-le par votre abnégation et votre dévouement. Ne vous détournez pas d’une intime communion avec Dieu, appropriez-vous courageusement les bénédictions de l’alliance, avancez dans la vie divine, furetez dans les mystères précieux de l’amour de Christ. Et puis, bien-aimé ami, ne soyez pas coupable de retenir les autres par votre froideur, votre dureté, ou votre suspicion. Avancez pour l’amour de Jésus, allez de l’avant, et encouragez les autres â en faire de même. L’enfer, les liens de la superstition et l’infidélité sont prêts pour le combat. O soldats de la croix, ne reculez pas.
Lecture du matin Spurgeon 20-10-2017
20 Octobre-Matin.
Nous croîtrons â tous égards en celui qui est le chef, Christ. {#Eph 4:15}
Beaucoup de chrétiens restent chétifs et écrasés dans les choses spirituelles, et présentent ainsi la même apparence année après année. Aucun signe de progrès et de perfections ne se manifeste en eux. Ils existent mais ne "grandissent pas en lui en toute chose". Devrions-nous nous contenter de rester dans la "pousse verte" lorsqu’il nous faut avancer vers "l’épi" et éventuellement mûrir comme les "grains entiers de l’épi"? Devrions-nous être satisfaits de croire en Christ et dire "je suis en sécurité", sans vouloir en savoir davantage, dans notre propre expérience, sur l’abondance qui se trouve en lui? Il ne ne devrait pas en être ainsi; nous devrions, comme de bons commerçants sur le marché céleste, aspirer â l’enrichissement par la connaissance de Jésus. Il est certes bon de surveiller les vignes des autres, mais nous ne devrions pas négliger notre propre croissance et notre maturation spirituelle. Pourquoi l’hiver devrait-il toujours être la saison de notre coeur? Nous devrions avoir notre temps de semence, pendant le printemps, ce qui nous permettra en été d’être les premiers â récolter. Si nous mûrissons dans la grâce, nous devrions vivre près de Jésus dans sa présence, mûris par la lumière du soleil de ses sourires. Nous devrions garder une sainte communion avec lui. Nous devrions cesser d’être loin de sa face et nous en rapprocher, comme l’a fait Jean, et poser notre tête sur sa poitrine. C’est alors que nous progresserons dans la sainteté, l’amour, la foi, l’espérance et les dons précieux.
Le soleil se lève d’abord sur les montagnes, les éclaire de sa lumière, et présente ainsi aux yeux des voyageurs la vue la plus charmante. La plus merveilleuse des contemplations dans le monde est le rayonnement de l’Esprit sur la tête de certains saints qui sont élevés dans la stature spirituelle, comme Paul, bien au-dessus de ses compagnons. Nous avons lâ comme une imposante montagne, couronnée de neige, qui reflète parmi les élus, les rayons du soleil de justice, et porte au loin cette lumière, pour que ceux qui la regardent puissent glorifier le Père qui est dans les cieux.
#Lu 1:1-1:80 * Lecture Quotidienne de la Bible
Nous croîtrons â tous égards en celui qui est le chef, Christ. {#Eph 4:15}
Beaucoup de chrétiens restent chétifs et écrasés dans les choses spirituelles, et présentent ainsi la même apparence année après année. Aucun signe de progrès et de perfections ne se manifeste en eux. Ils existent mais ne "grandissent pas en lui en toute chose". Devrions-nous nous contenter de rester dans la "pousse verte" lorsqu’il nous faut avancer vers "l’épi" et éventuellement mûrir comme les "grains entiers de l’épi"? Devrions-nous être satisfaits de croire en Christ et dire "je suis en sécurité", sans vouloir en savoir davantage, dans notre propre expérience, sur l’abondance qui se trouve en lui? Il ne ne devrait pas en être ainsi; nous devrions, comme de bons commerçants sur le marché céleste, aspirer â l’enrichissement par la connaissance de Jésus. Il est certes bon de surveiller les vignes des autres, mais nous ne devrions pas négliger notre propre croissance et notre maturation spirituelle. Pourquoi l’hiver devrait-il toujours être la saison de notre coeur? Nous devrions avoir notre temps de semence, pendant le printemps, ce qui nous permettra en été d’être les premiers â récolter. Si nous mûrissons dans la grâce, nous devrions vivre près de Jésus dans sa présence, mûris par la lumière du soleil de ses sourires. Nous devrions garder une sainte communion avec lui. Nous devrions cesser d’être loin de sa face et nous en rapprocher, comme l’a fait Jean, et poser notre tête sur sa poitrine. C’est alors que nous progresserons dans la sainteté, l’amour, la foi, l’espérance et les dons précieux.
Le soleil se lève d’abord sur les montagnes, les éclaire de sa lumière, et présente ainsi aux yeux des voyageurs la vue la plus charmante. La plus merveilleuse des contemplations dans le monde est le rayonnement de l’Esprit sur la tête de certains saints qui sont élevés dans la stature spirituelle, comme Paul, bien au-dessus de ses compagnons. Nous avons lâ comme une imposante montagne, couronnée de neige, qui reflète parmi les élus, les rayons du soleil de justice, et porte au loin cette lumière, pour que ceux qui la regardent puissent glorifier le Père qui est dans les cieux.
#Lu 1:1-1:80 * Lecture Quotidienne de la Bible
jeudi 19 octobre 2017
Lecture du soir Spurgeon 19-10-2017
19 Octobre-Soir.
Mais nul ne dit: Où est Dieu, mon créateur, Qui inspire des chants d’allégresse pendant la nuit, {#Job 35:10}
Tout homme peut chanter le jour. Lorsque la coupe est pleine, l’homme en tire l’inspiration. Quand la richesse coule en abondance autour de lui, tout homme peut louer le Dieu qui donne une moisson abondante ou envoie vers sa demeure un navire lourdement chargé. Il est assez facile pour une harpe éolienne d’émettre de la musique quand les vents soufflent; la difficulté est d’exprimer cette musique lorsqu’il n’y a aucun souffle de vent. Il est facile de chanter quand nous pouvons lire les notes â la lumière du jour; mais il est plus habile celui qui chante quand il n’y a pas la moindre lumière: celui qui chante de mémoire. Nul homme ne peut de lui-même créer de chant d’allégresse pendant la nuit; il peut essayer, mais il découvrira qu’un chant de la nuit doit être divinement inspiré. Que toutes choses aillent bien, et je peux alors composer des chants, les façonnant d’après les fleurs qui poussent sur mon sentier; mais mettez-moi dans un désert, lâ où ne pousse aucune verdure, et avec quoi pourrai-je tisser un cantique de louange â Dieu? Comment est-ce qu’un homme mortel fera une couronne pour le Seigneur lâ où il n’y a aucun bijou? Permettez â ma voix d’être claire, et â tout mon corps d’être rempli de santé, et je peux alors chanter la louange de Dieu; mais si ma langue est paralysée, si je suis couché sur un lit de douleur, comment pourrai-je alors faire monter mes louanges vers Dieu, si ce n’est lui-même qui ne m’inspire le chant? Non, il n’est pas dans le pouvoir de l’homme de chanter quand tout lui est contraire, â moins qu’une braise de l’autel ne touche sa lèvre. C’était une chanson divine, qu’Habakuk a chanté, quand dans la nuit il a dit: "Car le figuier ne fleurira pas, la vigne ne produira rien, le fruit de l’olivier manquera, les champs ne donneront pas de nourriture, les brebis disparaîtront du pâturage, et il n’y aura plus de boeufs dans les étables. Toutefois je veux me réjouir en l’Eternel, je veux me réjouir dans le Dieu de mon salut". Alors, puisque notre Créateur donne des chants dans la nuit, attendons-nous â lui pour sa musique. O toi, le musicien principal, ne nous laisse pas sans voix parce que la détresse est sur nous, mais ouvre nos lèvres pour une mélodie d’actions de grâces.
Mais nul ne dit: Où est Dieu, mon créateur, Qui inspire des chants d’allégresse pendant la nuit, {#Job 35:10}
Tout homme peut chanter le jour. Lorsque la coupe est pleine, l’homme en tire l’inspiration. Quand la richesse coule en abondance autour de lui, tout homme peut louer le Dieu qui donne une moisson abondante ou envoie vers sa demeure un navire lourdement chargé. Il est assez facile pour une harpe éolienne d’émettre de la musique quand les vents soufflent; la difficulté est d’exprimer cette musique lorsqu’il n’y a aucun souffle de vent. Il est facile de chanter quand nous pouvons lire les notes â la lumière du jour; mais il est plus habile celui qui chante quand il n’y a pas la moindre lumière: celui qui chante de mémoire. Nul homme ne peut de lui-même créer de chant d’allégresse pendant la nuit; il peut essayer, mais il découvrira qu’un chant de la nuit doit être divinement inspiré. Que toutes choses aillent bien, et je peux alors composer des chants, les façonnant d’après les fleurs qui poussent sur mon sentier; mais mettez-moi dans un désert, lâ où ne pousse aucune verdure, et avec quoi pourrai-je tisser un cantique de louange â Dieu? Comment est-ce qu’un homme mortel fera une couronne pour le Seigneur lâ où il n’y a aucun bijou? Permettez â ma voix d’être claire, et â tout mon corps d’être rempli de santé, et je peux alors chanter la louange de Dieu; mais si ma langue est paralysée, si je suis couché sur un lit de douleur, comment pourrai-je alors faire monter mes louanges vers Dieu, si ce n’est lui-même qui ne m’inspire le chant? Non, il n’est pas dans le pouvoir de l’homme de chanter quand tout lui est contraire, â moins qu’une braise de l’autel ne touche sa lèvre. C’était une chanson divine, qu’Habakuk a chanté, quand dans la nuit il a dit: "Car le figuier ne fleurira pas, la vigne ne produira rien, le fruit de l’olivier manquera, les champs ne donneront pas de nourriture, les brebis disparaîtront du pâturage, et il n’y aura plus de boeufs dans les étables. Toutefois je veux me réjouir en l’Eternel, je veux me réjouir dans le Dieu de mon salut". Alors, puisque notre Créateur donne des chants dans la nuit, attendons-nous â lui pour sa musique. O toi, le musicien principal, ne nous laisse pas sans voix parce que la détresse est sur nous, mais ouvre nos lèvres pour une mélodie d’actions de grâces.
Lecture du matin Spurgeon 19-10-2017
19 Octobre-Matin.
Comme â des enfants en Christ. {#1Co 3:1}
Pleurez-vous, croyant, parce que vous êtes si faible dans votre vie chrétienne: parce que votre foi est si petite, votre amour si faible? Prenez courage: vous avez droit â la reconnaissance. Rappelez-vous que pour certaines choses vous valez les plus grands et les plus affermis des chrétiens. Vous avez été aussi bien racheté par le sang qu’eux. Vous êtes aussi bien un enfant adopté par Dieu que tout autre croyant. Il est aussi vrai qu’un bébé est l’enfant de ses parents autant que l’adulte. De même, vous êtes totalement justifié, car la justification n’est pas une affaire de degrés: votre petite foi a effacé tous vos péchés. Vous avez autant droit aux biens précieux de la promesse que les croyants les plus avancés, car votre droit aux choses promises ne repose pas sur votre croissance, mais dans la promesse elle-même; et votre foi en Jésus n’est pas la mesure, mais c’est la marque de votre héritage en lui. Vous avez autant de richesses que les plus riches, et même si on ne les ressent pas toujours, elles sont pourtant réelles. La plus petite étoile qui brille est placée dans le ciel, le plus faible rayon de lumière a une affinité avec le grand astre du jour. Dans le registre familial de la gloire, les plus petits et les plus grands sont inscrits avec le même crayon. Vous êtes aussi cher au coeur de votre Père que le plus grand de la famille. Jésus est très tendre envers vous. Vous êtes comme une mèche qui brûle. Un esprit plus rude dirait: "Eteignez cette mèche, elle emplit la pièce d’une odeur nauséabonde", mais il n’ira pas éteindre la mèche. Vous êtes comme un roseau courbé, et une main moins tendre que celle du Chef d’Orchestre vous écraserait ou vous jetterait, mais "il" ne cassera jamais le roseau courbé. Au lieu d’être abattu â cause de ce que vous êtes, vous devriez triompher en Christ; Suis-je seulement médiocre en Israël? Pourtant en Christ, je suis fait pour prendre place dans les cieux. Je n’ai qu’une pauvre foi? Cependant en Jésus, je suis l’héritier de toutes choses. Cependant, je ne peux me vanter de rien du tout, et ne peux que confesser ma vanité. Même si les racines du problème sont en moi, je me réjouirai en mon Seigneur et je me glorifierai dans le Dieu de mon Salut.
#Mr 14:1-16:20 * Lecture Quotidienne de la Bible
Comme â des enfants en Christ. {#1Co 3:1}
Pleurez-vous, croyant, parce que vous êtes si faible dans votre vie chrétienne: parce que votre foi est si petite, votre amour si faible? Prenez courage: vous avez droit â la reconnaissance. Rappelez-vous que pour certaines choses vous valez les plus grands et les plus affermis des chrétiens. Vous avez été aussi bien racheté par le sang qu’eux. Vous êtes aussi bien un enfant adopté par Dieu que tout autre croyant. Il est aussi vrai qu’un bébé est l’enfant de ses parents autant que l’adulte. De même, vous êtes totalement justifié, car la justification n’est pas une affaire de degrés: votre petite foi a effacé tous vos péchés. Vous avez autant droit aux biens précieux de la promesse que les croyants les plus avancés, car votre droit aux choses promises ne repose pas sur votre croissance, mais dans la promesse elle-même; et votre foi en Jésus n’est pas la mesure, mais c’est la marque de votre héritage en lui. Vous avez autant de richesses que les plus riches, et même si on ne les ressent pas toujours, elles sont pourtant réelles. La plus petite étoile qui brille est placée dans le ciel, le plus faible rayon de lumière a une affinité avec le grand astre du jour. Dans le registre familial de la gloire, les plus petits et les plus grands sont inscrits avec le même crayon. Vous êtes aussi cher au coeur de votre Père que le plus grand de la famille. Jésus est très tendre envers vous. Vous êtes comme une mèche qui brûle. Un esprit plus rude dirait: "Eteignez cette mèche, elle emplit la pièce d’une odeur nauséabonde", mais il n’ira pas éteindre la mèche. Vous êtes comme un roseau courbé, et une main moins tendre que celle du Chef d’Orchestre vous écraserait ou vous jetterait, mais "il" ne cassera jamais le roseau courbé. Au lieu d’être abattu â cause de ce que vous êtes, vous devriez triompher en Christ; Suis-je seulement médiocre en Israël? Pourtant en Christ, je suis fait pour prendre place dans les cieux. Je n’ai qu’une pauvre foi? Cependant en Jésus, je suis l’héritier de toutes choses. Cependant, je ne peux me vanter de rien du tout, et ne peux que confesser ma vanité. Même si les racines du problème sont en moi, je me réjouirai en mon Seigneur et je me glorifierai dans le Dieu de mon Salut.
#Mr 14:1-16:20 * Lecture Quotidienne de la Bible
mercredi 18 octobre 2017
Lecture du soir Spurgeon 18-10-2017
18 Octobre-Soir.
Voici, l’obéissance vaut mieux que les sacrifices, {#1Sa 15:22}
Saül avait reçu l’ordre de tuer tous les Amalécites et leur bétail. Au lieu de faire cela, il a préservé le roi, et a accepté que son peuple prenne les meilleurs boeufs et les plus belles brebis. Quand il fut appelé â se justifier, il a déclaré qu’il l’avait fait dans le but d’offrir un sacrifice â Dieu; mais Samuel lui fait découvrir immédiatement que les sacrifices n’étaient pas une excuse valable pour un acte de franche rébellion. La phrase qui est devant nous est digne d’être imprimée en lettres d’or, et d’être accrochée devant les yeux de la présente génération idolâtre, qui est très poussée vers les parures du culte, mais totalement négligente des lois de Dieu. Que cela reste â jamais dans votre souvenir: de rester strictement dans le sentier des ordres de votre Sauveur est bien meilleur que toute forme extérieure de religion; et que d’écouter â son précepte avec une oreille attentive est meilleur que d’apporter la graisse des béliers, ou toute autre chose précieuse posée sur son autel. Si vous n’observez pas le moindre des ordres de Christ â ses disciples, je prie pour que vous ne soyez pas plus longtemps désobéissants. Toutes les prétentions que vous exposez sur votre attachement â votre Maître, et toutes les actions dévotes que vous pouvez réaliser, ne sont pas des récompenses pour la désobéissance. "Obéir," même dans la plus légère et la plus petite des choses, "vaut mieux que les sacrifices", même les plus spectaculaires. Pourquoi des chants Grégoriens, des robes somptueuses, de l’encens, et des bannières? La première chose que Dieu exige de son enfant est l’obéissance; et bien que vous puissiez livrer votre corps aux flammes, et tous vos biens pour nourrir le pauvre, si vous n’écoutez pas les préceptes du Seigneur, toutes ces choses ne vous seront d’aucun profit. C’est une chose bénie que d’être enseigné comme un petit enfant, mais c’est une chose encore plus bénie lorsque quelqu’un a appris la leçon, et la met en pratique. Combien ornent leurs temples et décorent leurs prêtres, mais refusent d’obéir â la parole du Seigneur! Mon âme, que cela ne soit pas ta manière d’agir.
Voici, l’obéissance vaut mieux que les sacrifices, {#1Sa 15:22}
Saül avait reçu l’ordre de tuer tous les Amalécites et leur bétail. Au lieu de faire cela, il a préservé le roi, et a accepté que son peuple prenne les meilleurs boeufs et les plus belles brebis. Quand il fut appelé â se justifier, il a déclaré qu’il l’avait fait dans le but d’offrir un sacrifice â Dieu; mais Samuel lui fait découvrir immédiatement que les sacrifices n’étaient pas une excuse valable pour un acte de franche rébellion. La phrase qui est devant nous est digne d’être imprimée en lettres d’or, et d’être accrochée devant les yeux de la présente génération idolâtre, qui est très poussée vers les parures du culte, mais totalement négligente des lois de Dieu. Que cela reste â jamais dans votre souvenir: de rester strictement dans le sentier des ordres de votre Sauveur est bien meilleur que toute forme extérieure de religion; et que d’écouter â son précepte avec une oreille attentive est meilleur que d’apporter la graisse des béliers, ou toute autre chose précieuse posée sur son autel. Si vous n’observez pas le moindre des ordres de Christ â ses disciples, je prie pour que vous ne soyez pas plus longtemps désobéissants. Toutes les prétentions que vous exposez sur votre attachement â votre Maître, et toutes les actions dévotes que vous pouvez réaliser, ne sont pas des récompenses pour la désobéissance. "Obéir," même dans la plus légère et la plus petite des choses, "vaut mieux que les sacrifices", même les plus spectaculaires. Pourquoi des chants Grégoriens, des robes somptueuses, de l’encens, et des bannières? La première chose que Dieu exige de son enfant est l’obéissance; et bien que vous puissiez livrer votre corps aux flammes, et tous vos biens pour nourrir le pauvre, si vous n’écoutez pas les préceptes du Seigneur, toutes ces choses ne vous seront d’aucun profit. C’est une chose bénie que d’être enseigné comme un petit enfant, mais c’est une chose encore plus bénie lorsque quelqu’un a appris la leçon, et la met en pratique. Combien ornent leurs temples et décorent leurs prêtres, mais refusent d’obéir â la parole du Seigneur! Mon âme, que cela ne soit pas ta manière d’agir.
Lecture du matin Spurgeon 18-10-2017
18 Octobre-Matin.
Et tes sentiers versent l’abondance; {#Ps 65:11}
Nombreux sont "les sentiers du Seigneur" qui apportent l’abondance, mais il en est un en particulier, c’est le "sentier de la prière". Aucun croyant, qui est vraiment dans le secret, n’aura besoin de crier: "ma maigreur, ma maigreur, pauvre de moi". Les âmes affamées vivent â distance du trône de la miséricorde et deviennent des champs brûlés en temps de sécheresse. La prédominance avec Dieu combattant dans la prière est sûre pour affermir le croyant, sinon de le rendre heureux. La place la plus proche de la porte des Cieux est le trône de la grâce céleste. Plus de temps passé dans sa présence, et vous aurez plus d’assurance; peu de temps passé avec Jésus, et votre religion sera superficielle, polluée par de nombreux doutes, de peurs, et ne pétillera pas de la joie du Seigneur. Parce que le sentier de la prière qui enrichit l’âme est ouvert au plus faible des saints, parce qu’aucune grande réalisation n’est demandée, parce que vous êtes librement invité. Assurez-vous, cher lecteur, que vous êtes souvent sur le sentier de la dévotion privée. Soyez souvent agenouillé, car c’est ainsi qu’Elisée fit pleuvoir sur les terres desséchées d’Israël. Il y a un autre sentier spécial abondant pour ceux qui y marchent, c’est la marche secrète de la communion. Oh! Les délices de la communion avec Jésus! Le monde n’a pas de paroles qui puissent donner le calme saint d’une âme qui s’appuie sur la poitrine de Jésus. Peu de chrétiens comprennent cela, ils vivent dans les basses terres et grimpent rarement au sommet du Mont Nebo: ils vivent dans la cour extérieure, ils n’entrent pas dans le Saint Lieu, ils refusent les privilèges du sacerdoce. Ils assistent de loin au sacrifice, ils ne se mettent pas â table avec les sacrificateurs, pour se délecter de l’holocauste. Mais, lecteur, assieds-toi toujours â l’ombre de Jésus, approche-toi du palmier, et saisis-toi de ses branches; que ton bien aimé soit en toi comme le pommier est parmi les arbres de la forêt, et tu seras satisfait avec la moelle et la graisse. O Jésus, visite nous avec ton salut!
#Mr 12:1-13:37 * Lecture Quotidienne de la Bible
Et tes sentiers versent l’abondance; {#Ps 65:11}
Nombreux sont "les sentiers du Seigneur" qui apportent l’abondance, mais il en est un en particulier, c’est le "sentier de la prière". Aucun croyant, qui est vraiment dans le secret, n’aura besoin de crier: "ma maigreur, ma maigreur, pauvre de moi". Les âmes affamées vivent â distance du trône de la miséricorde et deviennent des champs brûlés en temps de sécheresse. La prédominance avec Dieu combattant dans la prière est sûre pour affermir le croyant, sinon de le rendre heureux. La place la plus proche de la porte des Cieux est le trône de la grâce céleste. Plus de temps passé dans sa présence, et vous aurez plus d’assurance; peu de temps passé avec Jésus, et votre religion sera superficielle, polluée par de nombreux doutes, de peurs, et ne pétillera pas de la joie du Seigneur. Parce que le sentier de la prière qui enrichit l’âme est ouvert au plus faible des saints, parce qu’aucune grande réalisation n’est demandée, parce que vous êtes librement invité. Assurez-vous, cher lecteur, que vous êtes souvent sur le sentier de la dévotion privée. Soyez souvent agenouillé, car c’est ainsi qu’Elisée fit pleuvoir sur les terres desséchées d’Israël. Il y a un autre sentier spécial abondant pour ceux qui y marchent, c’est la marche secrète de la communion. Oh! Les délices de la communion avec Jésus! Le monde n’a pas de paroles qui puissent donner le calme saint d’une âme qui s’appuie sur la poitrine de Jésus. Peu de chrétiens comprennent cela, ils vivent dans les basses terres et grimpent rarement au sommet du Mont Nebo: ils vivent dans la cour extérieure, ils n’entrent pas dans le Saint Lieu, ils refusent les privilèges du sacerdoce. Ils assistent de loin au sacrifice, ils ne se mettent pas â table avec les sacrificateurs, pour se délecter de l’holocauste. Mais, lecteur, assieds-toi toujours â l’ombre de Jésus, approche-toi du palmier, et saisis-toi de ses branches; que ton bien aimé soit en toi comme le pommier est parmi les arbres de la forêt, et tu seras satisfait avec la moelle et la graisse. O Jésus, visite nous avec ton salut!
#Mr 12:1-13:37 * Lecture Quotidienne de la Bible
mardi 17 octobre 2017
Lecture du soir Spurgeon 17-10-2017
17 Octobre-Soir.
Comme un berger, il paîtra son troupeau, Il prendra les agneaux dans ses bras, {#Isa 40:11}
Notre bon Berger a dans son troupeau une grande variété d’expériences, quelques-uns sont forts dans le Seigneur, et d’autres sont faibles dans la foi, mais il est impartial dans ses soins envers toutes ses brebis, et l’agneau le plus faible lui est aussi cher que le plus avancé du troupeau. Les agneaux ont coutume de traîner â l’arrière, prompts â divaguer, et prêts â être fatigués, mais le Seigneur les protège de tout danger par son bras puissant. Il trouve les âmes qui viennent â la vie, comme de jeunes agneaux, prêtes â périr: il les nourrit jusqu’â ce que leur vie soit pleine de vigueur; il trouve des esprits faibles prêts â s’évanouir et mourir: il les console et renouvelle leur force. Il rassemble tous les faibles, car ce n’est pas la volonté de notre Père céleste que l’un d’eux ne périsse. Quel regard rapide il doit avoir pour les voir toutes! Quel coeur tendre pour s’occuper de toutes ces brebis! Quel bras puissant pour les rassembler toutes! Pendant sa vie sur la terre il fut un grand rassembleur des faibles de toutes sortes, et maintenant qu’il demeure dans les cieux, son coeur affectueux est tourné vers le doux et le contrit, le timide et le faible, tous ceux qui sont malheureux ici-bas. Et combien gentiment il m’a uni â lui-même, â sa vérité, â son sang, â son amour, â son église! Avec quelle grâce efficace il m’a contraint de venir â lui! Depuis ma première conversion, il m’a fréquemment repris dans mes errances, et m’a remis de nouveau dans le cercle de ses bras éternels! Le meilleur de tout cela est qu’il fait tout lui-même en personne, ne déléguant pas son oeuvre d’amour, mais condescendant â lui-même secourir et préserver ses serviteurs les plus indignes. Comment pourrai-je l’aimer assez ou le servir dignement? Je voudrais que son grand nom soit connu sur toute la terre, mais que peut faire ma faiblesse pour lui? Grand Berger, ajoute â tes miséricordes celle que je te demande: un coeur pour t’aimer encore plus sincèrement que je ne le fais.
Comme un berger, il paîtra son troupeau, Il prendra les agneaux dans ses bras, {#Isa 40:11}
Notre bon Berger a dans son troupeau une grande variété d’expériences, quelques-uns sont forts dans le Seigneur, et d’autres sont faibles dans la foi, mais il est impartial dans ses soins envers toutes ses brebis, et l’agneau le plus faible lui est aussi cher que le plus avancé du troupeau. Les agneaux ont coutume de traîner â l’arrière, prompts â divaguer, et prêts â être fatigués, mais le Seigneur les protège de tout danger par son bras puissant. Il trouve les âmes qui viennent â la vie, comme de jeunes agneaux, prêtes â périr: il les nourrit jusqu’â ce que leur vie soit pleine de vigueur; il trouve des esprits faibles prêts â s’évanouir et mourir: il les console et renouvelle leur force. Il rassemble tous les faibles, car ce n’est pas la volonté de notre Père céleste que l’un d’eux ne périsse. Quel regard rapide il doit avoir pour les voir toutes! Quel coeur tendre pour s’occuper de toutes ces brebis! Quel bras puissant pour les rassembler toutes! Pendant sa vie sur la terre il fut un grand rassembleur des faibles de toutes sortes, et maintenant qu’il demeure dans les cieux, son coeur affectueux est tourné vers le doux et le contrit, le timide et le faible, tous ceux qui sont malheureux ici-bas. Et combien gentiment il m’a uni â lui-même, â sa vérité, â son sang, â son amour, â son église! Avec quelle grâce efficace il m’a contraint de venir â lui! Depuis ma première conversion, il m’a fréquemment repris dans mes errances, et m’a remis de nouveau dans le cercle de ses bras éternels! Le meilleur de tout cela est qu’il fait tout lui-même en personne, ne déléguant pas son oeuvre d’amour, mais condescendant â lui-même secourir et préserver ses serviteurs les plus indignes. Comment pourrai-je l’aimer assez ou le servir dignement? Je voudrais que son grand nom soit connu sur toute la terre, mais que peut faire ma faiblesse pour lui? Grand Berger, ajoute â tes miséricordes celle que je te demande: un coeur pour t’aimer encore plus sincèrement que je ne le fais.
Lecture du matin Spurgeon 17-10-2017
17 Octobre-Matin.
David dit en lui-même: je périrai un jour par la main de Saül {#1Sa 27:1}
La pensée que David avait dans son coeur â ce moment-lâ était une "fausse" pensée. Il n’avait certainement aucune preuve pour penser que l’onction de Dieu que Samuel lui avait pratiquée devait être considérée comme un acte vide de sens. En aucune occasion le Seigneur n’avait abandonné son serviteur; il avait été très souvent placé dans des situations périlleuses mais dans aucun cas la divine interposition n’était pas intervenue pour le délivrer. Les épreuves auxquelles il avait été exposé avaient été diverses. Elles n’avaient pas pris une seule forme mais plusieurs, et pourtant dans chaque cas, celui qui avait permis les épreuves avait également donné un moyen pour en sortir.
David ne pouvait mettre le doigt sur aucun jour dans son journal intime et dire: voilâ ici une preuve que le Seigneur va m’abandonner, car le contenu tout entier de sa vie passée prouvait le contraire. Il aurait pu débattre sur tout ce que Dieu avait fait pour lui, et toujours Dieu serait resté son défenseur. Et n’est-ce pas de la même façon que nous doutons de l’aide de Dieu? Avons-nous déjâ eu l’ombre d’un doute sur la bonté de notre Père? Sa grâce pleine d’amour n’a-t-elle pas été merveilleuse? A-t-il failli une seule fois â notre confiance? Oh non, notre Dieu ne nous a jamais abandonné. Nous avons eu des nuits noires mais l’étoile de l’amour a brillé â travers les ténèbres. Nous avons eu des conflits sérieux, mais au-dessus de nos têtes il a tenu le bouclier de notre défense. Nous sommes passés au travers de nombreuses épreuves, mais jamais â notre détriment, et toujours â notre avantage. Et la conclusion de notre expérience passée est que celui qui a été avec nous lors de six épreuves ne nous abandonnera pas dans la septième. Nous avons connu un Dieu fidèle, prouvant qu’il nous gardera jusqu’â la fin. Alors ne raisonnons pas au contraire de l’évidence. Comment pouvons-nous être si peu confiants jusqu’â douter de notre Dieu? Seigneur jette la Jézabel de notre incrédulité et laisse les chiens la dévorer.
#Mr 10:1-11:33 * Lecture Quotidienne de la Bible
David dit en lui-même: je périrai un jour par la main de Saül {#1Sa 27:1}
La pensée que David avait dans son coeur â ce moment-lâ était une "fausse" pensée. Il n’avait certainement aucune preuve pour penser que l’onction de Dieu que Samuel lui avait pratiquée devait être considérée comme un acte vide de sens. En aucune occasion le Seigneur n’avait abandonné son serviteur; il avait été très souvent placé dans des situations périlleuses mais dans aucun cas la divine interposition n’était pas intervenue pour le délivrer. Les épreuves auxquelles il avait été exposé avaient été diverses. Elles n’avaient pas pris une seule forme mais plusieurs, et pourtant dans chaque cas, celui qui avait permis les épreuves avait également donné un moyen pour en sortir.
David ne pouvait mettre le doigt sur aucun jour dans son journal intime et dire: voilâ ici une preuve que le Seigneur va m’abandonner, car le contenu tout entier de sa vie passée prouvait le contraire. Il aurait pu débattre sur tout ce que Dieu avait fait pour lui, et toujours Dieu serait resté son défenseur. Et n’est-ce pas de la même façon que nous doutons de l’aide de Dieu? Avons-nous déjâ eu l’ombre d’un doute sur la bonté de notre Père? Sa grâce pleine d’amour n’a-t-elle pas été merveilleuse? A-t-il failli une seule fois â notre confiance? Oh non, notre Dieu ne nous a jamais abandonné. Nous avons eu des nuits noires mais l’étoile de l’amour a brillé â travers les ténèbres. Nous avons eu des conflits sérieux, mais au-dessus de nos têtes il a tenu le bouclier de notre défense. Nous sommes passés au travers de nombreuses épreuves, mais jamais â notre détriment, et toujours â notre avantage. Et la conclusion de notre expérience passée est que celui qui a été avec nous lors de six épreuves ne nous abandonnera pas dans la septième. Nous avons connu un Dieu fidèle, prouvant qu’il nous gardera jusqu’â la fin. Alors ne raisonnons pas au contraire de l’évidence. Comment pouvons-nous être si peu confiants jusqu’â douter de notre Dieu? Seigneur jette la Jézabel de notre incrédulité et laisse les chiens la dévorer.
#Mr 10:1-11:33 * Lecture Quotidienne de la Bible
Lecture du soir Spurgeon 14-10-2017
14 Octobre-Soir.
Ne vous conformez pas au siècle présent, {#Ro 12:2}
S’il est possible qu’un chrétien soit sauvé alors même qu’il se conforme â ce monde c’est, en tout cas, comme au travers du feu. Un salut si démuni est tout autant â redouter qu’â désirer. Lecteur, désirerais-tu quitter ce monde dans les ténèbres d’un lit de mort misérable et entrer dans le ciel tel un marin naufragé escalade les rochers de son pays d’origine? Alors attache-toi aux choses de ce monde; mêle-toi aux adorateurs de Mamon, et refuse de quitter le camp qui porte la désapprobation de Christ. Mais aurais-tu des cieux sous tes pieds comme tu en as au-dessus de ta tête? Comprendrais-tu, de même que tous les saints, ce que sont la hauteur et la profondeur; connaîtrais-tu l’amour de Christ, qui surpasse toute intelligence? Recevrais-tu une libre entrée dans la joie de ton Seigneur? Alors sors d’au milieu d’eux, sépare-toi d’eux et ne touche pas aux choses impures. Atteindrais-tu l’entière assurance de la foi? Tu ne pourras pas l’obtenir tant que tu communieras avec des pécheurs. Brûlerais-tu d’un amour ardent? Ton amour sera rendu moite par les flots. Tu ne peux pas devenir un grand chrétien: tu peux être un bébé dans la grâce, mais tu ne peux pas devenir un homme fait en Jésus-Christ tant que tu cèdes aux maximes d’ici-bas et â la façon de faire des affaires des hommes du monde. Il est malsain pour un héritier des cieux d’être un grand ami des héritiers de l’enfer. Il est mal vu qu’un courtisan soit trop intime avec les ennemis de son roi. Même de petites inconséquences sont dangereuses. Les petites épines provoquent de grosses ampoules; de petites mites détruisent les habits délicats; et de petites frivolités, de petites espiègleries dépouilleront la religion d’un millier de joies. O maestro, trop peu séparé des pécheurs, tu ne sais pas ce que tu perds par ta conformité au monde. Cela te prive de ta force, et t’oblige â ramper quand tu devrais courir. Alors, par égard â ta croissance dans la grâce, si tu es un chrétien, alors soit un chrétien manifeste et distinct.
Ne vous conformez pas au siècle présent, {#Ro 12:2}
S’il est possible qu’un chrétien soit sauvé alors même qu’il se conforme â ce monde c’est, en tout cas, comme au travers du feu. Un salut si démuni est tout autant â redouter qu’â désirer. Lecteur, désirerais-tu quitter ce monde dans les ténèbres d’un lit de mort misérable et entrer dans le ciel tel un marin naufragé escalade les rochers de son pays d’origine? Alors attache-toi aux choses de ce monde; mêle-toi aux adorateurs de Mamon, et refuse de quitter le camp qui porte la désapprobation de Christ. Mais aurais-tu des cieux sous tes pieds comme tu en as au-dessus de ta tête? Comprendrais-tu, de même que tous les saints, ce que sont la hauteur et la profondeur; connaîtrais-tu l’amour de Christ, qui surpasse toute intelligence? Recevrais-tu une libre entrée dans la joie de ton Seigneur? Alors sors d’au milieu d’eux, sépare-toi d’eux et ne touche pas aux choses impures. Atteindrais-tu l’entière assurance de la foi? Tu ne pourras pas l’obtenir tant que tu communieras avec des pécheurs. Brûlerais-tu d’un amour ardent? Ton amour sera rendu moite par les flots. Tu ne peux pas devenir un grand chrétien: tu peux être un bébé dans la grâce, mais tu ne peux pas devenir un homme fait en Jésus-Christ tant que tu cèdes aux maximes d’ici-bas et â la façon de faire des affaires des hommes du monde. Il est malsain pour un héritier des cieux d’être un grand ami des héritiers de l’enfer. Il est mal vu qu’un courtisan soit trop intime avec les ennemis de son roi. Même de petites inconséquences sont dangereuses. Les petites épines provoquent de grosses ampoules; de petites mites détruisent les habits délicats; et de petites frivolités, de petites espiègleries dépouilleront la religion d’un millier de joies. O maestro, trop peu séparé des pécheurs, tu ne sais pas ce que tu perds par ta conformité au monde. Cela te prive de ta force, et t’oblige â ramper quand tu devrais courir. Alors, par égard â ta croissance dans la grâce, si tu es un chrétien, alors soit un chrétien manifeste et distinct.
samedi 14 octobre 2017
Lecture du matin Spurgeon 14-10-2017
14 octobre-Matin
Et même je regarde toutes choses comme une perte, â cause de l’excellence de la connaissance de Jésus Christ mon Seigneur {#Php 3:8}
La connaissance spirituelle de Christ sera une connaissance personnelle. Je ne peux pas connaître Jésus au travers de la connaissance d’une autre personne. Non, je dois le connaître moi-même; je dois le connaître pour mon compte personnel. Ce sera une connaissance intelligente, je dois le connaître, non pas comme venant d’une vision ou de rêves de lui, mais comme la Parole le révèle. Je dois connaître sa nature divine et humaine. Je dois connaître ses fonctions, ses attributs, ses oeuvres, l’ignominie qu’il a subie, sa gloire. Je dois méditer sur lui jusqu’â ce que je comprenne avec tous les Saints qu’elle est la largeur, la longueur, et la profondeur, et la hauteur, de l’amour de Christ qui surpasse toute connaissance.
Ce sera une connaissance affective de lui; bien sûr, si je le connais bien, je dois l’aimer. Deux sous de connaissance du coeur valent mieux qu’une tonne de savante étude de la tête. Notre connaissance de lui sera une connaissance satisfaisante. Quand je connaîtrai mon Sauveur mon esprit sera plein jusqu’au ras bord. J’aurai le sentiment que j’ai celui après qui mon esprit aspire. Voici le pain dont celui qui mange n’aura jamais faim. En même temps, ce sera une connaissance édifiante; plus je connais mon bien aimé, plus je veux le connaître, plus haut je grimpe, plus hauts seront les sommets qui attirent la ferveur de mes pas. Je désirerai le plus comme j’obtiens le plus. Comme le trésor de la misère, mon or me fera aspirer â en posséder davantage.
Pour conclure: cette connaissance de Jésus Christ sera une plus heureuse position; en fait, si édifiante, que parfois elle m’élèvera au-dessus de toutes les épreuves, et doutes et afflictions; et, tandis que je m’en réjouis, elle fera de moi quelque chose de plus qu’un homme qui est né de la femme, qui est de peu de jours, et rempli de trouble; car cette connaissance fera voler autour de moi l’éclat de l’immortalité du Sauveur éternellement vivant, et me ceindra de la ceinture d’or de sa joie éternelle. Viens mon âme, assieds-toi aux pieds de Jésus et laisse-toi enseigner par lui aujourd’hui.
#Mr 4:1-5:43 * Lecture Quotidienne de la Bible
Et même je regarde toutes choses comme une perte, â cause de l’excellence de la connaissance de Jésus Christ mon Seigneur {#Php 3:8}
La connaissance spirituelle de Christ sera une connaissance personnelle. Je ne peux pas connaître Jésus au travers de la connaissance d’une autre personne. Non, je dois le connaître moi-même; je dois le connaître pour mon compte personnel. Ce sera une connaissance intelligente, je dois le connaître, non pas comme venant d’une vision ou de rêves de lui, mais comme la Parole le révèle. Je dois connaître sa nature divine et humaine. Je dois connaître ses fonctions, ses attributs, ses oeuvres, l’ignominie qu’il a subie, sa gloire. Je dois méditer sur lui jusqu’â ce que je comprenne avec tous les Saints qu’elle est la largeur, la longueur, et la profondeur, et la hauteur, de l’amour de Christ qui surpasse toute connaissance.
Ce sera une connaissance affective de lui; bien sûr, si je le connais bien, je dois l’aimer. Deux sous de connaissance du coeur valent mieux qu’une tonne de savante étude de la tête. Notre connaissance de lui sera une connaissance satisfaisante. Quand je connaîtrai mon Sauveur mon esprit sera plein jusqu’au ras bord. J’aurai le sentiment que j’ai celui après qui mon esprit aspire. Voici le pain dont celui qui mange n’aura jamais faim. En même temps, ce sera une connaissance édifiante; plus je connais mon bien aimé, plus je veux le connaître, plus haut je grimpe, plus hauts seront les sommets qui attirent la ferveur de mes pas. Je désirerai le plus comme j’obtiens le plus. Comme le trésor de la misère, mon or me fera aspirer â en posséder davantage.
Pour conclure: cette connaissance de Jésus Christ sera une plus heureuse position; en fait, si édifiante, que parfois elle m’élèvera au-dessus de toutes les épreuves, et doutes et afflictions; et, tandis que je m’en réjouis, elle fera de moi quelque chose de plus qu’un homme qui est né de la femme, qui est de peu de jours, et rempli de trouble; car cette connaissance fera voler autour de moi l’éclat de l’immortalité du Sauveur éternellement vivant, et me ceindra de la ceinture d’or de sa joie éternelle. Viens mon âme, assieds-toi aux pieds de Jésus et laisse-toi enseigner par lui aujourd’hui.
#Mr 4:1-5:43 * Lecture Quotidienne de la Bible
vendredi 13 octobre 2017
Lecture du soir Spurgeon 13-10-2017
13 Octobre-Soir.
Car l’amour est fort comme la mort, {#So 8:6}
De qui cet amour aussi puissant que le conquérant des monarques, le destructeur de la race humaine peut-il être? Cela ne sonnerait-il pas comme une satire si c’était appliqué au pauvre et faible amour, â peine vivant, que j’ai pour Jésus mon Seigneur? Je l’aime de tout mon coeur et peut-être, par sa grâce, pourrais-je même mourir pour lui; mais en ce qui concerne mon amour lui-même, il supporte â peine la moquerie, sans parler d’une mort cruelle. Assurément, c’est de l’amour de mon bien-aimé qu’il est parlé ici: l’amour de Jésus, l’incomparable passionné des âmes. Son amour a été vraiment plus fort que la plus terrible des morts, car il a enduré l’épreuve de la foi triomphalement. Ce fut une mort lente, mais l’amour a survécu au tourment; une mort honteuse, mais l’amour a méprisé la honte; une peine de mort, mais l’amour a porté nos péchés; une mort oubliée, solitaire, de laquelle le Père éternel a détourné sa face, mais l’amour a supporté la malédiction et a fait briller sa gloire au-dessus de tout. Amour incomparable, mort incomparable. C’était un duel sans espoir, mais l’amour a remporté la palme. Qu’en dis-tu, mon coeur? Ne ressens-tu aucune émotion en toi en contemplant tant d’ affection dans le ciel? Oui, mon Seigneur, j’ai hâte de ressentir ton amour brûlant en moi comme une fournaise. Viens, toi-même, et enflamme l’ardeur de mon esprit.
"Pour chaque goutte de sang
Ainsi versé pour me faire vivre,
O pourquoi, pourquoi n’ai-je pas
Un millier de vies â donner?"
Pourquoi devrais-je désespérer d’aimer Jésus d’un amour aussi fort que la mort? Il le mérite; j’en ai envie. Les martyrs ont ressenti un tel amour, eux qui n’étaient que chair et sang, alors pourquoi pas moi? Ils ont pleuré sur leur faiblesse et pourtant, c’est par la faiblesse qu’ils ont été rendus forts. La grâce leur a donné â tous cette fermeté infléchissante: la même grâce existe pour moi. Jésus, amant de mon âme, déverse dans mon coeur un tel amour, ton amour, ce soir.
Car l’amour est fort comme la mort, {#So 8:6}
De qui cet amour aussi puissant que le conquérant des monarques, le destructeur de la race humaine peut-il être? Cela ne sonnerait-il pas comme une satire si c’était appliqué au pauvre et faible amour, â peine vivant, que j’ai pour Jésus mon Seigneur? Je l’aime de tout mon coeur et peut-être, par sa grâce, pourrais-je même mourir pour lui; mais en ce qui concerne mon amour lui-même, il supporte â peine la moquerie, sans parler d’une mort cruelle. Assurément, c’est de l’amour de mon bien-aimé qu’il est parlé ici: l’amour de Jésus, l’incomparable passionné des âmes. Son amour a été vraiment plus fort que la plus terrible des morts, car il a enduré l’épreuve de la foi triomphalement. Ce fut une mort lente, mais l’amour a survécu au tourment; une mort honteuse, mais l’amour a méprisé la honte; une peine de mort, mais l’amour a porté nos péchés; une mort oubliée, solitaire, de laquelle le Père éternel a détourné sa face, mais l’amour a supporté la malédiction et a fait briller sa gloire au-dessus de tout. Amour incomparable, mort incomparable. C’était un duel sans espoir, mais l’amour a remporté la palme. Qu’en dis-tu, mon coeur? Ne ressens-tu aucune émotion en toi en contemplant tant d’ affection dans le ciel? Oui, mon Seigneur, j’ai hâte de ressentir ton amour brûlant en moi comme une fournaise. Viens, toi-même, et enflamme l’ardeur de mon esprit.
"Pour chaque goutte de sang
Ainsi versé pour me faire vivre,
O pourquoi, pourquoi n’ai-je pas
Un millier de vies â donner?"
Pourquoi devrais-je désespérer d’aimer Jésus d’un amour aussi fort que la mort? Il le mérite; j’en ai envie. Les martyrs ont ressenti un tel amour, eux qui n’étaient que chair et sang, alors pourquoi pas moi? Ils ont pleuré sur leur faiblesse et pourtant, c’est par la faiblesse qu’ils ont été rendus forts. La grâce leur a donné â tous cette fermeté infléchissante: la même grâce existe pour moi. Jésus, amant de mon âme, déverse dans mon coeur un tel amour, ton amour, ce soir.
Lecture du matin Spurgeon 13-10-2017
13 octobre-Matin
En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance {#2Co 7:10}
Authentique, l’affliction spirituelle â cause du péché est l’oeuvre de l’Esprit de Dieu. La repentance est aussi une fleur de choix pour croître dans le jardin de la nature. Les perles poussent naturellement dans les huîtres, mais la pénitence ne se manifeste jamais chez les pécheurs, excepté lorsque la grâce divine y oeuvre. Si tu as une parcelle de haine réelle pour le péché, c’est que Dieu a dû te la donner, car les épines de la nature humaine ne produisent jamais une seule fleur. Ce qui est né de la chair est chair.
La vraie repentance a une référence qui rappelle le Sauveur. Quand nous nous repentons du péché, nous devons avoir un oeil sur le péché et un autre sur la croix, et il serait encore préférable de fixer les deux yeux sur Christ et de regarder nos transgressions seulement â la lumière de son amour.
La vraie tristesse â cause du péché est éminemment pratique, personne ne peut dire qu’il hait le péché, s’il vit dans le péché. La repentance nous fait regarder l’horreur du péché, pas seulement en théorie, mais par expérience, comme un enfant qui a touché le feu. Nous serons autant effrayé de ce péché que quelqu’un qui vient d’être agressé et volé est effrayé â la pensée d’un voleur même sur un chemin fréquenté; et nous le fuirons, nous en écartant en toutes choses, pas seulement dans les grandes, mais aussi dans les petites. Aussi bien des petites vipères que des gros serpents. Le vrai deuil pour le péché nous rendra très jaloux quant â notre propre langue, de peur qu’elle ne dise des paroles mensongères; nous serons très vigilants quant â nos actions quotidiennes, de peur de commettre quelque offense en quoi que ce soit, et chaque soir nous terminerons la journée par de douloureuses confessions de nos manquements, et chaque matin nous nous éveillerons avec d’angoissantes prières, qu’en ce jour Dieu veuille nous tenir debout afin de ne pas pécher contre lui.
La sincère repentance est continuelle. Les croyants se repentent jusqu’au jour de leur mort. Cette descente dans le puits n’est pas intermittente. Toute autre tristesse temporaire produit peu mais cette chère tristesse croît avec notre croissance, et c’est une amertume si douce! Que nous remercions Dieu pour nous permettre de nous en réjouir et de le supporter jusqu’â ce que nous soyons entrés dans notre repos éternel.
#Mr 1:1-3:35 * Lecture Quotidienne de la Bible
En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance {#2Co 7:10}
Authentique, l’affliction spirituelle â cause du péché est l’oeuvre de l’Esprit de Dieu. La repentance est aussi une fleur de choix pour croître dans le jardin de la nature. Les perles poussent naturellement dans les huîtres, mais la pénitence ne se manifeste jamais chez les pécheurs, excepté lorsque la grâce divine y oeuvre. Si tu as une parcelle de haine réelle pour le péché, c’est que Dieu a dû te la donner, car les épines de la nature humaine ne produisent jamais une seule fleur. Ce qui est né de la chair est chair.
La vraie repentance a une référence qui rappelle le Sauveur. Quand nous nous repentons du péché, nous devons avoir un oeil sur le péché et un autre sur la croix, et il serait encore préférable de fixer les deux yeux sur Christ et de regarder nos transgressions seulement â la lumière de son amour.
La vraie tristesse â cause du péché est éminemment pratique, personne ne peut dire qu’il hait le péché, s’il vit dans le péché. La repentance nous fait regarder l’horreur du péché, pas seulement en théorie, mais par expérience, comme un enfant qui a touché le feu. Nous serons autant effrayé de ce péché que quelqu’un qui vient d’être agressé et volé est effrayé â la pensée d’un voleur même sur un chemin fréquenté; et nous le fuirons, nous en écartant en toutes choses, pas seulement dans les grandes, mais aussi dans les petites. Aussi bien des petites vipères que des gros serpents. Le vrai deuil pour le péché nous rendra très jaloux quant â notre propre langue, de peur qu’elle ne dise des paroles mensongères; nous serons très vigilants quant â nos actions quotidiennes, de peur de commettre quelque offense en quoi que ce soit, et chaque soir nous terminerons la journée par de douloureuses confessions de nos manquements, et chaque matin nous nous éveillerons avec d’angoissantes prières, qu’en ce jour Dieu veuille nous tenir debout afin de ne pas pécher contre lui.
La sincère repentance est continuelle. Les croyants se repentent jusqu’au jour de leur mort. Cette descente dans le puits n’est pas intermittente. Toute autre tristesse temporaire produit peu mais cette chère tristesse croît avec notre croissance, et c’est une amertume si douce! Que nous remercions Dieu pour nous permettre de nous en réjouir et de le supporter jusqu’â ce que nous soyons entrés dans notre repos éternel.
#Mr 1:1-3:35 * Lecture Quotidienne de la Bible
Lecture du soir Spurgeon 12-10-2017
12 Octobre-Soir.
Le consolateur, l’Esprit-Saint, {#Joh 14:26}
Ce temps est particulièrement celui où est répandu le Saint- Esprit, par lequel Jésus nous réconforte, non par sa présence personnelle, comme Il le fait de temps â autre, mais par la présence du Saint-Esprit, qui est de plus le consolateur de l’Eglise. Il a la charge de consoler le coeur du peuple de Dieu. Il convainc de péché; il éclaire et instruit; néanmoins, la majeure partie de son travail est de réjouir le coeur des gens renouvelés, d’affermir les faibles et de relever tous ceux qui sont courbés, et le fait en leur révélant Jésus. Le Saint-Esprit console, mais Christ "est la consolation". Si nous faisons une image, le Saint- Esprit est le médecin, mais Jésus est le remède. "Il" guérit la blessure, mais c’est en appliquant la sainte pommade du nom et de la grâce de Christ. Il ne puise pas en lui-même mais en Christ. Donc, si nous donnons au Saint-Esprit le nom grec de "Paracle", comme nous le faisons parfois, alors notre coeur confère â notre bienheureux Seigneur Jésus le titre de "Paraclesis": si l’un est le consolateur, l’autre est la consolation. Alors, face â une réserve aussi riche pour ses besoins, pourquoi le chrétien devrait-il être triste et abattu? Le Saint-Esprit s’est gracieusement engagé â être ton consolateur: imagines-tu, toi qui es un croyant faible et tremblant, qu’il négligera sa responsabilité sacrée? Peux-tu supposer qu’il se soit engagé dans une tâche qu’il ne peut ou ne veut remplir? Si c’est son travail de te rendre fort et de te consoler, crois-tu qu’il ait oublié sa tâche, ou qu’il manquera au devoir d’aimer qu’il assume â ton égard? Non, ne sois pas si sévère lorsque tu penses â l’Esprit tendre et béni qui s’appelle "le consolateur". Il se réjouit de donner l’huile de la joie pour l’esprit de tristesse. Fais-lui confiance et il te consolera jusqu’au jour où la maison de deuil sera fermée â jamais et où le festin des noces aura commencé.
Le consolateur, l’Esprit-Saint, {#Joh 14:26}
Ce temps est particulièrement celui où est répandu le Saint- Esprit, par lequel Jésus nous réconforte, non par sa présence personnelle, comme Il le fait de temps â autre, mais par la présence du Saint-Esprit, qui est de plus le consolateur de l’Eglise. Il a la charge de consoler le coeur du peuple de Dieu. Il convainc de péché; il éclaire et instruit; néanmoins, la majeure partie de son travail est de réjouir le coeur des gens renouvelés, d’affermir les faibles et de relever tous ceux qui sont courbés, et le fait en leur révélant Jésus. Le Saint-Esprit console, mais Christ "est la consolation". Si nous faisons une image, le Saint- Esprit est le médecin, mais Jésus est le remède. "Il" guérit la blessure, mais c’est en appliquant la sainte pommade du nom et de la grâce de Christ. Il ne puise pas en lui-même mais en Christ. Donc, si nous donnons au Saint-Esprit le nom grec de "Paracle", comme nous le faisons parfois, alors notre coeur confère â notre bienheureux Seigneur Jésus le titre de "Paraclesis": si l’un est le consolateur, l’autre est la consolation. Alors, face â une réserve aussi riche pour ses besoins, pourquoi le chrétien devrait-il être triste et abattu? Le Saint-Esprit s’est gracieusement engagé â être ton consolateur: imagines-tu, toi qui es un croyant faible et tremblant, qu’il négligera sa responsabilité sacrée? Peux-tu supposer qu’il se soit engagé dans une tâche qu’il ne peut ou ne veut remplir? Si c’est son travail de te rendre fort et de te consoler, crois-tu qu’il ait oublié sa tâche, ou qu’il manquera au devoir d’aimer qu’il assume â ton égard? Non, ne sois pas si sévère lorsque tu penses â l’Esprit tendre et béni qui s’appelle "le consolateur". Il se réjouit de donner l’huile de la joie pour l’esprit de tristesse. Fais-lui confiance et il te consolera jusqu’au jour où la maison de deuil sera fermée â jamais et où le festin des noces aura commencé.
jeudi 12 octobre 2017
Lecture du matin Spurgeon 12-10-2017
12 octobre-Matin
Je médite tes ordonnances {#Ps 119:15}
Il y a des temps où la solitude est une meilleure situation que de se trouver en société, et le silence plus sage qu’un discours. Nous serions de meilleurs chrétiens si nous étions davantage seuls, nous attendant â Dieu, amassant â travers la méditation de sa Parole la force spirituelle pour son oeuvre dans son service. Nous devrions méditer sur les choses de Dieu, parce que c’est ainsi que nous en retirerons quelque nourriture. La vérité est quelque peu ressemblant au bouquet de la grappe, si nous voulons avoir du vin de celle-ci, nous devons la cueillir, nous devons la presser, l’écraser plusieurs fois. Les pieds du fouleur doivent être actifs pour que le raisin donne son jus sinon il n’en coulera pas; et il faut de la persévérance pour que le précieux liquide ne soit pas gaspillé. De même nous devons par la méditation, fouler les grappes de la vérité, si nous voulons en obtenir le vin de la consolation qui en sort. Nos corps ne sont pas portés seulement par la nourriture que nous portons â la bouche, mais le processus qui réellement pourvoit aux muscles, aux nerfs, aux os, est le processus de la digestion. C’est par la digestion que la nourriture extérieure devient assimilée â la vie intérieure. Nos âmes ne sont pas nourries seulement par l’écoute momentanée de ceci, puis de cela, et ensuite d’un autre passage de la vérité divine. Ecouter, lire, noter, et apprendre, tout ceci demande une digestion intérieure pour en compléter l’utilité, et de même la digestion intérieure de la vérité dépend en grande partie de la méditation.
Comment se fait-il que certains chrétiens, bien qu’ils entendent plusieurs prédications, n’avancent que si lentement dans la vie divine? Parce qu’ils négligent leur cabinet d’étude, et ne méditent pas pleinement la Parole de Dieu. Ils aiment le blé, mais ils ne le broient pas; ils veulent avoir du maïs, mais ils ne vont pas le ramasser dans les champs; le fruit est suspendu aux branches de l’arbre, mais ils ne vont pas le cueillir; l’eau coule â leurs pieds, mais ils ne veulent pas s’arrêter pour y boire. D’une telle folie délivre-nous, O Seigneur, et que cette résolution soit la nôtre ce matin: je méditerai sur tes préceptes.
#Mt 27:1-28:20 * Lecture Quotidienne de la Bible
Je médite tes ordonnances {#Ps 119:15}
Il y a des temps où la solitude est une meilleure situation que de se trouver en société, et le silence plus sage qu’un discours. Nous serions de meilleurs chrétiens si nous étions davantage seuls, nous attendant â Dieu, amassant â travers la méditation de sa Parole la force spirituelle pour son oeuvre dans son service. Nous devrions méditer sur les choses de Dieu, parce que c’est ainsi que nous en retirerons quelque nourriture. La vérité est quelque peu ressemblant au bouquet de la grappe, si nous voulons avoir du vin de celle-ci, nous devons la cueillir, nous devons la presser, l’écraser plusieurs fois. Les pieds du fouleur doivent être actifs pour que le raisin donne son jus sinon il n’en coulera pas; et il faut de la persévérance pour que le précieux liquide ne soit pas gaspillé. De même nous devons par la méditation, fouler les grappes de la vérité, si nous voulons en obtenir le vin de la consolation qui en sort. Nos corps ne sont pas portés seulement par la nourriture que nous portons â la bouche, mais le processus qui réellement pourvoit aux muscles, aux nerfs, aux os, est le processus de la digestion. C’est par la digestion que la nourriture extérieure devient assimilée â la vie intérieure. Nos âmes ne sont pas nourries seulement par l’écoute momentanée de ceci, puis de cela, et ensuite d’un autre passage de la vérité divine. Ecouter, lire, noter, et apprendre, tout ceci demande une digestion intérieure pour en compléter l’utilité, et de même la digestion intérieure de la vérité dépend en grande partie de la méditation.
Comment se fait-il que certains chrétiens, bien qu’ils entendent plusieurs prédications, n’avancent que si lentement dans la vie divine? Parce qu’ils négligent leur cabinet d’étude, et ne méditent pas pleinement la Parole de Dieu. Ils aiment le blé, mais ils ne le broient pas; ils veulent avoir du maïs, mais ils ne vont pas le ramasser dans les champs; le fruit est suspendu aux branches de l’arbre, mais ils ne vont pas le cueillir; l’eau coule â leurs pieds, mais ils ne veulent pas s’arrêter pour y boire. D’une telle folie délivre-nous, O Seigneur, et que cette résolution soit la nôtre ce matin: je méditerai sur tes préceptes.
#Mt 27:1-28:20 * Lecture Quotidienne de la Bible
mercredi 11 octobre 2017
Lecture du soir Spurgeon 11-10-2017
11 Octobre-Soir.
Et ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés; {#Ro 8:30}
Dans la deuxième épître â Timothée, au premier chapitre et au verset neuf, se trouvent ces mots: "Qui nous a sauvé et nous a adressé une sainte vocation". {#2Ti 1:9} Et voilâ un repère par lequel nous pouvons éprouver notre appel: "C’est une sainte vocation, non â cause de nos oeuvres, mais selon son propre dessein et sa grâce". Cet appel nous interdit toute confiance en nos propres oeuvres et nous conduit â Christ seul pour le salut. Ensuite, il nous purge de toute oeuvre morte pour que nous servions le Dieu vivant et vrai. Comme celui qui t’a appelé est saint, tu dois être saint. Si tu vis dans le péché, tu n’es pas appelé, mais tu appartiens véritablement â Christ, tu peux dire: "rien ne me fait plus de peine que le péché; je désire en être débarrassé. Seigneur, aide- moi â être saint". Est-ce le plus profond désir de ton coeur? Est-ce le sens de ta vie devant Dieu et sa volonté divine? A nouveau, dans Philippiens 3:13,14, il nous est parlé de "la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ". {#Php 3:13,14} Ton appel est-il donc une véritable vocation? A t-il anobli ton coeur et l’a t-il attaché aux choses célestes? A t-il élevé tes espoirs, tes goûts, tes désirs? A t-il rehaussé le sens de ta vie, de telle manière que tu la passes avec Dieu et pour Dieu? Nous trouvons un autre moyen de contrôle dans Hébreux 3:1 "Qui avez part â la vocation céleste". {#Heb 3:1} Appel céleste signifie un appel venant des cieux. Si ce n’est que l’homme qui t’appelle, tu n’es pas appelé. Ton appel est-il de Dieu? Est-ce un appel "vers" les cieux autant que "des" cieux? A moins que tu ne sois un étranger ici et que les cieux soient ta maison , tu n’as pas été appelé par vocation; car ceux qui ont été ainsi appelés déclarent qu’ils cherchent une ville qui a des fondations, dont le fondateur et créateur est Dieu et qu’eux mêmes sont étrangers et pèlerins sur la terre. Ainsi, ton appel est-il saint, élevé, céleste? Dans ce cas, bien- aimé, tu as été appelé de Dieu, car tel est l’appel par lequel Dieu appelle véritablement son peuple.
Et ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés; {#Ro 8:30}
Dans la deuxième épître â Timothée, au premier chapitre et au verset neuf, se trouvent ces mots: "Qui nous a sauvé et nous a adressé une sainte vocation". {#2Ti 1:9} Et voilâ un repère par lequel nous pouvons éprouver notre appel: "C’est une sainte vocation, non â cause de nos oeuvres, mais selon son propre dessein et sa grâce". Cet appel nous interdit toute confiance en nos propres oeuvres et nous conduit â Christ seul pour le salut. Ensuite, il nous purge de toute oeuvre morte pour que nous servions le Dieu vivant et vrai. Comme celui qui t’a appelé est saint, tu dois être saint. Si tu vis dans le péché, tu n’es pas appelé, mais tu appartiens véritablement â Christ, tu peux dire: "rien ne me fait plus de peine que le péché; je désire en être débarrassé. Seigneur, aide- moi â être saint". Est-ce le plus profond désir de ton coeur? Est-ce le sens de ta vie devant Dieu et sa volonté divine? A nouveau, dans Philippiens 3:13,14, il nous est parlé de "la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ". {#Php 3:13,14} Ton appel est-il donc une véritable vocation? A t-il anobli ton coeur et l’a t-il attaché aux choses célestes? A t-il élevé tes espoirs, tes goûts, tes désirs? A t-il rehaussé le sens de ta vie, de telle manière que tu la passes avec Dieu et pour Dieu? Nous trouvons un autre moyen de contrôle dans Hébreux 3:1 "Qui avez part â la vocation céleste". {#Heb 3:1} Appel céleste signifie un appel venant des cieux. Si ce n’est que l’homme qui t’appelle, tu n’es pas appelé. Ton appel est-il de Dieu? Est-ce un appel "vers" les cieux autant que "des" cieux? A moins que tu ne sois un étranger ici et que les cieux soient ta maison , tu n’as pas été appelé par vocation; car ceux qui ont été ainsi appelés déclarent qu’ils cherchent une ville qui a des fondations, dont le fondateur et créateur est Dieu et qu’eux mêmes sont étrangers et pèlerins sur la terre. Ainsi, ton appel est-il saint, élevé, céleste? Dans ce cas, bien- aimé, tu as été appelé de Dieu, car tel est l’appel par lequel Dieu appelle véritablement son peuple.
Lecture du matin Spurgeon 11-10-2017
11 octobre-Matin
Elevons nos coeurs et nos mains Vers Dieu qui est au ciel. {#La 3:41}
L’action de la prière nous enseigne notre inutilité, qui est une leçon salutaire pour des êtres orgueilleux tels que nous. Si Dieu nous donnait des faveurs sans nous contraindre â prier pour elles, nous ne saurions jamais combien nous sommes pauvres, mais une vraie prière est un inventaire des besoins, un catalogue des nécessités, une révélation de la pauvreté cachée. Tandis qu’elle est une application de la santé divine, elle est en même temps une confession du néant humain. Le meilleur état de santé d’un chrétien, c’est d’être toujours vide en lui-même et de dépendre constamment du Seigneur pour tous les besoins; être pauvre toujours en lui-même et riche en Jésus; faible comme de l’eau personnellement, mais puissant â travers Dieu pour faire des exploits; voilâ la raison de la prière, parce qu’elle adore Dieu, et met la créature â la place où elle devrait être, dans la poussière même. La prière est en elle-même, hormis la réponse qu’elle apporte, un grand bienfait pour le chrétien. Comme le coureur augmente sa force pendant son entraînement quotidien, ainsi en est-il dans la grande course de la vie où nous acquérons de la vigueur par la prière consacrée. La prière lisse les ailes des jeunes aiglons de Dieu, pour qu’ils apprennent â monter au-dessus des nuages. La prière ceint les reins des guerriers de Dieu, et les envoie au combat avec leurs muscles fermes.
La prière, ce sont les mains levées de Moïse qui mit en déroute les Amalécites, plus que l’épée de Josué; c’est la flèche tirée de la chambre du prophète annonçant par avance la défaite des Syriens. La prière ceint la faiblesse humaine avec la puissance divine, elle tourne la folie humaine en sagesse céleste, et donne aux mortels troublés la paix de Dieu. Nous ne savons pas ce que la prière ne peut pas faire! Nous te remercions, grand Dieu, pour ta miséricorde, une preuve excellente de ta merveilleuse bonté. Aide-nous â en user correctement â travers cette journée !
#Mt 25:1-26:75 * Lecture Quotidienne de la Bible
Elevons nos coeurs et nos mains Vers Dieu qui est au ciel. {#La 3:41}
L’action de la prière nous enseigne notre inutilité, qui est une leçon salutaire pour des êtres orgueilleux tels que nous. Si Dieu nous donnait des faveurs sans nous contraindre â prier pour elles, nous ne saurions jamais combien nous sommes pauvres, mais une vraie prière est un inventaire des besoins, un catalogue des nécessités, une révélation de la pauvreté cachée. Tandis qu’elle est une application de la santé divine, elle est en même temps une confession du néant humain. Le meilleur état de santé d’un chrétien, c’est d’être toujours vide en lui-même et de dépendre constamment du Seigneur pour tous les besoins; être pauvre toujours en lui-même et riche en Jésus; faible comme de l’eau personnellement, mais puissant â travers Dieu pour faire des exploits; voilâ la raison de la prière, parce qu’elle adore Dieu, et met la créature â la place où elle devrait être, dans la poussière même. La prière est en elle-même, hormis la réponse qu’elle apporte, un grand bienfait pour le chrétien. Comme le coureur augmente sa force pendant son entraînement quotidien, ainsi en est-il dans la grande course de la vie où nous acquérons de la vigueur par la prière consacrée. La prière lisse les ailes des jeunes aiglons de Dieu, pour qu’ils apprennent â monter au-dessus des nuages. La prière ceint les reins des guerriers de Dieu, et les envoie au combat avec leurs muscles fermes.
La prière, ce sont les mains levées de Moïse qui mit en déroute les Amalécites, plus que l’épée de Josué; c’est la flèche tirée de la chambre du prophète annonçant par avance la défaite des Syriens. La prière ceint la faiblesse humaine avec la puissance divine, elle tourne la folie humaine en sagesse céleste, et donne aux mortels troublés la paix de Dieu. Nous ne savons pas ce que la prière ne peut pas faire! Nous te remercions, grand Dieu, pour ta miséricorde, une preuve excellente de ta merveilleuse bonté. Aide-nous â en user correctement â travers cette journée !
#Mt 25:1-26:75 * Lecture Quotidienne de la Bible
mardi 10 octobre 2017
Lecture du soir Spurgeon 10-10-2017
10 Octobre-Soir.
Je te délivrerai de la main des méchants, Je te sauverai de la main des violents. {#Jer 15:21}
Notons la glorieuse personnalité de la promesse "Je" délivrerai, "Je" sauverai. Le Seigneur, l’Eternel Lui-même s’interpose pour délivrer et racheter son peuple. Il s’engage â les secourir personnellement. Son propre bras le fera, pour que la gloire lui revienne. Il n’est pas fait mention ici d’un quelconque effort de notre part qui serait nécessaire pour aider le Seigneur. Ni notre force, ni notre faiblesse n’entrent en ligne de compte, mais le "Je" seul, comme le soleil dans le ciel, resplendit de tous ses feux en toute autonomie. Pourquoi donc calculons-nous nos forces et consultons-nous la chair et le sang au risque d’une blessure cruelle? L’Eternel a suffisamment de puissance sans en emprunter â notre bras chétif. Paix â vous pensées incrédules, restez tranquilles et sachez que le Seigneur règne. Il n’y a pas non plus d’allusion â des moyens ou des causes secondaires. Le Seigneur ne dit rien â propos des amis et des aides: Il entreprend le travail tout seul, et ne ressent pas le besoin d’être aidé par des bras humains. Nos coups d’oeil alentours vers nos amis et notre famille sont vains; ils sont des roseaux qui se brisent si nous nous appuyons sur eux: rarement volontaires quand ils sont capables; et souvent incapables lorsqu’ ils sont volontaires. Puisque la promesse vient de Dieu seul, il serait bon de s’attendre â Lui uniquement et lorsque nous le faisons, notre espérance ne nous trahit jamais. Qui sont les méchants pour que nous les craignions? Le Seigneur les consumera complètement; ils sont â prendre en pitié plutôt qu’â craindre. Quand aux terribles, ils ne sont terreurs que pour ceux qui n’ont pas de Dieu vers qui courir, car quand le Seigneur est â nos côtés, qui craignons-nous? Si nous nous précipitons dans le péché pour plaire aux méchants, nous avons raison d’être alarmés, mais si nous maintenons ferme notre intégrité, la fureur des tyrans sera renversée pour notre propre bien. Lorsque le poisson avala Jonas, il trouva que celui-ci était une bouchée indigeste; et quand le monde dévore l’Eglise, il est heureux d’en être de nouveau débarrassé. Dans tous les moments d’épreuve ardente, patiemment, restons les maîtres de nos âmes.
Je te délivrerai de la main des méchants, Je te sauverai de la main des violents. {#Jer 15:21}
Notons la glorieuse personnalité de la promesse "Je" délivrerai, "Je" sauverai. Le Seigneur, l’Eternel Lui-même s’interpose pour délivrer et racheter son peuple. Il s’engage â les secourir personnellement. Son propre bras le fera, pour que la gloire lui revienne. Il n’est pas fait mention ici d’un quelconque effort de notre part qui serait nécessaire pour aider le Seigneur. Ni notre force, ni notre faiblesse n’entrent en ligne de compte, mais le "Je" seul, comme le soleil dans le ciel, resplendit de tous ses feux en toute autonomie. Pourquoi donc calculons-nous nos forces et consultons-nous la chair et le sang au risque d’une blessure cruelle? L’Eternel a suffisamment de puissance sans en emprunter â notre bras chétif. Paix â vous pensées incrédules, restez tranquilles et sachez que le Seigneur règne. Il n’y a pas non plus d’allusion â des moyens ou des causes secondaires. Le Seigneur ne dit rien â propos des amis et des aides: Il entreprend le travail tout seul, et ne ressent pas le besoin d’être aidé par des bras humains. Nos coups d’oeil alentours vers nos amis et notre famille sont vains; ils sont des roseaux qui se brisent si nous nous appuyons sur eux: rarement volontaires quand ils sont capables; et souvent incapables lorsqu’ ils sont volontaires. Puisque la promesse vient de Dieu seul, il serait bon de s’attendre â Lui uniquement et lorsque nous le faisons, notre espérance ne nous trahit jamais. Qui sont les méchants pour que nous les craignions? Le Seigneur les consumera complètement; ils sont â prendre en pitié plutôt qu’â craindre. Quand aux terribles, ils ne sont terreurs que pour ceux qui n’ont pas de Dieu vers qui courir, car quand le Seigneur est â nos côtés, qui craignons-nous? Si nous nous précipitons dans le péché pour plaire aux méchants, nous avons raison d’être alarmés, mais si nous maintenons ferme notre intégrité, la fureur des tyrans sera renversée pour notre propre bien. Lorsque le poisson avala Jonas, il trouva que celui-ci était une bouchée indigeste; et quand le monde dévore l’Eglise, il est heureux d’en être de nouveau débarrassé. Dans tous les moments d’épreuve ardente, patiemment, restons les maîtres de nos âmes.
Lecture du matin Spurgeon 10-10-2017
10 octobre-Matin
et vous faire paraître devant sa gloire irrépréhensibles et dans l’allégresse, {#Jude 1:24}
Repassez dans votre esprit cette parole merveilleuse: irrépréhensibles! Nous en sommes loin maintenant; mais comme notre Seigneur n’est jamais â cour de perfection dans son oeuvre d’amour, nous l’atteindrons un jour. Le Sauveur qui gardera son peuple jusqu’â la fin, le présentera aussi â la fin â lui-même, comme une Eglise glorieuse, sans tache, ni rides ni rien de semblable, mais sainte et irréprochable. Tous les joyaux dans la couronne du Sauveur sont de la plus belle eau et sans un seul défaut. Toutes les demoiselles d’honneur qui suivent l’épouse de l’Agneau sont des vierges pures sans tâche ni souillure. Mais comment Jésus nous rendra-t-il "sans faute" ? Il nous lavera de nos péchés dans son propre sang jusqu’â ce que nous soyons blancs et beaux, aussi purs que le plus pur des anges de Dieu: et nous serons revêtus de sa justice, cette justice qui fait du Saint qui la porte positivement "sans faute"; oui parfait au regard de Dieu. Nous serons irréprochables, et irrépréhensibles même â ses yeux. Sa foi, non seulement n’aura rien contre nous, mais elle sera magnifiée en nous. De plus l’oeuvre du Saint-Esprit en nous sera entièrement accomplie. Il nous rendra si parfaitement saint, que nous ne nous attarderons pas â la tendance â pécher.
Le jugement, la mémoire, la volonté, chaque puissance et passion seront émancipées de l’esclavage du diable. Nous serons saints comme Dieu est Saint, et dans sa présence nous demeurerons pour toujours. Les saints ne seront pas en dehors du ciel, leur beauté sera aussi grande que la place qui a été préparée pour eux. Oh! l’enlèvement de cette heure quand les portes s’ouvriront, et que nous étant levés pour prendre possession de l’héritage, nous demeurerons avec les saints dans la lumière. Le péché parti, Satan exclu, la tentation passée pour toujours, et nous-mêmes "sans faute" devant Dieu, ceci sera le ciel bien sûr! Réjouissons-nous maintenant comme nous répétons le chant de la louange éternelle pour bientôt, de concert avec tous les esprits lavés dans le sang: n’être qu’un. Prenons modèle sur les exaltations de David devant l’arche comme un prélude â nos saints transports devant le trône.
#Mt 23:1-24:51 * Lecture Quotidienne de la Bible
et vous faire paraître devant sa gloire irrépréhensibles et dans l’allégresse, {#Jude 1:24}
Repassez dans votre esprit cette parole merveilleuse: irrépréhensibles! Nous en sommes loin maintenant; mais comme notre Seigneur n’est jamais â cour de perfection dans son oeuvre d’amour, nous l’atteindrons un jour. Le Sauveur qui gardera son peuple jusqu’â la fin, le présentera aussi â la fin â lui-même, comme une Eglise glorieuse, sans tache, ni rides ni rien de semblable, mais sainte et irréprochable. Tous les joyaux dans la couronne du Sauveur sont de la plus belle eau et sans un seul défaut. Toutes les demoiselles d’honneur qui suivent l’épouse de l’Agneau sont des vierges pures sans tâche ni souillure. Mais comment Jésus nous rendra-t-il "sans faute" ? Il nous lavera de nos péchés dans son propre sang jusqu’â ce que nous soyons blancs et beaux, aussi purs que le plus pur des anges de Dieu: et nous serons revêtus de sa justice, cette justice qui fait du Saint qui la porte positivement "sans faute"; oui parfait au regard de Dieu. Nous serons irréprochables, et irrépréhensibles même â ses yeux. Sa foi, non seulement n’aura rien contre nous, mais elle sera magnifiée en nous. De plus l’oeuvre du Saint-Esprit en nous sera entièrement accomplie. Il nous rendra si parfaitement saint, que nous ne nous attarderons pas â la tendance â pécher.
Le jugement, la mémoire, la volonté, chaque puissance et passion seront émancipées de l’esclavage du diable. Nous serons saints comme Dieu est Saint, et dans sa présence nous demeurerons pour toujours. Les saints ne seront pas en dehors du ciel, leur beauté sera aussi grande que la place qui a été préparée pour eux. Oh! l’enlèvement de cette heure quand les portes s’ouvriront, et que nous étant levés pour prendre possession de l’héritage, nous demeurerons avec les saints dans la lumière. Le péché parti, Satan exclu, la tentation passée pour toujours, et nous-mêmes "sans faute" devant Dieu, ceci sera le ciel bien sûr! Réjouissons-nous maintenant comme nous répétons le chant de la louange éternelle pour bientôt, de concert avec tous les esprits lavés dans le sang: n’être qu’un. Prenons modèle sur les exaltations de David devant l’arche comme un prélude â nos saints transports devant le trône.
#Mt 23:1-24:51 * Lecture Quotidienne de la Bible
Lecture du soir Spurgeon 09-10-2017
9 Octobre-Soir.
Il ne lui répondit pas un mot, {#Mt 15:23}
Vous qui cherchez vraiment mais qui n’avez pas encore reçu la bénédiction, soyez réconfortés par le récit qui suit. Le Sauveur n’a pas accordé la bénédiction tout de suite, bien que la femme aie eu une grande foi en Lui. Il avait prévu de la lui donner, mais il attendit un peu. "Il ne lui répondit pas un mot." Ses prières n’étaient-elles pas bonnes? Elles n’auraient pas pu être meilleures. Son cas n’était-il pas nécessiteux? Tristement nécessiteux. Ne ressentait-elle pas suffisamment son besoin? Elle le ressentait d’une manière accablante. N’était-elle pas assez sérieuse? Elle l’était intensément. N’avait-elle pas la foi? Elle en avait tellement que même Jésus s’étonna et dit "O femme, ta foi est grande". Comprends donc que, bien qu’il soit vrai que la foi donne la paix, elle ne la donne pas toujours instantanément. Il peut y avoir des raisons qui nécessitent l’épreuve de la foi, plutôt que la rémunération de la foi. La foi authentique peut se trouver dans l’âme comme une semence cachée, sans avoir encore fait bourgeonner et fleurir la joie et la paix. Bien des âmes en recherche se trouvent confrontées â la pénible épreuve d’un silence douloureux de la part du Seigneur, mais il est plus difficile encore de se voir affliger une réponse tranchante comme celle-ci: "Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens." Nombreux sont ceux qui, s’attendant au Seigneur, trouvent une joie immédiate mais ce n’est pas le cas de tous. Quelques-uns, comme le gardien de la prison, passent en un instant des ténèbres â la lumière, mais d’autres sont des plantes qui poussent plus lentement. Il peut t’être donné une sensation plus forte de péché au lieu d’un sentiment de pardon, et dans ce cas, tu auras besoin de patience pour supporter le coup dur. Ah! Pauvre coeur, même si Christ te bat et te meurtrit, ou même t’assassine, fais-lui confiance; même s’il te parlait avec colère, crois en l’amour de son coeur. Je t’ en supplie, n’abandonne pas tes recherches, ni ta confiance dans mon Maître, parce que tu n’as pas encore obtenu la joie consciente dont tu te languis. Fonds-toi en Lui, et dépend de Lui avec persévérance même quand tu ne peux pas espérer joyeusement.
Il ne lui répondit pas un mot, {#Mt 15:23}
Vous qui cherchez vraiment mais qui n’avez pas encore reçu la bénédiction, soyez réconfortés par le récit qui suit. Le Sauveur n’a pas accordé la bénédiction tout de suite, bien que la femme aie eu une grande foi en Lui. Il avait prévu de la lui donner, mais il attendit un peu. "Il ne lui répondit pas un mot." Ses prières n’étaient-elles pas bonnes? Elles n’auraient pas pu être meilleures. Son cas n’était-il pas nécessiteux? Tristement nécessiteux. Ne ressentait-elle pas suffisamment son besoin? Elle le ressentait d’une manière accablante. N’était-elle pas assez sérieuse? Elle l’était intensément. N’avait-elle pas la foi? Elle en avait tellement que même Jésus s’étonna et dit "O femme, ta foi est grande". Comprends donc que, bien qu’il soit vrai que la foi donne la paix, elle ne la donne pas toujours instantanément. Il peut y avoir des raisons qui nécessitent l’épreuve de la foi, plutôt que la rémunération de la foi. La foi authentique peut se trouver dans l’âme comme une semence cachée, sans avoir encore fait bourgeonner et fleurir la joie et la paix. Bien des âmes en recherche se trouvent confrontées â la pénible épreuve d’un silence douloureux de la part du Seigneur, mais il est plus difficile encore de se voir affliger une réponse tranchante comme celle-ci: "Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens." Nombreux sont ceux qui, s’attendant au Seigneur, trouvent une joie immédiate mais ce n’est pas le cas de tous. Quelques-uns, comme le gardien de la prison, passent en un instant des ténèbres â la lumière, mais d’autres sont des plantes qui poussent plus lentement. Il peut t’être donné une sensation plus forte de péché au lieu d’un sentiment de pardon, et dans ce cas, tu auras besoin de patience pour supporter le coup dur. Ah! Pauvre coeur, même si Christ te bat et te meurtrit, ou même t’assassine, fais-lui confiance; même s’il te parlait avec colère, crois en l’amour de son coeur. Je t’ en supplie, n’abandonne pas tes recherches, ni ta confiance dans mon Maître, parce que tu n’as pas encore obtenu la joie consciente dont tu te languis. Fonds-toi en Lui, et dépend de Lui avec persévérance même quand tu ne peux pas espérer joyeusement.
lundi 9 octobre 2017
Lecture du matin Spurgeon 09-10-2017
9 octobre-Matin
Or, à celui qui peut vous préserver de toute chute {#Jude 1:24}
Dans un certain sens le chemin du ciel est très sûr, mais â certains égards il n’y a pas de route aussi dangereuse. Elle est jonchée de difficultés. Un faux pas (et combien il est facile de l’accomplir quand la grâce fait défaut), et nous voilâ par terre. Quel chemin glissant est celui sur lequel quelques uns d’entre nous, marchons! Combien de fois nous sommes-nous exclamés avec le Psalmiste, "mes pieds étaient sur le point de fléchir, et mes pas sur le point de glisser". Si nous étions forts, des montagnards au pied sûr, ceci ne serait pas un problème important; mais en nous-mêmes, combien nous sommes faibles, même sur les meilleurs chemins, où nous sommes prêts â chanceler, et sur les plus doux sentiers nous sommes prompts â trébucher. Ces faibles genoux que sont les nôtres peuvent â peine supporter notre poids plume. Une paille peut nous faire fléchir, et un petit caillou nous blesser; nous sommes de simples enfants tremblants et apprenant â faire nos premiers pas sur le chemin de la foi; notre père Céleste nous tient par les bras sinon nous serions bientôt par terre. Oh, si nous sommes capables de nous préserver de la chute, combien nous devons bénir la puissance patiente qui veille sur nous jour après jour! Pensez combien nous sommes enclins â pêcher, combien capables â choisir le danger, combien nous sommes forts pour tendre â nous jeter nous-mêmes â terre, et ces réflexions nous ferons chanter plus tendrement que jamais: "gloire soit â celui qui nous préserve de toute chute". Nous avons plusieurs malheurs, qui essayent de nous pousser â chuter. Le chemin est rude et nous sommes faibles, mais en plus de ceci, les ennemis nous tendent secrètement des embûches, qui surgissent de leur repaire quand nous nous y attendons le moins, et travaillent â nous faire trébucher, ou â nous jeter dans le prochain précipice. Seulement un bras tout puissant peut nous préserver de ces malheurs invisibles, qui cherchent â nous détruire. Tel un bras engagé pour notre défense. Il est fidèle celui qui a fait la promesse, et il est capable de nous garder de la chute, c’est ainsi qu’avec un profond sentiment de notre extrême faiblesse, nous pouvons garder une ferme conviction dans notre parfaite sécurité, et dire avec une confiance joyeuse,
Contre moi la terre et l’enfer se liguent,
Mais à mes côtés est la puissance divine;
Jésus est tout, et il est mien !
#Mt 21:1-22:26 * Lecture Quotidienne de la Bible
Or, à celui qui peut vous préserver de toute chute {#Jude 1:24}
Dans un certain sens le chemin du ciel est très sûr, mais â certains égards il n’y a pas de route aussi dangereuse. Elle est jonchée de difficultés. Un faux pas (et combien il est facile de l’accomplir quand la grâce fait défaut), et nous voilâ par terre. Quel chemin glissant est celui sur lequel quelques uns d’entre nous, marchons! Combien de fois nous sommes-nous exclamés avec le Psalmiste, "mes pieds étaient sur le point de fléchir, et mes pas sur le point de glisser". Si nous étions forts, des montagnards au pied sûr, ceci ne serait pas un problème important; mais en nous-mêmes, combien nous sommes faibles, même sur les meilleurs chemins, où nous sommes prêts â chanceler, et sur les plus doux sentiers nous sommes prompts â trébucher. Ces faibles genoux que sont les nôtres peuvent â peine supporter notre poids plume. Une paille peut nous faire fléchir, et un petit caillou nous blesser; nous sommes de simples enfants tremblants et apprenant â faire nos premiers pas sur le chemin de la foi; notre père Céleste nous tient par les bras sinon nous serions bientôt par terre. Oh, si nous sommes capables de nous préserver de la chute, combien nous devons bénir la puissance patiente qui veille sur nous jour après jour! Pensez combien nous sommes enclins â pêcher, combien capables â choisir le danger, combien nous sommes forts pour tendre â nous jeter nous-mêmes â terre, et ces réflexions nous ferons chanter plus tendrement que jamais: "gloire soit â celui qui nous préserve de toute chute". Nous avons plusieurs malheurs, qui essayent de nous pousser â chuter. Le chemin est rude et nous sommes faibles, mais en plus de ceci, les ennemis nous tendent secrètement des embûches, qui surgissent de leur repaire quand nous nous y attendons le moins, et travaillent â nous faire trébucher, ou â nous jeter dans le prochain précipice. Seulement un bras tout puissant peut nous préserver de ces malheurs invisibles, qui cherchent â nous détruire. Tel un bras engagé pour notre défense. Il est fidèle celui qui a fait la promesse, et il est capable de nous garder de la chute, c’est ainsi qu’avec un profond sentiment de notre extrême faiblesse, nous pouvons garder une ferme conviction dans notre parfaite sécurité, et dire avec une confiance joyeuse,
Contre moi la terre et l’enfer se liguent,
Mais à mes côtés est la puissance divine;
Jésus est tout, et il est mien !
#Mt 21:1-22:26 * Lecture Quotidienne de la Bible
dimanche 8 octobre 2017
Lecture du soir Spurgeon 08-10-2017
8 Octobre-Soir.
Et priant par le Saint-Esprit, {#Jude 1:20}
Notons la grande caractéristique de la vraie prière: "Par le Saint-Esprit". La semence d’une dévotion satisfaisante doit venir du grenier des cieux. Seule la prière qui vient de Dieu peut aller vers Dieu. Il faut renvoyer vers lui les flèches du Seigneur. Le désir qu’Il écrit sur notre coeur touchera son coeur et apportera une bénédiction, mais les désirs de la chair n’ont aucun pouvoir sur Lui.
Prier par le Saint-Esprit est prier avec "ferveur". Les prières froides invitent le Seigneur â ne pas les écouter. Ceux qui ne plaident pas avec ferveur, ne plaident pas du tout. Autant parler d’un feu tiède que d’une prière tiède; il est essentiel que celle-ci soit ardente, c’est â dire prier avec "persévérance". La vraie supplication rassemble des forces alors qu’elle avance, et devient plus fervente lorsque Dieu tarde â répondre. Plus la porte tarde â s’ouvrir, plus intensément cogne celui qui frappe; et plus l’ange s’attarde, plus il est résolu â ne pas le laisser partir sans la bénédiction. Combien l’insistance avec des larmes, l’angoisse qui importune est belle aux yeux de Dieu. Cela signifie prier "avec humilité", car le Saint-Esprit ne nous enfle pas d’orgueil. Il est de son devoir de convaincre de péché, afin de nous amener â nous prosterner d’un esprit contrit et brisé. Nous ne chanterons jamais "Gloria in excelxis" â moins de prier Dieu "De profundis": nous devons pleurer du plus profond de nous-mêmes ou nous ne verrons jamais la gloire céleste. Il s’agit de prier avec amour. La prière devrait être parfumée d’amour, saturée d’amour: amour de nos amis saints et amour de Christ. Encore plus, cela doit être une prière pleine de foi. Un homme triomphe seulement lorsqu’ il croit. Le Saint-Esprit est l’auteur de la foi, et la renforce, afin que nous priions en croyant â la promesse de Dieu. Oh! Que cette combinaison bénie de grâces excellentes, inestimables et douces comme les épices du marchand, soit en nous comme un parfum de bonne odeur, car l’Esprit-Saint est dans nos coeurs! Consolateur le plus béni, exerce en nous ton puissant pouvoir venant au secours de nos infirmités dans la prière.
Et priant par le Saint-Esprit, {#Jude 1:20}
Notons la grande caractéristique de la vraie prière: "Par le Saint-Esprit". La semence d’une dévotion satisfaisante doit venir du grenier des cieux. Seule la prière qui vient de Dieu peut aller vers Dieu. Il faut renvoyer vers lui les flèches du Seigneur. Le désir qu’Il écrit sur notre coeur touchera son coeur et apportera une bénédiction, mais les désirs de la chair n’ont aucun pouvoir sur Lui.
Prier par le Saint-Esprit est prier avec "ferveur". Les prières froides invitent le Seigneur â ne pas les écouter. Ceux qui ne plaident pas avec ferveur, ne plaident pas du tout. Autant parler d’un feu tiède que d’une prière tiède; il est essentiel que celle-ci soit ardente, c’est â dire prier avec "persévérance". La vraie supplication rassemble des forces alors qu’elle avance, et devient plus fervente lorsque Dieu tarde â répondre. Plus la porte tarde â s’ouvrir, plus intensément cogne celui qui frappe; et plus l’ange s’attarde, plus il est résolu â ne pas le laisser partir sans la bénédiction. Combien l’insistance avec des larmes, l’angoisse qui importune est belle aux yeux de Dieu. Cela signifie prier "avec humilité", car le Saint-Esprit ne nous enfle pas d’orgueil. Il est de son devoir de convaincre de péché, afin de nous amener â nous prosterner d’un esprit contrit et brisé. Nous ne chanterons jamais "Gloria in excelxis" â moins de prier Dieu "De profundis": nous devons pleurer du plus profond de nous-mêmes ou nous ne verrons jamais la gloire céleste. Il s’agit de prier avec amour. La prière devrait être parfumée d’amour, saturée d’amour: amour de nos amis saints et amour de Christ. Encore plus, cela doit être une prière pleine de foi. Un homme triomphe seulement lorsqu’ il croit. Le Saint-Esprit est l’auteur de la foi, et la renforce, afin que nous priions en croyant â la promesse de Dieu. Oh! Que cette combinaison bénie de grâces excellentes, inestimables et douces comme les épices du marchand, soit en nous comme un parfum de bonne odeur, car l’Esprit-Saint est dans nos coeurs! Consolateur le plus béni, exerce en nous ton puissant pouvoir venant au secours de nos infirmités dans la prière.
Lecture du matin Spurgeon 08-10-2017
8 octobre-Matin
Avance en pleine eau, et jetez vos filets pour pêcher. {#Lu 5:4}
Nous apprenons dans ce récit la nécessité de l’action humaine. Le coup de filet était miraculeux, encore que ni le pêcheur, ni son bateau, ni son matériel de pêche n’étaient négligés; mais tout était mis en oeuvre pour prendre les poissons. Ainsi dans le salut des âmes, Dieu travaille par des moyens; et tandis que la présente économie de la grâce demeure, Dieu sera réjoui par la folie de la prédication pour sauver ceux qui croient. Quand Dieu travaille sans instruments, sans nul doute il est glorifié; mais il a lui-même conçu le dessein de l’instrumentalité comme étant celui par lequel il est le plus magnifié sur la terre. Les moyens par eux-mêmes sont totalement inutiles au Maître, nous avons travaillé toute la nuit et n’avons rien pris. Quelle était la raison de ceci? N’étaient-ils pas des pêcheurs faisant appel â leur vigueur en la matière? Certainement, ils n’étaient pas des novices; ils s’y connaissaient dans ce travail. Etaient-ils partis pour travailler dur de manière irréfléchie? Non. Avaient-ils manqué d’assiduité? Non, ils avaient travaillé durement. Avaient-ils manqué de persévérance? Non, ils avaient travaillé toute la nuit. Y avait-il un manque de poissons dans la mer? Certainement pas, car aussitôt que le Maître vint, ils ont pu remplir leur filet. Quelle était alors la vraie raison? N’était-ce pas parce qu’il n’y a aucune puissance en nous-mêmes en dehors de Jésus? Sans lui nous ne pouvons rien faire. Mais avec Christ tout est possible. La présence de Christ assure le succès. Jésus s’assit dans le bateau de Pierre, et sa volonté, par une influence mystérieuse, attira le poisson dans le filet. Lorsque Jésus est élevé dans son Eglise, sa présence est la puissance de l’Eglise. Le cri d’un roi est au milieu d’elle. "Si je suis élevé, j’attirerai tous les hommes â moi". Sortons ce matin sur notre oeuvre de pêche de l’âme, regardant par la foi, et autour de nous avec une anxiété solennelle. Travaillons jusqu’â ce que la nuit vienne, et nous ne travaillerons pas en vain, car celui qui nous ordonne de jeter le filet, le remplira de poissons.
#Mt 18:1-20:34 * Lecture Quotidienne de la Bible
Avance en pleine eau, et jetez vos filets pour pêcher. {#Lu 5:4}
Nous apprenons dans ce récit la nécessité de l’action humaine. Le coup de filet était miraculeux, encore que ni le pêcheur, ni son bateau, ni son matériel de pêche n’étaient négligés; mais tout était mis en oeuvre pour prendre les poissons. Ainsi dans le salut des âmes, Dieu travaille par des moyens; et tandis que la présente économie de la grâce demeure, Dieu sera réjoui par la folie de la prédication pour sauver ceux qui croient. Quand Dieu travaille sans instruments, sans nul doute il est glorifié; mais il a lui-même conçu le dessein de l’instrumentalité comme étant celui par lequel il est le plus magnifié sur la terre. Les moyens par eux-mêmes sont totalement inutiles au Maître, nous avons travaillé toute la nuit et n’avons rien pris. Quelle était la raison de ceci? N’étaient-ils pas des pêcheurs faisant appel â leur vigueur en la matière? Certainement, ils n’étaient pas des novices; ils s’y connaissaient dans ce travail. Etaient-ils partis pour travailler dur de manière irréfléchie? Non. Avaient-ils manqué d’assiduité? Non, ils avaient travaillé durement. Avaient-ils manqué de persévérance? Non, ils avaient travaillé toute la nuit. Y avait-il un manque de poissons dans la mer? Certainement pas, car aussitôt que le Maître vint, ils ont pu remplir leur filet. Quelle était alors la vraie raison? N’était-ce pas parce qu’il n’y a aucune puissance en nous-mêmes en dehors de Jésus? Sans lui nous ne pouvons rien faire. Mais avec Christ tout est possible. La présence de Christ assure le succès. Jésus s’assit dans le bateau de Pierre, et sa volonté, par une influence mystérieuse, attira le poisson dans le filet. Lorsque Jésus est élevé dans son Eglise, sa présence est la puissance de l’Eglise. Le cri d’un roi est au milieu d’elle. "Si je suis élevé, j’attirerai tous les hommes â moi". Sortons ce matin sur notre oeuvre de pêche de l’âme, regardant par la foi, et autour de nous avec une anxiété solennelle. Travaillons jusqu’â ce que la nuit vienne, et nous ne travaillerons pas en vain, car celui qui nous ordonne de jeter le filet, le remplira de poissons.
#Mt 18:1-20:34 * Lecture Quotidienne de la Bible
samedi 7 octobre 2017
Lecture du soir Spurgeon 07-10-2017
7 Octobre-Soir.
En qui donc as-tu placé ta confiance, {#Isa 36:5}
Cher lecteur, ceci est une question importante. Ecoute la réponse du chrétien, et vois si c’est la tienne. "En qui as-tu placé ta confiance? "J’ai confiance", dit le chrétien, "en un Dieu trinitaire. J’ai placé ma confiance dans "le Père", croyant qu’Il m’a choisi dès la fondation du monde; je lui fais confiance pour pourvoir â mes lendemains, pour m’enseigner, me guider, me corriger s’il le faut et pour m’emmener de chez moi, dans sa propre maison, lâ où se trouvent plusieurs demeures. J’ai placé ma confiance dans "le Fils". Il est l’essence même de Dieu; Jésus- Christ fait homme. Je lui fais confiance pour ôter tous mes péchés par son propre sacrifice et me revêtir de sa justice parfaite. Je lui fais confiance pour être mon intercesseur, pour présenter mes prières et mes désirs devant le trône de son Père. Et je lui fais confiance pour être mon avocat au dernier jour, pour plaider ma cause, et pour me justifier. Je lui fais confiance pour ce qu’Il est, pour ce qu’Il a fait, et pour ce qu’Il a encore promis de faire. Et, j’ai placé ma confiance dans "le Saint-Esprit": Il a commencé â me délivrer de mes péchés ancrés en moi; je lui fais confiance pour m’en défaire complètement; je lui fais confiance pour maîtriser mon caractère, assujettir ma volonté, pour éclairer mon intelligence, pour contrôler mes passions, pour me réconforter quand je suis découragé, pour compenser ma faiblesse, pour illuminer mes ténèbres; je place ma confiance en lui pour m’habiter comme ma propre vie, pour régner en moi comme mon Roi, pour me sanctifier entièrement, esprit, corps et âme, et ensuite m’enlever pour reposer avec les saints pour toujours, dans la lumière.
Oh, confiance bénie! Placer sa confiance en celui dont la puissance ne s’épuisera jamais, dont l’amour ne faiblira jamais, dont la bienveillance ne changera jamais, dont la fidélité ne faillira jamais, dont la sagesse ne sera jamais confondue, et dont la bonté parfaite ne diminuera jamais! Tu es heureux, cher lecteur, si cette confiance est la tienne! Faisant ainsi confiance, tu jouiras d’une douce paix maintenant, et de la gloire désormais; et les bases de ta confiance ne seront jamais ôtées.
En qui donc as-tu placé ta confiance, {#Isa 36:5}
Cher lecteur, ceci est une question importante. Ecoute la réponse du chrétien, et vois si c’est la tienne. "En qui as-tu placé ta confiance? "J’ai confiance", dit le chrétien, "en un Dieu trinitaire. J’ai placé ma confiance dans "le Père", croyant qu’Il m’a choisi dès la fondation du monde; je lui fais confiance pour pourvoir â mes lendemains, pour m’enseigner, me guider, me corriger s’il le faut et pour m’emmener de chez moi, dans sa propre maison, lâ où se trouvent plusieurs demeures. J’ai placé ma confiance dans "le Fils". Il est l’essence même de Dieu; Jésus- Christ fait homme. Je lui fais confiance pour ôter tous mes péchés par son propre sacrifice et me revêtir de sa justice parfaite. Je lui fais confiance pour être mon intercesseur, pour présenter mes prières et mes désirs devant le trône de son Père. Et je lui fais confiance pour être mon avocat au dernier jour, pour plaider ma cause, et pour me justifier. Je lui fais confiance pour ce qu’Il est, pour ce qu’Il a fait, et pour ce qu’Il a encore promis de faire. Et, j’ai placé ma confiance dans "le Saint-Esprit": Il a commencé â me délivrer de mes péchés ancrés en moi; je lui fais confiance pour m’en défaire complètement; je lui fais confiance pour maîtriser mon caractère, assujettir ma volonté, pour éclairer mon intelligence, pour contrôler mes passions, pour me réconforter quand je suis découragé, pour compenser ma faiblesse, pour illuminer mes ténèbres; je place ma confiance en lui pour m’habiter comme ma propre vie, pour régner en moi comme mon Roi, pour me sanctifier entièrement, esprit, corps et âme, et ensuite m’enlever pour reposer avec les saints pour toujours, dans la lumière.
Oh, confiance bénie! Placer sa confiance en celui dont la puissance ne s’épuisera jamais, dont l’amour ne faiblira jamais, dont la bienveillance ne changera jamais, dont la fidélité ne faillira jamais, dont la sagesse ne sera jamais confondue, et dont la bonté parfaite ne diminuera jamais! Tu es heureux, cher lecteur, si cette confiance est la tienne! Faisant ainsi confiance, tu jouiras d’une douce paix maintenant, et de la gloire désormais; et les bases de ta confiance ne seront jamais ôtées.
Lecture du matin Spurgeon 07-10-2017
7 octobre-Matin
Pourquoi affliges-tu ton serviteur ?{#Nu 11:11}
Notre Père céleste autorise souvent que des malheurs viennent éprouver notre foi. Si notre foi vaut quelque chose, elle tiendra ferme dans l’épreuve. L’ornement craint le feu, mais pas l’or, la fausse perle a horreur d’être soumise au taillant du diamant, mais le vrai joyau ne craint pas l’épreuve. Ce n’est qu’une pauvre foi quand elle se confie en Dieu seulement quand les amis sont vrais, le corps plein de santé, les affaires florissantes, mais c’est la vraie foi qui tient bon â la fidélité de Dieu quand les amis s’en vont, quand le corps est malade, quand les esprits sont déprimés, et la lumière de la face du Père cachée. Une foi qui peut dire dans la plus désastreuse situation: "quoiqu’il me tue, je veux encore me confier en lui", est une foi née dans le ciel. Le Seigneur afflige ses serviteurs pour se glorifier lui-même, car il est hautement glorifié dans les grâces accordées â son peuple, qui sont l’oeuvre de ses mains, quand la tribulation oeuvre pour la patience, et la patience pour l’expérience, et la victoire pour l’espérance. Le Seigneur est honoré par ces vertus qui croissent. Nous ne connaîtrions jamais la musique de la harpe si les cordes restaient sans être touchées, accordées; ni jouir du jus de la grappe si elle n’était pas écrasée dans le pressoir, ni découvrir le parfum du cinnamome, si elle n’était pressée et battue. Ni sentir la chaleur du feu si les charbons n’étaient entièrement consumés. La sagesse et la puissance du grand ouvrier sont découvertes â travers les épreuves permises auxquelles sont soumis les vases de miséricorde. Les afflictions du moment présent conduisent â connaître dans le futur une joie plus élevée. Il doit y avoir des ombres dans un tableau pour mieux en faire ressortir les lumières.
Pourrions-nous être si suprêmement bénis au ciel, si nous n’avions pas préalablement connu la malédiction du péché et la tristesse terrestre? La paix ne sera-t-elle pas plus douce après le combat et le repos mieux accueilli après être sorti du filet? Le souvenir des souffrances passées n’élèveront-elles pas la béatitude du glorifié? Il y a plusieurs autres réponses confortables â la question que nous avons soulevée dans notre brève méditation, méditons sur elle pendant toute cette journée.
#Mt 15:1-17:27 * Lecture Quotidienne de la Bible
Pourquoi affliges-tu ton serviteur ?{#Nu 11:11}
Notre Père céleste autorise souvent que des malheurs viennent éprouver notre foi. Si notre foi vaut quelque chose, elle tiendra ferme dans l’épreuve. L’ornement craint le feu, mais pas l’or, la fausse perle a horreur d’être soumise au taillant du diamant, mais le vrai joyau ne craint pas l’épreuve. Ce n’est qu’une pauvre foi quand elle se confie en Dieu seulement quand les amis sont vrais, le corps plein de santé, les affaires florissantes, mais c’est la vraie foi qui tient bon â la fidélité de Dieu quand les amis s’en vont, quand le corps est malade, quand les esprits sont déprimés, et la lumière de la face du Père cachée. Une foi qui peut dire dans la plus désastreuse situation: "quoiqu’il me tue, je veux encore me confier en lui", est une foi née dans le ciel. Le Seigneur afflige ses serviteurs pour se glorifier lui-même, car il est hautement glorifié dans les grâces accordées â son peuple, qui sont l’oeuvre de ses mains, quand la tribulation oeuvre pour la patience, et la patience pour l’expérience, et la victoire pour l’espérance. Le Seigneur est honoré par ces vertus qui croissent. Nous ne connaîtrions jamais la musique de la harpe si les cordes restaient sans être touchées, accordées; ni jouir du jus de la grappe si elle n’était pas écrasée dans le pressoir, ni découvrir le parfum du cinnamome, si elle n’était pressée et battue. Ni sentir la chaleur du feu si les charbons n’étaient entièrement consumés. La sagesse et la puissance du grand ouvrier sont découvertes â travers les épreuves permises auxquelles sont soumis les vases de miséricorde. Les afflictions du moment présent conduisent â connaître dans le futur une joie plus élevée. Il doit y avoir des ombres dans un tableau pour mieux en faire ressortir les lumières.
Pourrions-nous être si suprêmement bénis au ciel, si nous n’avions pas préalablement connu la malédiction du péché et la tristesse terrestre? La paix ne sera-t-elle pas plus douce après le combat et le repos mieux accueilli après être sorti du filet? Le souvenir des souffrances passées n’élèveront-elles pas la béatitude du glorifié? Il y a plusieurs autres réponses confortables â la question que nous avons soulevée dans notre brève méditation, méditons sur elle pendant toute cette journée.
#Mt 15:1-17:27 * Lecture Quotidienne de la Bible