30 Septembre-Matin.
Chantez la gloire de son nom, Célébrez sa gloire par vos louanges! {#Ps 66:2}
Il ne nous appartient pas de choisir si nous devons louer Dieu ou non. La louange est le droit le plus juste de Dieu, et chaque chrétien est le bénéficiaire de sa grâce, il est engagé â louer Dieu jour après jour. Il est vrai que nous n’avons aucun passage de référence pour la louange quotidienne; il n’y a aucun commandement prescrivant certaines heures pour le chant et l’action de grâce; mais la loi écrite dans le coeur nous enseigne qu’il est juste de louer Dieu; et les instructions non écrites viennent â nous avec autant de force que si elles avaient été gravées sur les tables de pierre, ou transmises depuis le sommet du Sinaï tonitruant. Oui, c’est le "devoir" du chrétien de louer Dieu. Ce n’est pas seulement un exercice plaisant, mais c’est l’obligation absolue de sa vie. Ne pense pas, toi qui pleure tout le temps, que tu es innocent â cet égard, ou n’imagine pas que tu peux accomplir ton droit envers ton Dieu sans chants de louanges. Tu es lié par les liens de son amour, pour bénir son nom aussi longtemps que tu vivras, et ta louange devrait être continuellement dans ta bouche, car tu es béni afin que tu puisses le bénir. "Le peuple que je me suis formé publiera mes louanges". Et si tu ne loues pas Dieu tu ne produiras pas le fruit, que lui en tant que Divin époux, est en droit d’attendre de tes mains. Ne laisse pas ta harpe suspendue aux saules mais enlève-la, et efforce-toi, avec un coeur reconnaissant de produire sa musique la plus puissante. Elève et psalmodie ses louanges. Avec l’aurore élève tes notes d’action de grâce, et que chaque coucher de soleil soit suivi de ton chant. Remplis la terre de tes louanges; enveloppe-la d’une atmosphère de mélodie, et Dieu lui-même écoutera des cieux et agréera ta musique.
Cependant je t’aime et je t’aimerai,
Et ta louange je chanterai,
Car tu es mon Dieu qui m’aime
Et mon roi qui me rachète.
#Mal 1:1-4:6 * Lecture Quotidienne de la Bible
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samedi 30 septembre 2017
Lecture du soir Spurgeon 29-09-2017
29 septembre-Soir
J’ai trouvé celui que mon coeur aime; je l’ai saisi, et je ne l’ai point lâché. {#So 3:4}
Christ nous a-t-il reçus quand nous sommes venus â lui, ne retenant rien de notre passé coupable? A-t-il jamais fait quelque reproche â notre égard pour avoir essayé toutes les autres solutions d’abord? Et y-a-t-il quelqu’un qui lui ressemble sur la terre? Est-il le meilleur de tous les bons, le plus beau de tous les nobles? Oh, alors louons-le! Filles de Jérusalem, exaltez-le avec la voix et la harpe! Courbez-vous, inclinez-vous avec vos idoles et levez-vous avec le Seigneur Jésus. Et maintenant, que les modèles de vanité mondaine et l’orgueil soient foulés aux pieds, mais que la croix de Jésus, que le monde méprise si méchamment et dont il se moque, soit élevée très haut pour toujours, et que mon âme s’assied â son marchepied, embrasse ses pieds, et les lave de larmes. Oh! comme Christ est précieux ! Comment se peut-il que j’ai pu avoir des pensées si basses â son égard? Comment ai-je pu aller au loin pour rechercher la joie et la consolation tandis qu’il en est la plénitude, si riche, si satisfaisante. Compagnon croyant, fais une alliance avec ton coeur pour que tu ne le quittes jamais, et demande au Seigneur de la ratifier. Invite-le â te mettre comme un sceau sur son doigt, et un bracelet sur son bras. Demande-lui de te lier â lui, et comme une future se pare de ses ornements, et comme un fiancé met ses joyaux. Je veux vivre dans le coeur de Christ, et dans les creux de ce rocher mon âme voudrait éternellement demeurer. Le passereau a une maison, et l’hirondelle un nid pour elle-même où elle peut déposer ses petits, de même tes autels, O Seigneur des Armées, mon Roi et mon Dieu! et de même je veux faire mon nid, ma maison, en toi. Que jamais mon âme ne désire s’envoler, ne puisse s’en aller de nouveau, mais puissé-je nicher près de toi, O Jésus mon vrai et seul repos! Lorsque je trouve mon précieux Seigneur, toutes mes passions ardentes brûlent pour lui, et avec des cordes d’amour je le lie, le tient et je ne le laisserai plus partir.
J’ai trouvé celui que mon coeur aime; je l’ai saisi, et je ne l’ai point lâché. {#So 3:4}
Christ nous a-t-il reçus quand nous sommes venus â lui, ne retenant rien de notre passé coupable? A-t-il jamais fait quelque reproche â notre égard pour avoir essayé toutes les autres solutions d’abord? Et y-a-t-il quelqu’un qui lui ressemble sur la terre? Est-il le meilleur de tous les bons, le plus beau de tous les nobles? Oh, alors louons-le! Filles de Jérusalem, exaltez-le avec la voix et la harpe! Courbez-vous, inclinez-vous avec vos idoles et levez-vous avec le Seigneur Jésus. Et maintenant, que les modèles de vanité mondaine et l’orgueil soient foulés aux pieds, mais que la croix de Jésus, que le monde méprise si méchamment et dont il se moque, soit élevée très haut pour toujours, et que mon âme s’assied â son marchepied, embrasse ses pieds, et les lave de larmes. Oh! comme Christ est précieux ! Comment se peut-il que j’ai pu avoir des pensées si basses â son égard? Comment ai-je pu aller au loin pour rechercher la joie et la consolation tandis qu’il en est la plénitude, si riche, si satisfaisante. Compagnon croyant, fais une alliance avec ton coeur pour que tu ne le quittes jamais, et demande au Seigneur de la ratifier. Invite-le â te mettre comme un sceau sur son doigt, et un bracelet sur son bras. Demande-lui de te lier â lui, et comme une future se pare de ses ornements, et comme un fiancé met ses joyaux. Je veux vivre dans le coeur de Christ, et dans les creux de ce rocher mon âme voudrait éternellement demeurer. Le passereau a une maison, et l’hirondelle un nid pour elle-même où elle peut déposer ses petits, de même tes autels, O Seigneur des Armées, mon Roi et mon Dieu! et de même je veux faire mon nid, ma maison, en toi. Que jamais mon âme ne désire s’envoler, ne puisse s’en aller de nouveau, mais puissé-je nicher près de toi, O Jésus mon vrai et seul repos! Lorsque je trouve mon précieux Seigneur, toutes mes passions ardentes brûlent pour lui, et avec des cordes d’amour je le lie, le tient et je ne le laisserai plus partir.
vendredi 29 septembre 2017
Lecture du matin Spurgeon 29-09-2017
29 Septembre-Matin.
Et quand il aura vu que la lèpre couvre tout le corps, il déclarera pur celui qui a la plaie: comme il est entièrement devenu blanc, il est pur. {#Le 13:13}
Cette réglementation paraissait assez étrange, néanmoins elle contenait de la sagesse, car le rejet de la maladie prouvait que la constitution était entendue. Ce matin il serait bon pour nous de voir l’enseignement typique de cette règle si singulière. Nous aussi, nous sommes des lépreux et nous devrions lire la loi de la lèpre comme nous étant applicable. Lorsqu’un homme se voit être â la fois perdu et ruiné, recouvert entièrement de la souillure du péché, qu’il rejette toute justice qui lui est propre, et plaide coupable devant le Seigneur, alors il est pur au travers du sang de Jésus et de la grâce de Dieu. L’iniquité cachée, non ressentie, non confessée, est la vraie lèpre mais quand on voit le péché et qu’on le ressent, il a reçu son souffle de mort, et le Seigneur regarde avec des yeux de pitié l’âme affligée. Rien n’est plus mortel que sa propre justice, ou plus encourageant que la pénitence. Nous devons confesser que nous ne sommes rien d’autre que "péché", car aucune confession en dehors de celle ci n’est l’entière vérité, mais si le Saint-Esprit travaille en nous, nous convaincant de péché, il n’y aura aucune difficulté â faire un tel aveu. Cela sortira spontanément de nos lèvres. Quelle consolation offre le texte â ceux qui ont un sentiment profond de péché! Le péché confessé, et sur lequel on pleure, pourtant noir et immonde, n’exclura jamais un homme du Seigneur Jésus. Celui qui vient â lui ne sera rejeté en aucune façon. Bien que malhonnête comme un voleur, bien que souillé comme une femme pécheresse, bien que redoutable comme Saul de Tarse, bien que cruel comme Manassé, bien que rebelle comme le fils prodigue, le grand coeur d’amour jettera ses regards sur l’homme qui se sent malade intérieurement et le déclarera pur, quand il s’abandonnera et mettra ses espoirs en Jésus crucifié.
Viens â lui, alors, pauvre pécheur lourdement chargé,
Viens besogneux, viens coupable
Viens dégouttant et dénudé
Tu ne peux pas venir trop sale
Viens juste comme tu es.
#Zec 8:1-14:21 * Lecture Quotidienne de la Bible
Et quand il aura vu que la lèpre couvre tout le corps, il déclarera pur celui qui a la plaie: comme il est entièrement devenu blanc, il est pur. {#Le 13:13}
Cette réglementation paraissait assez étrange, néanmoins elle contenait de la sagesse, car le rejet de la maladie prouvait que la constitution était entendue. Ce matin il serait bon pour nous de voir l’enseignement typique de cette règle si singulière. Nous aussi, nous sommes des lépreux et nous devrions lire la loi de la lèpre comme nous étant applicable. Lorsqu’un homme se voit être â la fois perdu et ruiné, recouvert entièrement de la souillure du péché, qu’il rejette toute justice qui lui est propre, et plaide coupable devant le Seigneur, alors il est pur au travers du sang de Jésus et de la grâce de Dieu. L’iniquité cachée, non ressentie, non confessée, est la vraie lèpre mais quand on voit le péché et qu’on le ressent, il a reçu son souffle de mort, et le Seigneur regarde avec des yeux de pitié l’âme affligée. Rien n’est plus mortel que sa propre justice, ou plus encourageant que la pénitence. Nous devons confesser que nous ne sommes rien d’autre que "péché", car aucune confession en dehors de celle ci n’est l’entière vérité, mais si le Saint-Esprit travaille en nous, nous convaincant de péché, il n’y aura aucune difficulté â faire un tel aveu. Cela sortira spontanément de nos lèvres. Quelle consolation offre le texte â ceux qui ont un sentiment profond de péché! Le péché confessé, et sur lequel on pleure, pourtant noir et immonde, n’exclura jamais un homme du Seigneur Jésus. Celui qui vient â lui ne sera rejeté en aucune façon. Bien que malhonnête comme un voleur, bien que souillé comme une femme pécheresse, bien que redoutable comme Saul de Tarse, bien que cruel comme Manassé, bien que rebelle comme le fils prodigue, le grand coeur d’amour jettera ses regards sur l’homme qui se sent malade intérieurement et le déclarera pur, quand il s’abandonnera et mettra ses espoirs en Jésus crucifié.
Viens â lui, alors, pauvre pécheur lourdement chargé,
Viens besogneux, viens coupable
Viens dégouttant et dénudé
Tu ne peux pas venir trop sale
Viens juste comme tu es.
#Zec 8:1-14:21 * Lecture Quotidienne de la Bible
Lecture du soir Spurgeon 28-09-2017
28 septembre-Soir
Elie dit sept fois: Retourne. {#1Ki 18:43}
Le succès est assuré quand le Seigneur l’a promis. Quoique vous puissiez avoir plaidé durant des mois après des mois sans avoir obtenu une réponse évidente, il n’est pas possible que le Seigneur soit devenu sourd quand son peuple est fervent pour rechercher ce qui le glorifie. Le prophète du sommet du Carmel continua â lutter avec Dieu, et jamais, pas même un instant il ne laissa de place â la crainte qu’il ne lui serait donné de suite â sa requête dans ses relations intimes avec l’Eternel. Six fois le serviteur retourna, mais â chaque occasion, un seul mot était prononcé "retourne encore". Nous ne devons pas rêver par incrédulité, mais nous tenir â notre foi même soixante-dix fois sept fois. La foi dépêche, s’attendant â l’espérance d’apercevoir de la colline du Carmel, et si rien n’apparaît, elle envoie encore et encore. Loin d’être confondue par une série de revers apparents successifs, la foi est animée par le principe de plaider avec d’avantage de ferveur avec son Dieu. Elle est rendue humble, mais pas décontenancée; ses gémissements sont plus profonds, et ses soupirs plus véhéments mais jamais ne relâche sa prise ou n’arrête sa main. Il serait plus agréable â la chair et au sang d’obtenir une réponse rapide, mais l’âme croyante a appris â être soumise au Seigneur et de trouver bon d’attendre aussi bien que possible. Les réponses tardives souvent disposent le coeur â chercher lui-même, et ainsi conduit â la contrition et â une réforme spirituelle: des coups mortels sont ainsi assenés â notre corruption, et les chambres de nos imageries sont purifiées. Le grand danger â craindre est que les hommes ne défaillent, et manquent la bénédiction. Lecteur ne tombe pas dans ce péché, mais continue â prier et â veiller. Enfin un petit nuage apparaît, avant-coureur de torrents de pluie, et de même avec vous, le signal de la victoire sera sûrement accordée, et vous vous lèverez comme un prince souverain en vous réjouissant dans la grâce que vous avez cherchée. Elie était un homme avec les mêmes passions que nous; sa puissance avec Dieu ne résidait pas dans ses propres mérites. Si sa prière fut si efficace, pourquoi pas la vôtre? Plaidez le précieux sang avec une incessante importunité, et il sera avec vous selon votre désir.
Elie dit sept fois: Retourne. {#1Ki 18:43}
Le succès est assuré quand le Seigneur l’a promis. Quoique vous puissiez avoir plaidé durant des mois après des mois sans avoir obtenu une réponse évidente, il n’est pas possible que le Seigneur soit devenu sourd quand son peuple est fervent pour rechercher ce qui le glorifie. Le prophète du sommet du Carmel continua â lutter avec Dieu, et jamais, pas même un instant il ne laissa de place â la crainte qu’il ne lui serait donné de suite â sa requête dans ses relations intimes avec l’Eternel. Six fois le serviteur retourna, mais â chaque occasion, un seul mot était prononcé "retourne encore". Nous ne devons pas rêver par incrédulité, mais nous tenir â notre foi même soixante-dix fois sept fois. La foi dépêche, s’attendant â l’espérance d’apercevoir de la colline du Carmel, et si rien n’apparaît, elle envoie encore et encore. Loin d’être confondue par une série de revers apparents successifs, la foi est animée par le principe de plaider avec d’avantage de ferveur avec son Dieu. Elle est rendue humble, mais pas décontenancée; ses gémissements sont plus profonds, et ses soupirs plus véhéments mais jamais ne relâche sa prise ou n’arrête sa main. Il serait plus agréable â la chair et au sang d’obtenir une réponse rapide, mais l’âme croyante a appris â être soumise au Seigneur et de trouver bon d’attendre aussi bien que possible. Les réponses tardives souvent disposent le coeur â chercher lui-même, et ainsi conduit â la contrition et â une réforme spirituelle: des coups mortels sont ainsi assenés â notre corruption, et les chambres de nos imageries sont purifiées. Le grand danger â craindre est que les hommes ne défaillent, et manquent la bénédiction. Lecteur ne tombe pas dans ce péché, mais continue â prier et â veiller. Enfin un petit nuage apparaît, avant-coureur de torrents de pluie, et de même avec vous, le signal de la victoire sera sûrement accordée, et vous vous lèverez comme un prince souverain en vous réjouissant dans la grâce que vous avez cherchée. Elie était un homme avec les mêmes passions que nous; sa puissance avec Dieu ne résidait pas dans ses propres mérites. Si sa prière fut si efficace, pourquoi pas la vôtre? Plaidez le précieux sang avec une incessante importunité, et il sera avec vous selon votre désir.
jeudi 28 septembre 2017
Lecture du matin Spurgeon 28-09-2017
28 Septembre-Matin.
L’Eternel regarde du haut des cieux, Il voit tous les fils de l’homme; {#Ps 33:13}
Peut être qu’il n’y a aucune parole qui puisse représenter Dieu donnant une idée de plus de grâce que lorsqu’on en parle comme se penchant de son trône, et descendant des cieux pour pourvoir aux besoins et voir les malheurs de l’humanité. Nous l’aimons lui, qui lorsque Sodome et Gomorrhe étaient remplies d’iniquités n’a pas détruit ses villes jusqu’â ce qu’il les ait visitées personnellement. Nous ne pouvons pas empêcher notre coeur de déverser de l’affection pour notre Seigneur, qui incline son oreille des sommets de la gloire, et la met sur les lèvres du pécheur mourant, dont le coeur défaillant languit après la réconciliation. Comment est-il possible de ne pas l’aimer quand nous savons qu’il compte tous les cheveux de notre tête, marque notre chemin et commande nos voies? Cette grande vérité est spécialement rappelée â notre coeur, quand nous nous souvenons combien il est attentif, pas simplement aux préoccupations temporelles de ses créatures, mais aux soucis spirituels. Bien que des kilomètres de distance s’étendent entre la créature limitée et le créateur infini, néanmoins il y a des maillons qui les unissent. Quand tu essuies une larme, ne pense pas que Dieu ne le voit pas; car comme un père a compassion de ses enfants, "l’Eternel a compassion de ceux qui le craignent". Ton soupir peut émouvoir le coeur de l’Eternel, ton chuchotement peut incliner son oreille vers toi, ta prière peut le retenir, ta foi peut bouger son bras. Ne pense pas que Dieu soit assis dans les hauteurs ne tenant pas compte de toi. Souviens-toi que cependant tu es pauvre et besogneux, néanmoins le Seigneur pense â toi. Car les yeux du Seigneur vont et viennent parcourant la terre entière, pour se montrer puissant â ceux dont le coeur est parfait envers lui.
Oh! répète la vérité qui ne fatigue jamais
Aucun dieu est comme le Dieu que mon âme désire
Lui â la voix duquel les cieux tremblent,
Même lui grand comme il est,
Sait comment se pencher vers moi au moindre de mes soupirs.
#Zec 1:1-7:14 * Lecture Quotidienne de la Bible
L’Eternel regarde du haut des cieux, Il voit tous les fils de l’homme; {#Ps 33:13}
Peut être qu’il n’y a aucune parole qui puisse représenter Dieu donnant une idée de plus de grâce que lorsqu’on en parle comme se penchant de son trône, et descendant des cieux pour pourvoir aux besoins et voir les malheurs de l’humanité. Nous l’aimons lui, qui lorsque Sodome et Gomorrhe étaient remplies d’iniquités n’a pas détruit ses villes jusqu’â ce qu’il les ait visitées personnellement. Nous ne pouvons pas empêcher notre coeur de déverser de l’affection pour notre Seigneur, qui incline son oreille des sommets de la gloire, et la met sur les lèvres du pécheur mourant, dont le coeur défaillant languit après la réconciliation. Comment est-il possible de ne pas l’aimer quand nous savons qu’il compte tous les cheveux de notre tête, marque notre chemin et commande nos voies? Cette grande vérité est spécialement rappelée â notre coeur, quand nous nous souvenons combien il est attentif, pas simplement aux préoccupations temporelles de ses créatures, mais aux soucis spirituels. Bien que des kilomètres de distance s’étendent entre la créature limitée et le créateur infini, néanmoins il y a des maillons qui les unissent. Quand tu essuies une larme, ne pense pas que Dieu ne le voit pas; car comme un père a compassion de ses enfants, "l’Eternel a compassion de ceux qui le craignent". Ton soupir peut émouvoir le coeur de l’Eternel, ton chuchotement peut incliner son oreille vers toi, ta prière peut le retenir, ta foi peut bouger son bras. Ne pense pas que Dieu soit assis dans les hauteurs ne tenant pas compte de toi. Souviens-toi que cependant tu es pauvre et besogneux, néanmoins le Seigneur pense â toi. Car les yeux du Seigneur vont et viennent parcourant la terre entière, pour se montrer puissant â ceux dont le coeur est parfait envers lui.
Oh! répète la vérité qui ne fatigue jamais
Aucun dieu est comme le Dieu que mon âme désire
Lui â la voix duquel les cieux tremblent,
Même lui grand comme il est,
Sait comment se pencher vers moi au moindre de mes soupirs.
#Zec 1:1-7:14 * Lecture Quotidienne de la Bible
Lecture du soir Spurgeon 27-09-2017
27 septembre-Soir
Mon bien-aimé a passé la main par la fenêtre, Et mes entrailles se sont émues pour lui. {#So 5:4}
Frapper â la porte ne suffisait pas, car mon coeur était trop inondé de sommeil, trop froid et ingrat pour se lever et ouvrir la porte, mais l’attouchement de sa grâce réelle avait fait se remuer mon âme. Oh, la souffrance persévérante de mon Bien-aimé, pour attendre quand il se trouva â ma porte, et moi endormi sur le lit de la paresse. Oh! la grandeur de sa patience, pour frapper, et frapper encore, et pour ajouter â cela sa voix, me suppliant de lui ouvrir! Comment ai-je pu le refuser! Coeur vil, rougis et sois confondu! mais quelle bonté est plus grande que celle-ci, pour qu’il devienne son propre portier et referme lui-même la porte. Trois fois bénie est la main qui condescend â lever le loquet et tourner la clé. Maintenant je vois que rien d’autre que mon Seigneur par sa propre puissance ne peut sauver un être tel que moi. Vilain, masse de méchanceté que je suis; les préceptes n’y font rien, même l’Evangile n’a pas d’effet sur moi, jusqu’â ce qu’il étende sur moi sa main. Maintenant aussi je réalise que sa main est bonne lâ où tout autre fait défaut, il peut ouvrir quand rien d’autre ne le fera. Béni soit son nom, je suis rendu conscient de sa présence même maintenant.
Mes entrailles peuvent bien s’émouvoir pour lui, quand je pense â tout ce qu’il a souffert pour moi, et mon manque de générosité en retour. J’ai permis â mes affections d’errer. J’ai exalté les rivaux. Je l’ai attristé. Le plus doux, et le plus cher de tous les bien-aimés, je l’ai traité comme une épouse infidèle traite son mari. Oh mes péchés cruels! Mon cruel moi! Que faut-il que je fasse? Les larmes sont un pauvre témoignage de ma repentance, mon coeur entier bouillonne d’indignation en dedans de moi et contre moi-même. Misérable que je suis, pour traiter de la sorte mon Seigneur, mon tout en tout, ma suprême joie, comme s’il était un étranger. Jésus, tu pardonnes gratuitement, mais ceci ne suffit pas, empêche-moi d’être infidèle dans l’avenir. Essuie ces larmes, et alors purifie mon coeur et le lie avec des cordes sept fois tournées sur toi, et ne permets plus que je sois errant.
Mon bien-aimé a passé la main par la fenêtre, Et mes entrailles se sont émues pour lui. {#So 5:4}
Frapper â la porte ne suffisait pas, car mon coeur était trop inondé de sommeil, trop froid et ingrat pour se lever et ouvrir la porte, mais l’attouchement de sa grâce réelle avait fait se remuer mon âme. Oh, la souffrance persévérante de mon Bien-aimé, pour attendre quand il se trouva â ma porte, et moi endormi sur le lit de la paresse. Oh! la grandeur de sa patience, pour frapper, et frapper encore, et pour ajouter â cela sa voix, me suppliant de lui ouvrir! Comment ai-je pu le refuser! Coeur vil, rougis et sois confondu! mais quelle bonté est plus grande que celle-ci, pour qu’il devienne son propre portier et referme lui-même la porte. Trois fois bénie est la main qui condescend â lever le loquet et tourner la clé. Maintenant je vois que rien d’autre que mon Seigneur par sa propre puissance ne peut sauver un être tel que moi. Vilain, masse de méchanceté que je suis; les préceptes n’y font rien, même l’Evangile n’a pas d’effet sur moi, jusqu’â ce qu’il étende sur moi sa main. Maintenant aussi je réalise que sa main est bonne lâ où tout autre fait défaut, il peut ouvrir quand rien d’autre ne le fera. Béni soit son nom, je suis rendu conscient de sa présence même maintenant.
Mes entrailles peuvent bien s’émouvoir pour lui, quand je pense â tout ce qu’il a souffert pour moi, et mon manque de générosité en retour. J’ai permis â mes affections d’errer. J’ai exalté les rivaux. Je l’ai attristé. Le plus doux, et le plus cher de tous les bien-aimés, je l’ai traité comme une épouse infidèle traite son mari. Oh mes péchés cruels! Mon cruel moi! Que faut-il que je fasse? Les larmes sont un pauvre témoignage de ma repentance, mon coeur entier bouillonne d’indignation en dedans de moi et contre moi-même. Misérable que je suis, pour traiter de la sorte mon Seigneur, mon tout en tout, ma suprême joie, comme s’il était un étranger. Jésus, tu pardonnes gratuitement, mais ceci ne suffit pas, empêche-moi d’être infidèle dans l’avenir. Essuie ces larmes, et alors purifie mon coeur et le lie avec des cordes sept fois tournées sur toi, et ne permets plus que je sois errant.
mercredi 27 septembre 2017
Lecture du matin Spurgeon 27-09-2017
27 Septembre-Matin.
Que tu es heureux, Israël! Qui est comme toi, Un peuple sauvé par l’Eternel, {#De 33:29}
Celui qui affirme que le christianisme rend les hommes misérables, en est lui même étranger. Ce serait étrange en effet, si cela nous rendait misérable, de voir "â quelle position il nous exalte", il nous fait enfant de Dieu. Crois-tu que Dieu donnera tout le bonheur â ses ennemis et réservera toutes les afflictions â sa propre famille? Ses adversaires auront-ils de l’allégresse et de la joie, et ses enfants nés chez lui hériteront-ils du chagrin et du malheur? Est ce que le pécheur, qui n’a aucune part en Christ, se dira riche de bonheur, et serions-nous affligés comme des miséreux? Non, nous nous réjouirons toujours dans le Seigneur, et recevrons gloire dans notre héritage car nous "n’avons pas reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais nous avons reçu un esprit d’ adoration par lequel nous crions Abba Père!" La verge du châtiment doit reposer sur nous â notre mesure, mais elle récolte pour nous les doux fruits de la justice; par conséquent avec l’aide du divin consolateur, nous, "le peuple sauvé par le Seigneur" nous nous réjouirons dans le Dieu de notre salut. Nous sommes mariés â Christ, et le grand marié permettra-t-il que son épouse soit constamment dans la peine? Nos coeurs sont unis â lui: nous sommes ses membres, et bien que pour un temps nous puissions souffrir comme notre tête a souffert un jour, néanmoins nous sommes bénis en lui, même â ce moment, de bénédiction céleste. Nous avons les arrhes de notre héritage dans les consolations de l’esprit, qui ne sont ni peu ni petites, étant héritiers de la joie pour annoncer notre élévation éternelle. Nos richesses sont au delâ de la mer; notre ville avec de solides fondations s’étend de l’autre coté du fleuve; les lueurs de la gloire du monde spirituel encouragent nos coeurs et nous stimulent. Vraiment dit-on de nous "Que tu es heureux Israël! Qui est comme toi, un peuple sauvé par l’Eternel? "
#Zep 1:1-Hag 2:23 * Lecture Quotidienne de la Bible
Que tu es heureux, Israël! Qui est comme toi, Un peuple sauvé par l’Eternel, {#De 33:29}
Celui qui affirme que le christianisme rend les hommes misérables, en est lui même étranger. Ce serait étrange en effet, si cela nous rendait misérable, de voir "â quelle position il nous exalte", il nous fait enfant de Dieu. Crois-tu que Dieu donnera tout le bonheur â ses ennemis et réservera toutes les afflictions â sa propre famille? Ses adversaires auront-ils de l’allégresse et de la joie, et ses enfants nés chez lui hériteront-ils du chagrin et du malheur? Est ce que le pécheur, qui n’a aucune part en Christ, se dira riche de bonheur, et serions-nous affligés comme des miséreux? Non, nous nous réjouirons toujours dans le Seigneur, et recevrons gloire dans notre héritage car nous "n’avons pas reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais nous avons reçu un esprit d’ adoration par lequel nous crions Abba Père!" La verge du châtiment doit reposer sur nous â notre mesure, mais elle récolte pour nous les doux fruits de la justice; par conséquent avec l’aide du divin consolateur, nous, "le peuple sauvé par le Seigneur" nous nous réjouirons dans le Dieu de notre salut. Nous sommes mariés â Christ, et le grand marié permettra-t-il que son épouse soit constamment dans la peine? Nos coeurs sont unis â lui: nous sommes ses membres, et bien que pour un temps nous puissions souffrir comme notre tête a souffert un jour, néanmoins nous sommes bénis en lui, même â ce moment, de bénédiction céleste. Nous avons les arrhes de notre héritage dans les consolations de l’esprit, qui ne sont ni peu ni petites, étant héritiers de la joie pour annoncer notre élévation éternelle. Nos richesses sont au delâ de la mer; notre ville avec de solides fondations s’étend de l’autre coté du fleuve; les lueurs de la gloire du monde spirituel encouragent nos coeurs et nous stimulent. Vraiment dit-on de nous "Que tu es heureux Israël! Qui est comme toi, un peuple sauvé par l’Eternel? "
#Zep 1:1-Hag 2:23 * Lecture Quotidienne de la Bible
Lecture du soir Spurgeon 26-09-2017
26 septembre-Soir
Gémis, cyprès, car le cèdre est tombé, ...{#Zec 11:2}
Quand dans la forêt se fait entendre la chute d’un chêne abattu, c’est un signe que le bûcheron est de sortie et chaque arbre de toute la compagnie peut trembler de peur que demain le tranchant de la hache ne le trouve aussi. Nous sommes tous comme des arbres, marqués pour la hache, et la chute de l’un devrait nous rappeler que pour chacun, qu’il soit grand comme le cèdre, ou humble comme le sapin, l’heure fatidique, comme un compte â rebours, s’avance â grand pas. Mais que nous ne soyons jamais comme les oiseaux dans le clocher, qui y font leurs nids quand les cloches tintent, et dorment paisiblement quand le carillon du glas déchire l’air. Puissions-nous considérer la mort comme le plus solennel, le plus grave de tous les événements, et être sobres â son approche. Il est peu judicieux pour nous de nous divertir, tandis que notre destinée éternelle est suspendue â un fil de la trame. L’épée est sortie du fourreau, ne badinons pas, elle est fourbie, et le bord est tranchant, ne jouons pas avec elle. Celui qui ne se prépare pas pour mourir, est pire qu’un insensé, c’est un fou. Quand la voix de Dieu se fait entendre parmi les arbres du jardin, puissent le figuier, le sycomore, l’orme et le cèdre de même en entendre le son, l’appel.
Sois prêt, serviteur de Christ, car le Maître vient soudainement, quand les pécheurs du monde l’attendent le moins. Sois vigilant, que tu sois fidèle â l’oeuvre, car la fosse sera bientôt creusée pour toi. Sois prêt, et vous parents aussi, veillez â ce que vos enfants soient élevés dans la crainte de Dieu, car ils seront bientôt orphelins; soyez prêts hommes d’affaires, prenez soins que vos affaires soient correctes, et que vous serviez Dieu de tout votre coeur, car les jours de votre activité terrestre arrivent â leurs fins, et vous serez appelés pour rendre compte pour toute oeuvre faite, étant dans votre corps, soit en bien, soit en mal. Puissions-nous nous préparer tous pour le tribunal du grand Roi avec un soin qui sera récompensé par cette parole de grâce: Bien fait, bon et fidèle serviteur.
Gémis, cyprès, car le cèdre est tombé, ...{#Zec 11:2}
Quand dans la forêt se fait entendre la chute d’un chêne abattu, c’est un signe que le bûcheron est de sortie et chaque arbre de toute la compagnie peut trembler de peur que demain le tranchant de la hache ne le trouve aussi. Nous sommes tous comme des arbres, marqués pour la hache, et la chute de l’un devrait nous rappeler que pour chacun, qu’il soit grand comme le cèdre, ou humble comme le sapin, l’heure fatidique, comme un compte â rebours, s’avance â grand pas. Mais que nous ne soyons jamais comme les oiseaux dans le clocher, qui y font leurs nids quand les cloches tintent, et dorment paisiblement quand le carillon du glas déchire l’air. Puissions-nous considérer la mort comme le plus solennel, le plus grave de tous les événements, et être sobres â son approche. Il est peu judicieux pour nous de nous divertir, tandis que notre destinée éternelle est suspendue â un fil de la trame. L’épée est sortie du fourreau, ne badinons pas, elle est fourbie, et le bord est tranchant, ne jouons pas avec elle. Celui qui ne se prépare pas pour mourir, est pire qu’un insensé, c’est un fou. Quand la voix de Dieu se fait entendre parmi les arbres du jardin, puissent le figuier, le sycomore, l’orme et le cèdre de même en entendre le son, l’appel.
Sois prêt, serviteur de Christ, car le Maître vient soudainement, quand les pécheurs du monde l’attendent le moins. Sois vigilant, que tu sois fidèle â l’oeuvre, car la fosse sera bientôt creusée pour toi. Sois prêt, et vous parents aussi, veillez â ce que vos enfants soient élevés dans la crainte de Dieu, car ils seront bientôt orphelins; soyez prêts hommes d’affaires, prenez soins que vos affaires soient correctes, et que vous serviez Dieu de tout votre coeur, car les jours de votre activité terrestre arrivent â leurs fins, et vous serez appelés pour rendre compte pour toute oeuvre faite, étant dans votre corps, soit en bien, soit en mal. Puissions-nous nous préparer tous pour le tribunal du grand Roi avec un soin qui sera récompensé par cette parole de grâce: Bien fait, bon et fidèle serviteur.
mardi 26 septembre 2017
Lecture du matin Spurgeon 26-09-2017
26 Septembre-Matin.
Et se tenait parmi des myrtes dans un lieu ombragé; {#Zec 1:8}
La vision dans ce chapitre décrit la condition d’Israël au jour de Zacharie, mais étant interprétée pour nous, elle décrit l’église de Dieu comme nous la trouvons maintenant dans le monde. L’église est comparée â une myrte qui a poussé, fleurissant dans la vallée. Elle est "cachée" â l’abri des yeux, secrète, ne recherchant aucun honneur et n’attirant pas l’attention de celui qui observe. L’église, comme sa tête, a une gloire, mais elle est dissimulée aux yeux charnels, car le temps de sa gloire dans toute sa splendeur n’est pas encore arrivé. L’idée "d’une tranquille sécurité" nous est suggérée: car la myrte qui pousse dans la vallée est tranquille et calme pendant que l’orage parcourt le sommet des montagnes. Les tempêtes épuisent leurs forces sur les sommets rocailleux des Alpes, mais en bas, lâ-bas où coule la rivière qui réjouit la ville de notre Dieu, les myrtes fleurissent près des eaux paisibles, non secouées par le vent impétueux. Combien la tranquillité intérieure de l’église de Dieu est grande! Même quand on s’y oppose et qu’on la persécute, elle a une paix que le monde ne donne pas, et que par conséquent il ne peut enlever: la paix de Dieu qui dépasse toute intelligence garde les coeurs et les pensées du peuple de Dieu. L’image ne dépeint-elle pas avec force la perpétuelle croissance des saints paisibles? La myrte ne perd pas ses feuilles, elle est toujours verte; l’église dans ses pires moments, a une verdure de grâce bénie autour d’elle; elle a quelquefois exhibé encore plus sa verdure quand son hiver a été plus rigoureux. Elle a prospéré quand ses adversaires ont été plus durs. En conséquence le texte laisse entendre la victoire â mots couverts. La myrte est l’emblème de la paix, et une marque significative du triomphe. On attachait aux fronts des vainqueurs de la myrte et du laurier; et l’église n’ est-elle pas toujours victorieuse? Chaque chrétien n’est il pas plus que vainqueur par celui qui l’a aimé? Vivant en paix, les saints ne s’endorment-ils pas dans les bras de la victoire?
#Na 1:1-Hab 3:19 * Lecture Quotidienne de la Bible
Et se tenait parmi des myrtes dans un lieu ombragé; {#Zec 1:8}
La vision dans ce chapitre décrit la condition d’Israël au jour de Zacharie, mais étant interprétée pour nous, elle décrit l’église de Dieu comme nous la trouvons maintenant dans le monde. L’église est comparée â une myrte qui a poussé, fleurissant dans la vallée. Elle est "cachée" â l’abri des yeux, secrète, ne recherchant aucun honneur et n’attirant pas l’attention de celui qui observe. L’église, comme sa tête, a une gloire, mais elle est dissimulée aux yeux charnels, car le temps de sa gloire dans toute sa splendeur n’est pas encore arrivé. L’idée "d’une tranquille sécurité" nous est suggérée: car la myrte qui pousse dans la vallée est tranquille et calme pendant que l’orage parcourt le sommet des montagnes. Les tempêtes épuisent leurs forces sur les sommets rocailleux des Alpes, mais en bas, lâ-bas où coule la rivière qui réjouit la ville de notre Dieu, les myrtes fleurissent près des eaux paisibles, non secouées par le vent impétueux. Combien la tranquillité intérieure de l’église de Dieu est grande! Même quand on s’y oppose et qu’on la persécute, elle a une paix que le monde ne donne pas, et que par conséquent il ne peut enlever: la paix de Dieu qui dépasse toute intelligence garde les coeurs et les pensées du peuple de Dieu. L’image ne dépeint-elle pas avec force la perpétuelle croissance des saints paisibles? La myrte ne perd pas ses feuilles, elle est toujours verte; l’église dans ses pires moments, a une verdure de grâce bénie autour d’elle; elle a quelquefois exhibé encore plus sa verdure quand son hiver a été plus rigoureux. Elle a prospéré quand ses adversaires ont été plus durs. En conséquence le texte laisse entendre la victoire â mots couverts. La myrte est l’emblème de la paix, et une marque significative du triomphe. On attachait aux fronts des vainqueurs de la myrte et du laurier; et l’église n’ est-elle pas toujours victorieuse? Chaque chrétien n’est il pas plus que vainqueur par celui qui l’a aimé? Vivant en paix, les saints ne s’endorment-ils pas dans les bras de la victoire?
#Na 1:1-Hab 3:19 * Lecture Quotidienne de la Bible
lundi 25 septembre 2017
Lecture du soir Spurgeon 25-09-2017
25 septembre-Soir
lequel, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse. {#1Co 1:30}
L’intellect de l’homme cherche le repos, et par nature, le cherche en dehors du Seigneur Jésus Christ. Les érudits sont capables, même quand ils sont convertis, de regarder la simplicité de la Croix de Christ d’un oeil trop peu révérencieux et aimant. Ils sont pris dans le vieux filet qui prenait jadis les grecs, et ils s’empressent de confondre la philosophie et la révélation. La tentation pour un homme dont la pensée est raffinée et qui a un grand savoir est de se laisser emporter loin de la simple vérité du Christ, et il invente une plus haute doctrine intellectuelle. Ceci conduisit les premières églises chrétiennes dans le gnostisme qui les avait fascinées et ensorcelées dans toutes sortes d’hérésies. C’est la racine du néologisme et autres finesses qui, en leur temps, étaient â la mode en Allemagne et qui piègent maintenant certains hommes de Dieu. Qui que vous soyez cher lecteur, quelque puisse être le degré de votre culture, si vous appartenez au Seigneur, soyez assurés que vous ne trouverez point de repos dans la divinité philosophée. Vous pouvez recevoir ce dogme d’un grand penseur, ou cette espèce de rêve d’un autre raisonneur désaxé-mais quel rapport y-a-t-il entre la balle et le blé-que toutes ces choses soient pure parole de Dieu? Toute cette raison, quoique le mieux guidé, ne peut aboutir qu’â l’ABC de la vérité, et avec même un manque de certitude, puisqu’en Jésus résident tous les trésors de la plénitude de la sagesse et de la connaissance. Toutes les tentatives de la part des chrétiens pour être satisfaits avec des systèmes "Unitaires" et les penseurs de l’église large qui voudraient les approuver seront voués â l’échec. Les vrais héritiers du ciel doivent revenir â la simple réalité qui fait cligner de l’oeil le valet de charrue... avec joie et contenter le pieux coeur indigent. Jésus Christ vint dans le monde pour sauver les pécheurs. Jésus satisfait celui qui est le plus élevé intellectuellement quand il est reçu en croyant sincèrement, mais en dehors de lui l’esprit du régénéré ne trouve pas de repos. La crainte du Seigneur est le commencement de la connaissance. Une bonne compréhension contient tout pour mettre en pratique les commandements.
lequel, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse. {#1Co 1:30}
L’intellect de l’homme cherche le repos, et par nature, le cherche en dehors du Seigneur Jésus Christ. Les érudits sont capables, même quand ils sont convertis, de regarder la simplicité de la Croix de Christ d’un oeil trop peu révérencieux et aimant. Ils sont pris dans le vieux filet qui prenait jadis les grecs, et ils s’empressent de confondre la philosophie et la révélation. La tentation pour un homme dont la pensée est raffinée et qui a un grand savoir est de se laisser emporter loin de la simple vérité du Christ, et il invente une plus haute doctrine intellectuelle. Ceci conduisit les premières églises chrétiennes dans le gnostisme qui les avait fascinées et ensorcelées dans toutes sortes d’hérésies. C’est la racine du néologisme et autres finesses qui, en leur temps, étaient â la mode en Allemagne et qui piègent maintenant certains hommes de Dieu. Qui que vous soyez cher lecteur, quelque puisse être le degré de votre culture, si vous appartenez au Seigneur, soyez assurés que vous ne trouverez point de repos dans la divinité philosophée. Vous pouvez recevoir ce dogme d’un grand penseur, ou cette espèce de rêve d’un autre raisonneur désaxé-mais quel rapport y-a-t-il entre la balle et le blé-que toutes ces choses soient pure parole de Dieu? Toute cette raison, quoique le mieux guidé, ne peut aboutir qu’â l’ABC de la vérité, et avec même un manque de certitude, puisqu’en Jésus résident tous les trésors de la plénitude de la sagesse et de la connaissance. Toutes les tentatives de la part des chrétiens pour être satisfaits avec des systèmes "Unitaires" et les penseurs de l’église large qui voudraient les approuver seront voués â l’échec. Les vrais héritiers du ciel doivent revenir â la simple réalité qui fait cligner de l’oeil le valet de charrue... avec joie et contenter le pieux coeur indigent. Jésus Christ vint dans le monde pour sauver les pécheurs. Jésus satisfait celui qui est le plus élevé intellectuellement quand il est reçu en croyant sincèrement, mais en dehors de lui l’esprit du régénéré ne trouve pas de repos. La crainte du Seigneur est le commencement de la connaissance. Une bonne compréhension contient tout pour mettre en pratique les commandements.
Lecture du matin Spurgeon 25-09-2017
25 Septembre-Matin.
De manière â être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Jésus. {#Ro 3:26}
Etant justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu. Notre conscience ne nous accuse plus. Le jugement maintenant se prononce pour le pécheur, au lieu de se prononcer contre lui. La mémoire fait un retour sur les péchés passés, avec une profonde tristesse pour le péché, mais alors, aucune crainte de sanction â venir; car Christ a payé la dette de son peuple jusqu’au dernier iota, et en a reçu la divine quittance. A moins que Dieu puisse être injuste au point de demander deux paiements pour une seule dette, aucune âme pour qui Jésus est mort en tant que substitut ne pourra jamais être jetée en enfer. Cela semble être un des principes fondamentaux de notre nature éclairée de croire que Dieu est juste, nous sentons qu’il doit en être ainsi et cela nous terrifie en premier, mais n’est-il pas merveilleux que cette même croyance en ce que Dieu est juste, devient ensuite le pilier de notre confiance et de notre paix! Si Dieu est juste, moi un pécheur sans substitut je dois être puni, mais Jésus se met â ma place et il est puni pour moi. Maintenant si Dieu est juste, moi un pécheur, debout en Christ, je ne peux jamais être puni. Dieu doit changer son jugement devant une âme, pour laquelle Jésus a été le substitut et ne peut en aucune façon en souffrir. Par conséquent Jésus ayant pris la place du croyant, ayant rendu une pleine équivalence â la colère divine pour tout ce que son peuple aurait dû souffrir en résultat du péché, le croyant peut crier dans un triomphe glorieux: "Qui laissera quoi que ce soit â la charge de l’élu de Dieu?" Pas Dieu, car il a justifié; pas Christ, car il est mort, puis ressuscité. Mon espérance n’est pas en ce que je ne suis pas un pécheur, mais parce que je suis un pécheur pour qui Christ est mort. Ma confiance n’est pas que je sois saint, mais qu’étant profane "Il" est ma justice. Ma foi ne repose pas sur ce que je suis, ou serai, ou sur ce que je sens ou sais, mais dans ce que Christ est, dans ce qu’il a fait, et dans ce qu’il fait pour moi maintenant. Sur le lion de justice, la juste servante de l’espérance chevauche comme une reine.
#Mic 1:1-7:20 * Lecture Quotidienne de la Bible
De manière â être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Jésus. {#Ro 3:26}
Etant justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu. Notre conscience ne nous accuse plus. Le jugement maintenant se prononce pour le pécheur, au lieu de se prononcer contre lui. La mémoire fait un retour sur les péchés passés, avec une profonde tristesse pour le péché, mais alors, aucune crainte de sanction â venir; car Christ a payé la dette de son peuple jusqu’au dernier iota, et en a reçu la divine quittance. A moins que Dieu puisse être injuste au point de demander deux paiements pour une seule dette, aucune âme pour qui Jésus est mort en tant que substitut ne pourra jamais être jetée en enfer. Cela semble être un des principes fondamentaux de notre nature éclairée de croire que Dieu est juste, nous sentons qu’il doit en être ainsi et cela nous terrifie en premier, mais n’est-il pas merveilleux que cette même croyance en ce que Dieu est juste, devient ensuite le pilier de notre confiance et de notre paix! Si Dieu est juste, moi un pécheur sans substitut je dois être puni, mais Jésus se met â ma place et il est puni pour moi. Maintenant si Dieu est juste, moi un pécheur, debout en Christ, je ne peux jamais être puni. Dieu doit changer son jugement devant une âme, pour laquelle Jésus a été le substitut et ne peut en aucune façon en souffrir. Par conséquent Jésus ayant pris la place du croyant, ayant rendu une pleine équivalence â la colère divine pour tout ce que son peuple aurait dû souffrir en résultat du péché, le croyant peut crier dans un triomphe glorieux: "Qui laissera quoi que ce soit â la charge de l’élu de Dieu?" Pas Dieu, car il a justifié; pas Christ, car il est mort, puis ressuscité. Mon espérance n’est pas en ce que je ne suis pas un pécheur, mais parce que je suis un pécheur pour qui Christ est mort. Ma confiance n’est pas que je sois saint, mais qu’étant profane "Il" est ma justice. Ma foi ne repose pas sur ce que je suis, ou serai, ou sur ce que je sens ou sais, mais dans ce que Christ est, dans ce qu’il a fait, et dans ce qu’il fait pour moi maintenant. Sur le lion de justice, la juste servante de l’espérance chevauche comme une reine.
#Mic 1:1-7:20 * Lecture Quotidienne de la Bible
Lecture du soir Spurgeon 24-09-2017
24 septembre-Soir
J’étais endormie, mais mon coeur veillait... {#So 5:2}
Paradoxes dans l’expérience d’un chrétien! En voici une: L’épouse dormait, et pourtant elle était éveillée. C’est seulement celui qui a labouré avec la génisse de son expérience qui peut interpréter le crible du croyant. Les deux points dans le texte de ce soir sont une triste somnolence et un espoir de grand réveil. Je dors à travers le péché qui demeure en moi, je peux me relâcher concernant les devoirs de sainteté, être paresseux dans les devoirs religieux, sourd aux joies spirituelles, et en même temps indolent et négligent. Ceci est un état honteux pour quelqu’un en qui demeure l’Esprit de renouvellement; et c’est dangereux au plus haut point. De même les vierges sages quelquefois sommeillent, mais c’est un temps fort pour que toutes secouent les liens de la paresse. Il est aussi à craindre que plusieurs croyants ne perdent leur puissance, comme Samson perdit les mèches de ses cheveux, tandis qu’il s’endormit dans la facilité de la sécurité charnelle. Avec autour de nous le monde qui périt, dormir est cruel; avec l’éternité si proche, à la porte, c’est de la folie. Pourtant aucun, d’entre nous, n’est éveillé comme il le devrait; un claquement de tonnerre devrait nous faire du bien à tous, et il pourrait bien arriver, à moins de nous secouer rapidement nous-mêmes. Nous le considérerons comme une sorte de guerre, ou bien la peste, ou une perte personnelle. Oh! puissions-nous quitter pour toujours la couche de l’aisance charnelle! Et partir hardiment avec les torches enflammées à la rencontre de l’époux! Mon coeur veillait! C’est un signe heureux. La vie n’est pas éteinte, quoique tristement affaiblie. Quand notre coeur renouvelé combat contre les apathies naturelles, nous devrions être reconnaissants pour la grâce souveraine qui conserve en nous un peu de vitalité dans ce corps de mort. Jésus écoutera nos coeurs, secourra nos coeurs, et les visitera car la voix du coeur éveillé est réellement la voix de notre bien-aimé, disant: ouvre-moi. Le saint zèle dégagera sûrement la porte. O attitude chérie ! Il se tient là avec le coeur attendri et les mains pleines. Mon âme abandonne chacun de ses péchés et reçoit l’étranger céleste.
J’étais endormie, mais mon coeur veillait... {#So 5:2}
Paradoxes dans l’expérience d’un chrétien! En voici une: L’épouse dormait, et pourtant elle était éveillée. C’est seulement celui qui a labouré avec la génisse de son expérience qui peut interpréter le crible du croyant. Les deux points dans le texte de ce soir sont une triste somnolence et un espoir de grand réveil. Je dors à travers le péché qui demeure en moi, je peux me relâcher concernant les devoirs de sainteté, être paresseux dans les devoirs religieux, sourd aux joies spirituelles, et en même temps indolent et négligent. Ceci est un état honteux pour quelqu’un en qui demeure l’Esprit de renouvellement; et c’est dangereux au plus haut point. De même les vierges sages quelquefois sommeillent, mais c’est un temps fort pour que toutes secouent les liens de la paresse. Il est aussi à craindre que plusieurs croyants ne perdent leur puissance, comme Samson perdit les mèches de ses cheveux, tandis qu’il s’endormit dans la facilité de la sécurité charnelle. Avec autour de nous le monde qui périt, dormir est cruel; avec l’éternité si proche, à la porte, c’est de la folie. Pourtant aucun, d’entre nous, n’est éveillé comme il le devrait; un claquement de tonnerre devrait nous faire du bien à tous, et il pourrait bien arriver, à moins de nous secouer rapidement nous-mêmes. Nous le considérerons comme une sorte de guerre, ou bien la peste, ou une perte personnelle. Oh! puissions-nous quitter pour toujours la couche de l’aisance charnelle! Et partir hardiment avec les torches enflammées à la rencontre de l’époux! Mon coeur veillait! C’est un signe heureux. La vie n’est pas éteinte, quoique tristement affaiblie. Quand notre coeur renouvelé combat contre les apathies naturelles, nous devrions être reconnaissants pour la grâce souveraine qui conserve en nous un peu de vitalité dans ce corps de mort. Jésus écoutera nos coeurs, secourra nos coeurs, et les visitera car la voix du coeur éveillé est réellement la voix de notre bien-aimé, disant: ouvre-moi. Le saint zèle dégagera sûrement la porte. O attitude chérie ! Il se tient là avec le coeur attendri et les mains pleines. Mon âme abandonne chacun de ses péchés et reçoit l’étranger céleste.
dimanche 24 septembre 2017
Lecture du matin Spurgeon 24-09-2017
24 Septembre-Matin.
J’aurais eu honte de demander au roi une escorte et des cavaliers pour nous protéger contre l’ennemi pendant la route, car nous avions dit au roi: La main de notre Dieu est pour leur bien sur tous ceux qui le cherchent, mais sa force et sa colère sont sur tous ceux qui l’abandonnent. {#Ezr 8:22}
La bande de pèlerins avait désiré un convoi pour beaucoup de raisons, mais une sainte honte ne permettait pas â Esdras d’en chercher un. Il avait peur que le roi païen pense que sa profession de foi en Dieu soit de la simple hypocrisie, ou imagine que le Dieu d’Israël ne soit pas capable de préserver ses propres adorateurs. Il ne pouvait se faire â l’idée de s’appuyer sur un bras de chair dans une affaire si évidemment du Seigneur, et par conséquent la caravane se mit en route sans protection visible, gardé par celui qui est l’épée et le bouclier de son peuple. Cela doit être inquiétant que peu de croyants ressentent cette sainte jalousie pour Dieu; même ceux qui dans une certaine mesure marchent par la foi peuvent gâcher l’éclat de leur vie en réclamant l’aide de l’homme. C’est une chose des plus bénies que de n’avoir aucun appui et aucun renfort, mais de se tenir debout sur le rocher des siècles, soutenu par le Seigneur seul. Est ce que les croyants chercheraient d’imposantes dotations pour leur église, s’ils se souvenaient que le Seigneur est déshonoré par leur demande d’aide â César? Comme si le Seigneur ne pouvait pas subvenir aux besoins de sa propre cause! Devrions-nous courir aussi précipitamment vers nos amis et notre famille pour être aidés si nous nous souvenions que le Seigneur est magnifié par notre confiance implicite en son bras solitaire? Mon âme, attends-toi seulement â Dieu. Mais quelqu’un dit, "ne doit-on pas utiliser les moyens que nous avons?" Assurément on le doit, mais notre faute repose rarement sur le fait qu’on les néglige: bien plus fréquemment il ressort que l’on croit bêtement en eux au lieu de croire en Dieu. Peu de gens vont trop loin â négliger le bras de la créature, mais pèchent grandement en y attachant trop d’importance. Apprends, cher lecteur, â glorifier le Seigneur en laissant les moyens de côté, si en les utilisant tu déshonores le nom de Dieu.
#Jon 1:1-4:11 * Lecture Quotidienne de la Bible
J’aurais eu honte de demander au roi une escorte et des cavaliers pour nous protéger contre l’ennemi pendant la route, car nous avions dit au roi: La main de notre Dieu est pour leur bien sur tous ceux qui le cherchent, mais sa force et sa colère sont sur tous ceux qui l’abandonnent. {#Ezr 8:22}
La bande de pèlerins avait désiré un convoi pour beaucoup de raisons, mais une sainte honte ne permettait pas â Esdras d’en chercher un. Il avait peur que le roi païen pense que sa profession de foi en Dieu soit de la simple hypocrisie, ou imagine que le Dieu d’Israël ne soit pas capable de préserver ses propres adorateurs. Il ne pouvait se faire â l’idée de s’appuyer sur un bras de chair dans une affaire si évidemment du Seigneur, et par conséquent la caravane se mit en route sans protection visible, gardé par celui qui est l’épée et le bouclier de son peuple. Cela doit être inquiétant que peu de croyants ressentent cette sainte jalousie pour Dieu; même ceux qui dans une certaine mesure marchent par la foi peuvent gâcher l’éclat de leur vie en réclamant l’aide de l’homme. C’est une chose des plus bénies que de n’avoir aucun appui et aucun renfort, mais de se tenir debout sur le rocher des siècles, soutenu par le Seigneur seul. Est ce que les croyants chercheraient d’imposantes dotations pour leur église, s’ils se souvenaient que le Seigneur est déshonoré par leur demande d’aide â César? Comme si le Seigneur ne pouvait pas subvenir aux besoins de sa propre cause! Devrions-nous courir aussi précipitamment vers nos amis et notre famille pour être aidés si nous nous souvenions que le Seigneur est magnifié par notre confiance implicite en son bras solitaire? Mon âme, attends-toi seulement â Dieu. Mais quelqu’un dit, "ne doit-on pas utiliser les moyens que nous avons?" Assurément on le doit, mais notre faute repose rarement sur le fait qu’on les néglige: bien plus fréquemment il ressort que l’on croit bêtement en eux au lieu de croire en Dieu. Peu de gens vont trop loin â négliger le bras de la créature, mais pèchent grandement en y attachant trop d’importance. Apprends, cher lecteur, â glorifier le Seigneur en laissant les moyens de côté, si en les utilisant tu déshonores le nom de Dieu.
#Jon 1:1-4:11 * Lecture Quotidienne de la Bible
Lecture du soir Spurgeon 23-09-2017
23 septembre-Soir
Jésus lui dit: Si tu peux !... Tout est possible â celui qui croit. {#Mr 9:23}
Un certain homme avait un fils démoniaque, qui était frappé d’un esprit muet. Le père, ayant vu la futilité des efforts des disciples pour guérir son enfant, avait peu ou pas de foi en Christ, c’est pourquoi, quand il fut invité â lui amener son fils, il dit â Jésus, si tu peux quelque chose, aie compassion de nous, et secours-nous. Maintenant il y a un "si" dans la question, mais le pauvre père tremblant avait mis le "si" au mauvais endroit; c’est pourquoi Jésus-Christ, sans lui ordonner de retirer le "si", avec bonté, le mit â la bonne place. Non vraiment, il semblait dire, il ne devrait pas y avoir de si au sujet de ma puissance, ni concernant ma bonne volonté, le "si" réside quelque part ailleurs. "Si tu peux croire", toutes choses sont possibles â celui qui croit. La confiance de l’homme était fortifiée et il offrit une humble prière pour demander de lui augmenter la foi. Instantanément Jésus dit un mot, et le démon sortit, avec une injonction: n’y retourne plus! Ici il y a pour nous une leçon â apprendre. Comme cet homme, nous voyons qu’il y a un "si" quelque part, mais perpétuellement nous commettons la maladresse de le placer au mauvais endroit. "Si" Jésus peut m’aider, "s’il" peut m’accorder la grâce de vaincre la tentation, "s’il" peut m’accorder son pardon, "s’il" peut me donner du succès? Non!, "si" tu peux croire, "Il" peut et "il" veut.
Vous avez mal placé votre "si". Si tu peux avec confiance, croire de même que toutes choses sont possibles â Christ, ainsi toutes choses te seront possibles. La foi réside dans la puissance de Dieu, et elle est revêtue de Sa majesté; elle porte le vêtement Royal, et monte le cheval Royal, car c’est la grâce dont le roi se plaît â honorer, se ceignant elle-même de la glorieuse puissance de l’Esprit du tout pouvoir, elle devient, dans l’omnipotence de Dieu, puissante pour agir, pour oser, et souffrir.
Toutes choses, sans limites, sont possibles â celui qui croit. Mon âme, peux-tu croire ton Seigneur ce soir ?
Jésus lui dit: Si tu peux !... Tout est possible â celui qui croit. {#Mr 9:23}
Un certain homme avait un fils démoniaque, qui était frappé d’un esprit muet. Le père, ayant vu la futilité des efforts des disciples pour guérir son enfant, avait peu ou pas de foi en Christ, c’est pourquoi, quand il fut invité â lui amener son fils, il dit â Jésus, si tu peux quelque chose, aie compassion de nous, et secours-nous. Maintenant il y a un "si" dans la question, mais le pauvre père tremblant avait mis le "si" au mauvais endroit; c’est pourquoi Jésus-Christ, sans lui ordonner de retirer le "si", avec bonté, le mit â la bonne place. Non vraiment, il semblait dire, il ne devrait pas y avoir de si au sujet de ma puissance, ni concernant ma bonne volonté, le "si" réside quelque part ailleurs. "Si tu peux croire", toutes choses sont possibles â celui qui croit. La confiance de l’homme était fortifiée et il offrit une humble prière pour demander de lui augmenter la foi. Instantanément Jésus dit un mot, et le démon sortit, avec une injonction: n’y retourne plus! Ici il y a pour nous une leçon â apprendre. Comme cet homme, nous voyons qu’il y a un "si" quelque part, mais perpétuellement nous commettons la maladresse de le placer au mauvais endroit. "Si" Jésus peut m’aider, "s’il" peut m’accorder la grâce de vaincre la tentation, "s’il" peut m’accorder son pardon, "s’il" peut me donner du succès? Non!, "si" tu peux croire, "Il" peut et "il" veut.
Vous avez mal placé votre "si". Si tu peux avec confiance, croire de même que toutes choses sont possibles â Christ, ainsi toutes choses te seront possibles. La foi réside dans la puissance de Dieu, et elle est revêtue de Sa majesté; elle porte le vêtement Royal, et monte le cheval Royal, car c’est la grâce dont le roi se plaît â honorer, se ceignant elle-même de la glorieuse puissance de l’Esprit du tout pouvoir, elle devient, dans l’omnipotence de Dieu, puissante pour agir, pour oser, et souffrir.
Toutes choses, sans limites, sont possibles â celui qui croit. Mon âme, peux-tu croire ton Seigneur ce soir ?
samedi 23 septembre 2017
Lecture du matin Spurgeon 23-09-2017
23 Septembre-Matin.
Pour célébrer la gloire de sa grâce dont il nous a favorisés dans le bien-aimé. {#Eph 1:6}
Quel degré de privilège! Il inclut notre "justification" devant Dieu, mais le terme "favorisé" dans le grec signifie plus que cela. Il signifie que nous sommes l’objet du "contentement divin", voire même de "la joie divine". Combien il est merveilleux que nous, misérables mortels, pécheurs, nous soyons l’objet de l’amour divin! Mais c’est seulement "en son bien aimé". Quelques chrétiens semblent être agréés dans leur expérience personnelle, puis ils ont de la crainte. Quand leur esprit est éveillé, et leurs espoirs prometteurs, ils pensent que Dieu les agrée, car ils se sentent si haut, si "enclins aux choses célestes", si élevés au dessus de la terre! Mais quand leur âme est attachée â la poussière, ils sont victimes de leur crainte de ne plus être agréés. S’il leur était possible de voir que toutes leurs joies "élevées" ne les exaltent pas, et que tout leurs découragements "bas" ne les rabaissent pas réellement dans le regard de leur Père, mais qu’ils restent agréés en celui qui ne change jamais, en celui qui est toujours le bien aimé de Dieu, toujours parfait, toujours sans tache, ni ride ou autre chose de tel. Combien ils seraient plus heureux, et combien ils honoreraient davantage le Sauveur! Alors réjouis-toi, croyant, en cela: tu es agréé "dans le bien-aimé". Tu regardes intérieurement et tu dis, "il n’y a rien d’acceptable ici!" Mais regarde â Christ, et vois si tout n’est pas acceptable "lâ". Tes péchés te troublent, mais Dieu a jeté tes péchés derrière son dos, et tu es agréé dans le juste. Tu dois te battre avec la corruption, et lutter avec la tentation, mais tu es déjâ agréé par celui qui a surmonté les puissances de l’enfer. Le diable te tente; prend courage, il ne peut pas te détruire, car tu es agréé en celui qui a brisé la tête de Satan. Reconnaîs avec une pleine assurance ta glorieuse position. Même les âmes glorifiées ne sont pas plus agréées que tu l’es. Elles sont seulement acceptées dans les cieux "en le bien-aimé ", et tu es accepté même maintenant en Christ de la même manière.
#Am 6:1-Ob 1:21 * Lecture Quotidienne de la Bible
Pour célébrer la gloire de sa grâce dont il nous a favorisés dans le bien-aimé. {#Eph 1:6}
Quel degré de privilège! Il inclut notre "justification" devant Dieu, mais le terme "favorisé" dans le grec signifie plus que cela. Il signifie que nous sommes l’objet du "contentement divin", voire même de "la joie divine". Combien il est merveilleux que nous, misérables mortels, pécheurs, nous soyons l’objet de l’amour divin! Mais c’est seulement "en son bien aimé". Quelques chrétiens semblent être agréés dans leur expérience personnelle, puis ils ont de la crainte. Quand leur esprit est éveillé, et leurs espoirs prometteurs, ils pensent que Dieu les agrée, car ils se sentent si haut, si "enclins aux choses célestes", si élevés au dessus de la terre! Mais quand leur âme est attachée â la poussière, ils sont victimes de leur crainte de ne plus être agréés. S’il leur était possible de voir que toutes leurs joies "élevées" ne les exaltent pas, et que tout leurs découragements "bas" ne les rabaissent pas réellement dans le regard de leur Père, mais qu’ils restent agréés en celui qui ne change jamais, en celui qui est toujours le bien aimé de Dieu, toujours parfait, toujours sans tache, ni ride ou autre chose de tel. Combien ils seraient plus heureux, et combien ils honoreraient davantage le Sauveur! Alors réjouis-toi, croyant, en cela: tu es agréé "dans le bien-aimé". Tu regardes intérieurement et tu dis, "il n’y a rien d’acceptable ici!" Mais regarde â Christ, et vois si tout n’est pas acceptable "lâ". Tes péchés te troublent, mais Dieu a jeté tes péchés derrière son dos, et tu es agréé dans le juste. Tu dois te battre avec la corruption, et lutter avec la tentation, mais tu es déjâ agréé par celui qui a surmonté les puissances de l’enfer. Le diable te tente; prend courage, il ne peut pas te détruire, car tu es agréé en celui qui a brisé la tête de Satan. Reconnaîs avec une pleine assurance ta glorieuse position. Même les âmes glorifiées ne sont pas plus agréées que tu l’es. Elles sont seulement acceptées dans les cieux "en le bien-aimé ", et tu es accepté même maintenant en Christ de la même manière.
#Am 6:1-Ob 1:21 * Lecture Quotidienne de la Bible
Lecture du soir Spurgeon 22-09-2017
22 septembre-Soir
Quand mon coeur est enseveli, conduis-moi sur le rocher qui est plus haut que moi. {#Ps 61:2}
La plupart d’entre nous, nous savons ce que veut dire d’avoir le coeur submergé, abattu, vidé comme lorsqu’un homme essuie un plat et le retourne ; submergé et drossé sur notre côté, dangereusement gîté tel un navire malmené par la tempête. La découverte de la corruption intérieure fera ce travail, si le Seigneur permet de voir la grande profondeur de notre perversité au point d’en être troublé, et d’y ajouter bourbier et saleté. Les désappointements et les brisements du coeur feront ceci, quand vague après vague la houle déferle sur nous, et nous sommes comme une coquille brisée, jetée ici et lâ par le ressac. Béni soit Dieu, que, dans de telles circonstances, nous ne sommes pas sans une consolation toute suffisante. Notre Dieu est le port de relâche des navires â voile battus de la tempête, l’hospice des pèlerins désolés. Il est plus haut que nous le sommes, sa grâce plus grande que nos péchés, son amour plus élevé que nos pensées. Il est déplorable de voir les hommes mettre leur confiance en quelque chose de plus bas qu’eux-mêmes; mais notre confiance est sur une extraordinaire Montagne. Qu’est pour nous notre glorieux Seigneur? Un rocher? Il l’est puisqu’il ne change pas, et un rocher élevé, puisque les tempêtes qui nous submergent déferlent loin sous ses pieds; il n’est point dérangé par elles, mais règne sur elles selon sa volonté. Si nous venons nous mettre â l’abri, sous le refuge de ce Rocher élevé, nous pourrons défier alors l’ouragan; tout est calme sous le vent de cette falaise dominante! Hélas! Telle est la confusion dans laquelle l’esprit troublé est souvent jeté, que nous avons besoin d’un pilotage vers ce divin refuge. C’est pourquoi la prière du texte présent: O Seigneur, notre Dieu, par le Saint-Esprit, enseigne-nous la voie de la foi, conduis-nous en ton repos! Le vent nous pousse vers le large, le gouvernail ne répond pas â notre faible main. Toi, et Toi seul peut nous faire prendre le cap pour franchir la barre parmi ces récifs et pour nous retrouver saufs, dans ton beau ciel. Combien nous sommes dépendants de toi. Nous avons besoin de toi pour nous amener â toi, être sagement dirigés et gouvernés dans la sécurité et la paix, c’est ton don, et le tien seul. Ce soir sois réjoui de communiquer librement avec tes serviteurs.
Quand mon coeur est enseveli, conduis-moi sur le rocher qui est plus haut que moi. {#Ps 61:2}
La plupart d’entre nous, nous savons ce que veut dire d’avoir le coeur submergé, abattu, vidé comme lorsqu’un homme essuie un plat et le retourne ; submergé et drossé sur notre côté, dangereusement gîté tel un navire malmené par la tempête. La découverte de la corruption intérieure fera ce travail, si le Seigneur permet de voir la grande profondeur de notre perversité au point d’en être troublé, et d’y ajouter bourbier et saleté. Les désappointements et les brisements du coeur feront ceci, quand vague après vague la houle déferle sur nous, et nous sommes comme une coquille brisée, jetée ici et lâ par le ressac. Béni soit Dieu, que, dans de telles circonstances, nous ne sommes pas sans une consolation toute suffisante. Notre Dieu est le port de relâche des navires â voile battus de la tempête, l’hospice des pèlerins désolés. Il est plus haut que nous le sommes, sa grâce plus grande que nos péchés, son amour plus élevé que nos pensées. Il est déplorable de voir les hommes mettre leur confiance en quelque chose de plus bas qu’eux-mêmes; mais notre confiance est sur une extraordinaire Montagne. Qu’est pour nous notre glorieux Seigneur? Un rocher? Il l’est puisqu’il ne change pas, et un rocher élevé, puisque les tempêtes qui nous submergent déferlent loin sous ses pieds; il n’est point dérangé par elles, mais règne sur elles selon sa volonté. Si nous venons nous mettre â l’abri, sous le refuge de ce Rocher élevé, nous pourrons défier alors l’ouragan; tout est calme sous le vent de cette falaise dominante! Hélas! Telle est la confusion dans laquelle l’esprit troublé est souvent jeté, que nous avons besoin d’un pilotage vers ce divin refuge. C’est pourquoi la prière du texte présent: O Seigneur, notre Dieu, par le Saint-Esprit, enseigne-nous la voie de la foi, conduis-nous en ton repos! Le vent nous pousse vers le large, le gouvernail ne répond pas â notre faible main. Toi, et Toi seul peut nous faire prendre le cap pour franchir la barre parmi ces récifs et pour nous retrouver saufs, dans ton beau ciel. Combien nous sommes dépendants de toi. Nous avons besoin de toi pour nous amener â toi, être sagement dirigés et gouvernés dans la sécurité et la paix, c’est ton don, et le tien seul. Ce soir sois réjoui de communiquer librement avec tes serviteurs.
vendredi 22 septembre 2017
Lecture du matin Spurgeon 22-09-2017
22 Septembre-Matin.
Qu’Israël se réjouisse en celui qui l’a créé! {#Ps 149:2}
Sois heureux dans ton coeur, croyant, mais prend soin que ta joie ait sa source "dans le Seigneur". Tu as une multitude de motifs de te réjouir dans ton Dieu, car tu peux chanter avec David, "Dieu ma joie et mon allégresse". Sois content que le Seigneur règne, que l’Eternel est roi! Réjouis-toi du fait qu’il est assis sur le trône, et règle toute chose! Chaque attribut de Dieu devrait devenir un nouveau rayon dans le soleil de ton allégresse. "Sa Sagesse" devrait nous rendre heureux, connaissant comme nous connaissons notre propre folie. "Sa Puissance" devrait nous réjouir, nous qui tremblons de notre propre faiblesse. "Son Eternité" devrait toujours être un sujet de joie, pour nous qui nous flétrissons comme l’herbe. "Sa Constance" devrait produire en nous une chanson perpétuelle, puisque nous changeons â tout moment. "Sa Grâce" dont il déborde, cette grâce dans l’alliance qu’il nous a donnée. Il nous appartient de nous purifier, de nous garder, de nous sanctifier, de nous perfectionner, de nous amener â la gloire; tout cela devrait tendre â nous rendre heureux en lui. Cette joie en Dieu est une rivière profonde, et tant que nous ne l’avons pas seulement touchée de près, nous connaissons peu de ses ruisseaux clairs, agréables, célestes, mais plus loin la profondeur est plus importante, et le courant plus impétueux dans sa joie. Le chrétien sent qu’il peut se délecter non seulement dans ce que Dieu est, mais aussi dans tout ce que Dieu "a fait" dans le passé. Les Psaumes nous montrent que le peuple de Dieu dans les temps anciens avait coutume de penser davantage aux actions de Dieu, et d’avoir un chant concernant chacune d’elles. Alors, que le peuple de Dieu répète maintenant les actions du Seigneur! Qu’il raconte ses actes puissants, et "chante au Seigneur, car il a triomphé glorieusement". Qu’il ne cesse jamais de chanter, car comme de nouveaux bienfaits coulent sur eux jour après jour, leur joie dans les actes d’amour du Seigneur, dans sa providence et dans sa grâce, devrait se montrer en actions de grâce soutenues. Soyez contents vous enfants de Sion et réjouissez vous dans le Seigneur votre Dieu.
#Am 1:1-5:27 * Lecture Quotidienne de la Bible
Qu’Israël se réjouisse en celui qui l’a créé! {#Ps 149:2}
Sois heureux dans ton coeur, croyant, mais prend soin que ta joie ait sa source "dans le Seigneur". Tu as une multitude de motifs de te réjouir dans ton Dieu, car tu peux chanter avec David, "Dieu ma joie et mon allégresse". Sois content que le Seigneur règne, que l’Eternel est roi! Réjouis-toi du fait qu’il est assis sur le trône, et règle toute chose! Chaque attribut de Dieu devrait devenir un nouveau rayon dans le soleil de ton allégresse. "Sa Sagesse" devrait nous rendre heureux, connaissant comme nous connaissons notre propre folie. "Sa Puissance" devrait nous réjouir, nous qui tremblons de notre propre faiblesse. "Son Eternité" devrait toujours être un sujet de joie, pour nous qui nous flétrissons comme l’herbe. "Sa Constance" devrait produire en nous une chanson perpétuelle, puisque nous changeons â tout moment. "Sa Grâce" dont il déborde, cette grâce dans l’alliance qu’il nous a donnée. Il nous appartient de nous purifier, de nous garder, de nous sanctifier, de nous perfectionner, de nous amener â la gloire; tout cela devrait tendre â nous rendre heureux en lui. Cette joie en Dieu est une rivière profonde, et tant que nous ne l’avons pas seulement touchée de près, nous connaissons peu de ses ruisseaux clairs, agréables, célestes, mais plus loin la profondeur est plus importante, et le courant plus impétueux dans sa joie. Le chrétien sent qu’il peut se délecter non seulement dans ce que Dieu est, mais aussi dans tout ce que Dieu "a fait" dans le passé. Les Psaumes nous montrent que le peuple de Dieu dans les temps anciens avait coutume de penser davantage aux actions de Dieu, et d’avoir un chant concernant chacune d’elles. Alors, que le peuple de Dieu répète maintenant les actions du Seigneur! Qu’il raconte ses actes puissants, et "chante au Seigneur, car il a triomphé glorieusement". Qu’il ne cesse jamais de chanter, car comme de nouveaux bienfaits coulent sur eux jour après jour, leur joie dans les actes d’amour du Seigneur, dans sa providence et dans sa grâce, devrait se montrer en actions de grâce soutenues. Soyez contents vous enfants de Sion et réjouissez vous dans le Seigneur votre Dieu.
#Am 1:1-5:27 * Lecture Quotidienne de la Bible
jeudi 21 septembre 2017
Lecture du soir Spurgeon 21-09-2017
21 Septembre-Soir
Ne réunis pas mon âme avec les pécheurs. {#Ps 26:9}
La crainte fit faire â David cette prière, car quelque chose chuchota, murmura, "Peut-être qu’après tout, tu peux être enlevé avec le méchant". Cette crainte, quoique dénaturée, gâtée par l’incrédulité, jaillit principalement d’une sainte anxiété, s’élevant du souvenir du péché du passé. Même l’homme pardonné s’informera: que se passerait-il si â la fin mes péchés étaient rappelés, et si j’étais effacé du livre des sauvés? Il se souvient de son présent futile, sans fruit, avec si peu de grâce, si peu d’amour, si peu de sainteté, et se tournant vers l’avenir, vers le futur, il considère sa faiblesse et ses nombreuses tentations qui l’assaillent, et il craint de tomber et devient une proie de l’ennemi. Une conviction de péché, un mal présent et ses corruptions dominantes, le contraignent â prier dans la crainte et le tremblement. N’enlève pas mon âme avec les pécheurs. Avez-vous les deux vertus que David possédait, extérieurement marchant dans l’intégrité, et intérieurement se confiant dans le Seigneur? Vous reposez-vous sur l’oeuvre du Sacrifice de Christ, et pouvez-vous faire le tour de l’autel de Dieu avec une humble espérance? S’il en est ainsi reposez rassurés: avec les méchants vous ne serez jamais réunis, car cette calamité est impossible. Au rassemblement au moment du jugement seront ensemble ceux qui se ressemblent. Ramassez ensemble d’abord les ivraies et liez-les en gerbes pour les brûler; mais amassez le blé dans mon aire. Si donc, tu es comme le peuple de Dieu, tu seras avec le peuple de Dieu. Vous ne pouvez pas être ramassés avec les méchants, car vous êtes trop chèrement rachetés par le sang de Christ. Vous lui appartenez pour toujours, et où il est, lâ doit être son peuple. Vous êtes trop aimés pour être rejetés avec les réprouvés. Un seul être cher â Christ périra-t-il? Impossible! L’enfer ne peut te retenir! Le ciel te réclame! Confie-toi dans ta garantie et ne crains pas!
Ne réunis pas mon âme avec les pécheurs. {#Ps 26:9}
La crainte fit faire â David cette prière, car quelque chose chuchota, murmura, "Peut-être qu’après tout, tu peux être enlevé avec le méchant". Cette crainte, quoique dénaturée, gâtée par l’incrédulité, jaillit principalement d’une sainte anxiété, s’élevant du souvenir du péché du passé. Même l’homme pardonné s’informera: que se passerait-il si â la fin mes péchés étaient rappelés, et si j’étais effacé du livre des sauvés? Il se souvient de son présent futile, sans fruit, avec si peu de grâce, si peu d’amour, si peu de sainteté, et se tournant vers l’avenir, vers le futur, il considère sa faiblesse et ses nombreuses tentations qui l’assaillent, et il craint de tomber et devient une proie de l’ennemi. Une conviction de péché, un mal présent et ses corruptions dominantes, le contraignent â prier dans la crainte et le tremblement. N’enlève pas mon âme avec les pécheurs. Avez-vous les deux vertus que David possédait, extérieurement marchant dans l’intégrité, et intérieurement se confiant dans le Seigneur? Vous reposez-vous sur l’oeuvre du Sacrifice de Christ, et pouvez-vous faire le tour de l’autel de Dieu avec une humble espérance? S’il en est ainsi reposez rassurés: avec les méchants vous ne serez jamais réunis, car cette calamité est impossible. Au rassemblement au moment du jugement seront ensemble ceux qui se ressemblent. Ramassez ensemble d’abord les ivraies et liez-les en gerbes pour les brûler; mais amassez le blé dans mon aire. Si donc, tu es comme le peuple de Dieu, tu seras avec le peuple de Dieu. Vous ne pouvez pas être ramassés avec les méchants, car vous êtes trop chèrement rachetés par le sang de Christ. Vous lui appartenez pour toujours, et où il est, lâ doit être son peuple. Vous êtes trop aimés pour être rejetés avec les réprouvés. Un seul être cher â Christ périra-t-il? Impossible! L’enfer ne peut te retenir! Le ciel te réclame! Confie-toi dans ta garantie et ne crains pas!
Lecture du matin Spurgeon 21-09-2017
21 Septembre-Matin.
Je prendrai plaisir â leur faire du bien, {#Jer 32:41}
Combien le plaisir que Dieu prend dans ses saints est réconfortant pour le croyant! Nous ne trouvons aucune raison en nous-mêmes en laquelle le Seigneur prendrait plaisir, car nous gémissons souvent, étant accablés, conscients de notre état de péché, et déplorant notre incrédulité; et nous craignons que le peuple de Dieu ne prenne pas beaucoup plaisir en nous, car il doit percevoir nos imperfections et nos bêtises; il peut davantage se lamenter sur nos infirmités, qu’admirer nos grâces. Mais nous aimons nous étendre sur cette vérité transcendante, ce mystère glorieux: de même que le marié se réjouit de la mariée, de même l’Eternel se réjouit de nous. Nous ne lisons nullement que Dieu se délecte dans les montagnes recouvertes de nuages, ou les étoiles étincelantes, mais nous lisons qu’il prend plaisir dans les parties habitées de la terre, et que ses délices sont avec les fils des hommes. Nous ne trouvons pas écrit que les anges donnent de la joie â son âme; il ne dit pas non plus concernant les chérubins et les séraphins: on t’appellera mon plaisir en elle, car l’Eternel met son plaisir en toi, mais il dit tout cela â de pauvres créatures déchues comme nous, dégradées et dépravées par le péché, mais sauvées, exaltées et glorifiées par sa grâce. Avec quel langage puissant il exprime son plaisir dans son peuple! Qui aurait pu concevoir de l’Eternel qu’il entonne une chanson? Il est encore écrit "Il fera de toi sa plus grande joie, il gardera le silence dans son amour, il aura pour toi des transports d’allégresse". Comme il considérait le monde qu’il avait fait, il dit "Cela est très bon"; mais quand il vit ceux qui sont le rachat du sang de Jésus, ceux qu’il avait choisis lui-même, ce fut comme si le grand coeur de l’Infini ne pouvait se retenir plus longtemps, mais déborda en exclamations de joie divines. Ne devrions-nous pas donner une réponse réconfortante â la merveilleuse déclaration de son amour, et chanter: "je me réjouirai dans le Seigneur, je prendrai plaisir dans le Dieu de mon salut"?
#Joe 1:1-3:21 * Lecture Quotidienne de la Bible
Je prendrai plaisir â leur faire du bien, {#Jer 32:41}
Combien le plaisir que Dieu prend dans ses saints est réconfortant pour le croyant! Nous ne trouvons aucune raison en nous-mêmes en laquelle le Seigneur prendrait plaisir, car nous gémissons souvent, étant accablés, conscients de notre état de péché, et déplorant notre incrédulité; et nous craignons que le peuple de Dieu ne prenne pas beaucoup plaisir en nous, car il doit percevoir nos imperfections et nos bêtises; il peut davantage se lamenter sur nos infirmités, qu’admirer nos grâces. Mais nous aimons nous étendre sur cette vérité transcendante, ce mystère glorieux: de même que le marié se réjouit de la mariée, de même l’Eternel se réjouit de nous. Nous ne lisons nullement que Dieu se délecte dans les montagnes recouvertes de nuages, ou les étoiles étincelantes, mais nous lisons qu’il prend plaisir dans les parties habitées de la terre, et que ses délices sont avec les fils des hommes. Nous ne trouvons pas écrit que les anges donnent de la joie â son âme; il ne dit pas non plus concernant les chérubins et les séraphins: on t’appellera mon plaisir en elle, car l’Eternel met son plaisir en toi, mais il dit tout cela â de pauvres créatures déchues comme nous, dégradées et dépravées par le péché, mais sauvées, exaltées et glorifiées par sa grâce. Avec quel langage puissant il exprime son plaisir dans son peuple! Qui aurait pu concevoir de l’Eternel qu’il entonne une chanson? Il est encore écrit "Il fera de toi sa plus grande joie, il gardera le silence dans son amour, il aura pour toi des transports d’allégresse". Comme il considérait le monde qu’il avait fait, il dit "Cela est très bon"; mais quand il vit ceux qui sont le rachat du sang de Jésus, ceux qu’il avait choisis lui-même, ce fut comme si le grand coeur de l’Infini ne pouvait se retenir plus longtemps, mais déborda en exclamations de joie divines. Ne devrions-nous pas donner une réponse réconfortante â la merveilleuse déclaration de son amour, et chanter: "je me réjouirai dans le Seigneur, je prendrai plaisir dans le Dieu de mon salut"?
#Joe 1:1-3:21 * Lecture Quotidienne de la Bible
mercredi 20 septembre 2017
Lecture du soir Spurgeon 20-09-2017
20 septembre-Soir
Et le soir ne laisse pas reposer ta main. {#Ec 11:6}
Au soir de la journée les occasions sont nombreuses, les hommes reviennent de leur travail, et le gagneur d’âmes, zélé, trouve le temps de parler au-dehors de l’amour de Jésus. N’ai-je pas â faire une oeuvre du soir pour Jésus ? Si je n’en ai pas, alors que je ne retienne plus ma main pour accomplir un service qui demande un effort important. Les pécheurs périssent par manque de connaissance; celui qui flâne peut s’attendre â trouver son vêtement rouge cramoisi du sang des âmes. Jésus livra ses deux mains aux clous. Comment puis-je garder les miennes sans les livrer â son oeuvre bénie? Nuit et jour il travailla durement et priait pour moi. Comment puis-je m’accorder une seule heure pour la flatterie de ma chair avec une certaine désinvolture? Debout coeur abusé et désoeuvré! Mets ta main â la pâte; mets-toi au travail; ou bien lève les pour prier! Le ciel et l’enfer sont en effervescence. Qu’il en soit ainsi pour toi, et ce soir sème la bonne semence pour le Seigneur ton Dieu. Le soir de la vie a aussi ses appels. La vie est si courte qu’un matin de vigueur de la race humaine, et un soir de déclin en constituent tout le reste. A certains, cela semble long, mais quelques francs sont beaucoup d’argent pour le pauvre homme.
La vie est si brève que personne n’a le droit d’en perdre un seul jour. Il a été bien dit que si un grand Roi nous apportait une grande moisson d’or, et qu’il nous invitait â en prendre autant que nous pourrions compter en un jour, nous en ferions un long jour. Nous commencerions de bonne heure le matin, et au soir nous ne laisserions pas reposer notre main alors que gagner des âmes est de loin l’oeuvre la plus noble. Comment se fait-il que si vite nous abandonnions? Certains sont épargnés et connaissent un long soir de vieillesse encore verte. Si tel est mon cas, que j’use de ces talents que je retiens encore aujourd’hui. Qu’en cette dernière heure, je serve mon fidèle Seigneur Béni!
Par sa grâce je veux mourir dans le harnais, et ne laisser ma charge qu’après avoir déposé mon corps. Les ans peuvent instruire le jeune, revigorer les désolés, encourager les découragés. Si la tombée du jour a moins de chaleur, elle peut avoir plus de sagesse; c’est pourquoi, quand viendra le soir, je ne laisserai pas reposer ma main.
Et le soir ne laisse pas reposer ta main. {#Ec 11:6}
Au soir de la journée les occasions sont nombreuses, les hommes reviennent de leur travail, et le gagneur d’âmes, zélé, trouve le temps de parler au-dehors de l’amour de Jésus. N’ai-je pas â faire une oeuvre du soir pour Jésus ? Si je n’en ai pas, alors que je ne retienne plus ma main pour accomplir un service qui demande un effort important. Les pécheurs périssent par manque de connaissance; celui qui flâne peut s’attendre â trouver son vêtement rouge cramoisi du sang des âmes. Jésus livra ses deux mains aux clous. Comment puis-je garder les miennes sans les livrer â son oeuvre bénie? Nuit et jour il travailla durement et priait pour moi. Comment puis-je m’accorder une seule heure pour la flatterie de ma chair avec une certaine désinvolture? Debout coeur abusé et désoeuvré! Mets ta main â la pâte; mets-toi au travail; ou bien lève les pour prier! Le ciel et l’enfer sont en effervescence. Qu’il en soit ainsi pour toi, et ce soir sème la bonne semence pour le Seigneur ton Dieu. Le soir de la vie a aussi ses appels. La vie est si courte qu’un matin de vigueur de la race humaine, et un soir de déclin en constituent tout le reste. A certains, cela semble long, mais quelques francs sont beaucoup d’argent pour le pauvre homme.
La vie est si brève que personne n’a le droit d’en perdre un seul jour. Il a été bien dit que si un grand Roi nous apportait une grande moisson d’or, et qu’il nous invitait â en prendre autant que nous pourrions compter en un jour, nous en ferions un long jour. Nous commencerions de bonne heure le matin, et au soir nous ne laisserions pas reposer notre main alors que gagner des âmes est de loin l’oeuvre la plus noble. Comment se fait-il que si vite nous abandonnions? Certains sont épargnés et connaissent un long soir de vieillesse encore verte. Si tel est mon cas, que j’use de ces talents que je retiens encore aujourd’hui. Qu’en cette dernière heure, je serve mon fidèle Seigneur Béni!
Par sa grâce je veux mourir dans le harnais, et ne laisser ma charge qu’après avoir déposé mon corps. Les ans peuvent instruire le jeune, revigorer les désolés, encourager les découragés. Si la tombée du jour a moins de chaleur, elle peut avoir plus de sagesse; c’est pourquoi, quand viendra le soir, je ne laisserai pas reposer ma main.
Lecture du matin Spurgeon 20-09-2017
20 Septembre-Matin.
Epée pour l’Eternel et pour Gédéon! {#Jud 7:20}
Gédéon a ordonné â ses hommes de faire deux choses: dissimulant un flambeau dans une cruche en terre, il leur ordonna, â un signal donné, de briser la cruche, de laisser briller la lumière, et ensuite de sonner de la trompette, criant "l’Epée pour l’Eternel, et pour Gédéon! l’Epée pour l’Eternel et pour Gédéon!" C’est précisément ce que tous les chrétiens doivent faire. Premièrement "tu dois briller"; brise la cruche qui cache ta lumière; jette â côté le boisseau qui cache ta chandelle, et brille. Que ta lumière brille devant les hommes; que tes bonnes oeuvres soient telles, que lorsque les hommes te regardent, ils sachent que tu es avec Jésus. Alors il doit y avoir "le son", le souffle de la trompette. Il doit y avoir des efforts actifs pour la récolte en proclamant Christ crucifié. Apporte-leur l’évangile, apporte le jusqu’â chez eux; met le sur leur chemin; ne supporte pas qu’ils y échappent; sonne de la trompette directement contre leur oreilles. Souviens-toi que le vrai cri de guerre de l’église est le mot d’ordre de Gédéon, "Epée pour l’Eternel et pour Gédéon!". Dieu doit le faire c’est son oeuvre. Mais nous ne devons pas être désoeuvrés; on doit utiliser: "Epée pour l’Eternel et pour Gédéon!". Si nous crions seulement "Epée pour l’Eternel" nous serons coupables d’une présomption de désoeuvrement; et si nous crions "Epée pour Gédéon!" tout seuls, nous manifesterons une confiance idolâtre â un bras de chair. Nous devons noter les deux en une harmonie raisonnable: "Epée pour l’Eternel et pour Gédéon". Nous ne pouvons rien faire par nous-mêmes, mais nous pouvons tout par le secours de notre Dieu; par conséquent en son nom, décidons-nous â sortir personnellement et â sortir avec notre torche flamboyante d’exemple saint, et avec notre trompette des sons d’une sérieuse déclaration, du témoignage, et Dieu sera avec nous; Madian sera dans la confusion, et le Seigneur des armées règnera â tout jamais.
#Ho 7:1-14:9 * Lecture Quotidienne de la Bible
Epée pour l’Eternel et pour Gédéon! {#Jud 7:20}
Gédéon a ordonné â ses hommes de faire deux choses: dissimulant un flambeau dans une cruche en terre, il leur ordonna, â un signal donné, de briser la cruche, de laisser briller la lumière, et ensuite de sonner de la trompette, criant "l’Epée pour l’Eternel, et pour Gédéon! l’Epée pour l’Eternel et pour Gédéon!" C’est précisément ce que tous les chrétiens doivent faire. Premièrement "tu dois briller"; brise la cruche qui cache ta lumière; jette â côté le boisseau qui cache ta chandelle, et brille. Que ta lumière brille devant les hommes; que tes bonnes oeuvres soient telles, que lorsque les hommes te regardent, ils sachent que tu es avec Jésus. Alors il doit y avoir "le son", le souffle de la trompette. Il doit y avoir des efforts actifs pour la récolte en proclamant Christ crucifié. Apporte-leur l’évangile, apporte le jusqu’â chez eux; met le sur leur chemin; ne supporte pas qu’ils y échappent; sonne de la trompette directement contre leur oreilles. Souviens-toi que le vrai cri de guerre de l’église est le mot d’ordre de Gédéon, "Epée pour l’Eternel et pour Gédéon!". Dieu doit le faire c’est son oeuvre. Mais nous ne devons pas être désoeuvrés; on doit utiliser: "Epée pour l’Eternel et pour Gédéon!". Si nous crions seulement "Epée pour l’Eternel" nous serons coupables d’une présomption de désoeuvrement; et si nous crions "Epée pour Gédéon!" tout seuls, nous manifesterons une confiance idolâtre â un bras de chair. Nous devons noter les deux en une harmonie raisonnable: "Epée pour l’Eternel et pour Gédéon". Nous ne pouvons rien faire par nous-mêmes, mais nous pouvons tout par le secours de notre Dieu; par conséquent en son nom, décidons-nous â sortir personnellement et â sortir avec notre torche flamboyante d’exemple saint, et avec notre trompette des sons d’une sérieuse déclaration, du témoignage, et Dieu sera avec nous; Madian sera dans la confusion, et le Seigneur des armées règnera â tout jamais.
#Ho 7:1-14:9 * Lecture Quotidienne de la Bible
mardi 19 septembre 2017
Lecture du soir Spurgeon 19-09-2017
C’était pour cet enfant que je priais. {#1Sa 1:27}
Les âmes pieuses se font un plaisir de jeter un regard sur les grâces qu’elles ont obtenues en réponse â leurs supplications, car elles peuvent y voir un trait spécial de l’amour de Dieu pour elles. Quand nous pouvons donner un nom â nos bénédictions, en les appelant Samuel (ce qui signifie "demandé â Dieu"), elles seront aussi chères â notre coeur que l’enfant d’Anne. Peninna eut plusieurs enfants, mais ils vinrent en tant que bénédictions du commun, non comme venant suite â la recherche dans la prière: "L’enfant donné du ciel" d’Anne était de loin le plus cher, parce qu’il était le fruit d’ardentes supplications et aussi, comme l’eau du puits fut douce â Samson en réponse â sa prière! Les coupes de Quassia donnent â toutes les eaux un goût amer, mais la coupe de la prière met de la douceur â chaque gorgée. Avons-nous prié pour la conversion de nos enfants? A quel point cela est doublement doux, quand ils sont sauvés, de voir en eux nos propres requêtes accomplies! On se réjouit mieux sur eux comme étant le fruit de nos plaidoiries que comme étant le fruit de nos corps. Avons-nous recherché du Seigneur un quelconque don spirituel de choix? Quand il viendra â nous, il sera drapé du vêtement d’or de la fidélité de Dieu et de sa vérité, et ainsi il sera doublement précieux. Avons-nous combattu dans la supplication pour l’oeuvre du Seigneur? Comme la prospérité qui vient sur les ailes de la prière est réjouissante! Le meilleur c’est toujours d’obtenir des bénédictions dans notre maison.
Dans notre vie légitime, par la porte de la prière, alors ce sont des bénédictions bien sûr, et non des tentations. De même, quand la prière n’est pas exaucée rapidement, les bénédictions s’enrichissent durant l’attente. L’enfant Jésus était au-dessus de tout le plus ravissant aux yeux de Marie quand elle le retrouva après l’avoir cherché dans l’angoisse. Celui que nous gagnons par la prière devrait être dédicacé â Dieu, comme Anne prêta Samuel. Le don vient du ciel, qu’il retourne au ciel. La prière l’apporta, la reconnaissance entonna un hymne sur lui; que la piété l’offre en retour! Voici ce sera une occasion de dire: je te donne ce qui vient de toi. Lecteur, ta prière est-elle persévérante ou bien est-elle empreinte de lassitude?
Lecture du matin Spurgeon 19-09-2017
19 Septembre-Matin.
C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis. {#Ga 5:1}
Cette "liberté" nous affranchit pour la charte des cieux. Voici un passage de choix, croyant, "Si tu traverses les eaux, je serai avec toi". Tu es affranchi pour cela. En voici un autre: "Quand les montagnes s’éloigneraient, quand les collines chancelleraient, mon amour ne s’éloignera point de toi". Tu es affranchi pour cela. Tu es un invité bienvenu â la table des promesses. L’Ecriture est un trésor sans faille rempli de provisions infinies de grâce. C’est la banque des cieux, tu peux en prendre autant qu’il te plaît sans permission et sans entrave. Viens par la foi et toutes bénédictions sont â ta disposition. Il n’y a pas une promesse dans la Parole qui sera supprimée. Dans les profondeurs des tribulations laisse cette liberté te consoler; au milieu des vagues de la détresse laisse-la t’encourager; quand la tristesse t’entoure, qu’elle soit ta consolation. C’est le témoignage de l’amour de ton Père, tu as un libre accès â cela â tout moment. Tu as aussi "un libre accès au trône de la grâce". C’est le privilège du croyant d’avoir accès â tout moment â son Père céleste, quelques soient nos désirs, nos difficultés, nos besoins, nous avons la liberté de tout déverser devant lui. Combien nous avons pu pécher importe peu, nous pouvons demander et nous attendre au pardon. Notre pauvreté ne signifie rien, nous pouvons invoquer sa promesse en ce qu’il pourvoira en toutes choses nécessaires. Nous avons la permission d’approcher de son trône â tout moment; â l’heure la plus sombre de la nuit, ou â la chaleur la plus brûlante de midi. Exerce ce droit, Croyant, et fait honneur â ton privilège. Tu as accès librement â tout ce qui est gardé précieusement en Christ: la sagesse, la justice, la sanctification et la Rédemption. Peu importe quel est ton besoin, car il y a une abondance de provision en Christ et c’est lâ "pour toi". O quelle liberté est la tienne! Affranchi de la condamnation, le libre accès aux promesses, au trône de la grâce et enfin la liberté d’entrer dans les cieux!
#Ho 1:1-6:11 * Lecture Quotidienne de la Bible
C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis. {#Ga 5:1}
Cette "liberté" nous affranchit pour la charte des cieux. Voici un passage de choix, croyant, "Si tu traverses les eaux, je serai avec toi". Tu es affranchi pour cela. En voici un autre: "Quand les montagnes s’éloigneraient, quand les collines chancelleraient, mon amour ne s’éloignera point de toi". Tu es affranchi pour cela. Tu es un invité bienvenu â la table des promesses. L’Ecriture est un trésor sans faille rempli de provisions infinies de grâce. C’est la banque des cieux, tu peux en prendre autant qu’il te plaît sans permission et sans entrave. Viens par la foi et toutes bénédictions sont â ta disposition. Il n’y a pas une promesse dans la Parole qui sera supprimée. Dans les profondeurs des tribulations laisse cette liberté te consoler; au milieu des vagues de la détresse laisse-la t’encourager; quand la tristesse t’entoure, qu’elle soit ta consolation. C’est le témoignage de l’amour de ton Père, tu as un libre accès â cela â tout moment. Tu as aussi "un libre accès au trône de la grâce". C’est le privilège du croyant d’avoir accès â tout moment â son Père céleste, quelques soient nos désirs, nos difficultés, nos besoins, nous avons la liberté de tout déverser devant lui. Combien nous avons pu pécher importe peu, nous pouvons demander et nous attendre au pardon. Notre pauvreté ne signifie rien, nous pouvons invoquer sa promesse en ce qu’il pourvoira en toutes choses nécessaires. Nous avons la permission d’approcher de son trône â tout moment; â l’heure la plus sombre de la nuit, ou â la chaleur la plus brûlante de midi. Exerce ce droit, Croyant, et fait honneur â ton privilège. Tu as accès librement â tout ce qui est gardé précieusement en Christ: la sagesse, la justice, la sanctification et la Rédemption. Peu importe quel est ton besoin, car il y a une abondance de provision en Christ et c’est lâ "pour toi". O quelle liberté est la tienne! Affranchi de la condamnation, le libre accès aux promesses, au trône de la grâce et enfin la liberté d’entrer dans les cieux!
#Ho 1:1-6:11 * Lecture Quotidienne de la Bible
Lecture du soir Spurgeon 18-09-2017
18 septembre-Soir
Et les brebis me suivent. {#Joh 10:27}
Nous devrions suivre notre Seigneur sans aucune hésitation comme les brebis suivent leur berger, car il a un droit sur nous pour nous conduire où il lui plaira. Nous ne sommes point â nous-mêmes et nous avons été rachetés â un grand prix. Reconnaissons les droits du Sang Rédempteur. Le soldat suit son capitaine, le serviteur obéit â son maître, â plus forte raison devons nous suivre notre rédempteur, pour qui nous sommes devenus une propriété acquise. Nous ne sommes pas vrais quand nous prétendons être des chrétiens si nous tergiversons, et n’obéissons pas au commandement de notre Maître et directeur. La soumission est notre devoir; notre hésitation, notre vouloir de savoir toujours le pourquoi, sont notre folie. Souvent notre Seigneur pourrait nous dire comme â Pierre: que t’importe, toi suis moi. Où que Jésus nous conduise, il marche devant nous. Si nous ne savons pas où nous allons, nous savons qui nous suivons. Avec un tel compagnon, qui ne vaincra pas les périls du chemin? Le voyage peut être long, mais Ses bras éternels nous porteront jusqu’â la fin. La présence de Jésus est l’assurance du Salut éternel et parce qu’il vit, nous vivrons aussi. Nous devrions suivre Christ en toute simplicité et dans la foi, parce que les chemins dans lesquels il nous conduit aboutissent tous â la gloire et â l’immortalité. Il est vrai qu’ils peuvent ne pas être doux, ils peuvent être couverts d’épreuves, de rocailles pointues, mais ils conduisent â la cité qui a de solides fondements, dont l’architecte et le constructeur est Dieu. Tous les chemins du Seigneur sont miséricorde et vérité pour ceux qui gardent son alliance. Puisque nous le connaissons, mettons en notre Maître notre pleine confiance, qu’advienne prospérité ou adversité, santé ou maladie, popularité ou mépris, son dessein viendra â sa fin, et ce plan sera pur, sans mélange, bon pour chaque héritier de la Grâce. Nous trouverons doux le chemin d’aller avec Christ sur le côté désertique de la colline; et quand il pleuvra et que la neige frappera notre visage, son cher amour nous rendra bien plus heureux que ceux qui sont assis â la maison et se réchauffent les mains devant le feu du monde. Au sommet de l’Amana, dans les repères des lions, ou sur les collines des léopards, nous suivrons notre bien-aimé. Précieux Jésus, entraîne nous â ta suite, et puissions-nous courir avec toi.
Et les brebis me suivent. {#Joh 10:27}
Nous devrions suivre notre Seigneur sans aucune hésitation comme les brebis suivent leur berger, car il a un droit sur nous pour nous conduire où il lui plaira. Nous ne sommes point â nous-mêmes et nous avons été rachetés â un grand prix. Reconnaissons les droits du Sang Rédempteur. Le soldat suit son capitaine, le serviteur obéit â son maître, â plus forte raison devons nous suivre notre rédempteur, pour qui nous sommes devenus une propriété acquise. Nous ne sommes pas vrais quand nous prétendons être des chrétiens si nous tergiversons, et n’obéissons pas au commandement de notre Maître et directeur. La soumission est notre devoir; notre hésitation, notre vouloir de savoir toujours le pourquoi, sont notre folie. Souvent notre Seigneur pourrait nous dire comme â Pierre: que t’importe, toi suis moi. Où que Jésus nous conduise, il marche devant nous. Si nous ne savons pas où nous allons, nous savons qui nous suivons. Avec un tel compagnon, qui ne vaincra pas les périls du chemin? Le voyage peut être long, mais Ses bras éternels nous porteront jusqu’â la fin. La présence de Jésus est l’assurance du Salut éternel et parce qu’il vit, nous vivrons aussi. Nous devrions suivre Christ en toute simplicité et dans la foi, parce que les chemins dans lesquels il nous conduit aboutissent tous â la gloire et â l’immortalité. Il est vrai qu’ils peuvent ne pas être doux, ils peuvent être couverts d’épreuves, de rocailles pointues, mais ils conduisent â la cité qui a de solides fondements, dont l’architecte et le constructeur est Dieu. Tous les chemins du Seigneur sont miséricorde et vérité pour ceux qui gardent son alliance. Puisque nous le connaissons, mettons en notre Maître notre pleine confiance, qu’advienne prospérité ou adversité, santé ou maladie, popularité ou mépris, son dessein viendra â sa fin, et ce plan sera pur, sans mélange, bon pour chaque héritier de la Grâce. Nous trouverons doux le chemin d’aller avec Christ sur le côté désertique de la colline; et quand il pleuvra et que la neige frappera notre visage, son cher amour nous rendra bien plus heureux que ceux qui sont assis â la maison et se réchauffent les mains devant le feu du monde. Au sommet de l’Amana, dans les repères des lions, ou sur les collines des léopards, nous suivrons notre bien-aimé. Précieux Jésus, entraîne nous â ta suite, et puissions-nous courir avec toi.
lundi 18 septembre 2017
Lecture du matin Spurgeon 18-09-2017
18 Septembre-Matin.
Si nous vivons par l’Esprit, marchons aussi selon l’Esprit. {#Ga 5:25}
Les deux choses les plus importantes sont "la vie par la foi" et "la marche par la foi". Celui qui comprend correctement ceci n’est pas loin d’être un maître en théologie expérimentale, car ce sont des points vitaux pour un chrétien. Vous ne trouverez jamais la vraie foi sans la vraie piété, d’autre part, vous ne découvrirez jamais une vie réellement sainte qui n’a pas comme racine une foi vivante, fondée sur la justice de Christ. Malheur â ceux qui cherchent l’un sans l’autre! Certains cultivent la foi et oublient la sainteté; ils peuvent être très élevés dans l’orthodoxie, mais ils seront très rabaissés â la condamnation, car ils tiennent la vérité dans l’injustice; et il y en a d’autres qui se sont évertués â avoir une vie sainte, mais ils ont renié la foi, comme les pharisiens dans le temps, de qui le Maître a dit qu’ils étaient des "sépulcres blanchis". Nous devons avoir la foi, car c’est le fondement; nous devons avoir la sainteté de vie, car c’est la superstructure. De quelle utilité est la simple fondation d’un immeuble pour un homme dans les jours de tempête? Peut-il s’y cacher? Il veut une maison pour le couvrir, ainsi qu’une fondation pour sa maison. De même nous avons besoin de la superstructure de la vie spirituelle si nous voulons être consolés dans les jours de doute. Mais ne cherchons pas une vie sainte sans foi, car ce serait ériger une maison qui ne peut pas offrir un abri permanent, car elle n’a pas de fondation sur le rocher. Que la foi et la vie soient associées, et, comme les deux arc-boutants d’une arche, elles rendront notre piété durable. Comme la lumière et la chaleur proviennent du même soleil, elles sont également pleines de bénédictions. Comme les deux piliers du temple, elles sont deux jets de la fontaine de grâce; deux lampes allumées avec le feu saint; deux oliviers arrosés par les soins célestes. Oh! Seigneur, donne nous aujourd’hui la vie au plus profond de notre être, et elle se révèlera elle-même extérieurement pour ta gloire.
#Da 10:1-12:13 * Lecture Quotidienne de la Bible
Si nous vivons par l’Esprit, marchons aussi selon l’Esprit. {#Ga 5:25}
Les deux choses les plus importantes sont "la vie par la foi" et "la marche par la foi". Celui qui comprend correctement ceci n’est pas loin d’être un maître en théologie expérimentale, car ce sont des points vitaux pour un chrétien. Vous ne trouverez jamais la vraie foi sans la vraie piété, d’autre part, vous ne découvrirez jamais une vie réellement sainte qui n’a pas comme racine une foi vivante, fondée sur la justice de Christ. Malheur â ceux qui cherchent l’un sans l’autre! Certains cultivent la foi et oublient la sainteté; ils peuvent être très élevés dans l’orthodoxie, mais ils seront très rabaissés â la condamnation, car ils tiennent la vérité dans l’injustice; et il y en a d’autres qui se sont évertués â avoir une vie sainte, mais ils ont renié la foi, comme les pharisiens dans le temps, de qui le Maître a dit qu’ils étaient des "sépulcres blanchis". Nous devons avoir la foi, car c’est le fondement; nous devons avoir la sainteté de vie, car c’est la superstructure. De quelle utilité est la simple fondation d’un immeuble pour un homme dans les jours de tempête? Peut-il s’y cacher? Il veut une maison pour le couvrir, ainsi qu’une fondation pour sa maison. De même nous avons besoin de la superstructure de la vie spirituelle si nous voulons être consolés dans les jours de doute. Mais ne cherchons pas une vie sainte sans foi, car ce serait ériger une maison qui ne peut pas offrir un abri permanent, car elle n’a pas de fondation sur le rocher. Que la foi et la vie soient associées, et, comme les deux arc-boutants d’une arche, elles rendront notre piété durable. Comme la lumière et la chaleur proviennent du même soleil, elles sont également pleines de bénédictions. Comme les deux piliers du temple, elles sont deux jets de la fontaine de grâce; deux lampes allumées avec le feu saint; deux oliviers arrosés par les soins célestes. Oh! Seigneur, donne nous aujourd’hui la vie au plus profond de notre être, et elle se révèlera elle-même extérieurement pour ta gloire.
#Da 10:1-12:13 * Lecture Quotidienne de la Bible
Lecture du soir Spurgeon 17-09-2017
17 septembre-Soir
Fortifie-le. {#De 1:38}
Dieu emploie son peuple â s’encourager mutuellement. Il n’avait pas dit â un ange, â Gabriel: mon serviteur Josué est sur le point de faire entrer mon peuple dans le pays de Canaan, va, encourage-le. Dieu n’accomplit pas inutilement des miracles; si son dessein peut être accompli par des moyens ordinaires, il n’opérera pas de miracle. Gabriel n’aurait pas été l’être adéquat pour l’oeuvre accomplie par Moïse. La sympathie, la compagnie fraternelle sont plus précieuses qu’une ambassade d’anges. L’ange au vol rapide, aurait mieux connu l’ordre du Maître que le mauvais tempérament du peuple, mais un ange n’a jamais expérimenté la dureté du chemin, ni vu les serpents brûlants, ni eu â conduire la multitude au cou roide dans le désert comme Moïse l’a fait. Nous devrions nous contenter de ce que Dieu généralement oeuvre pour l’homme par l’homme. Cela crée un lien de fraternité, et étant mutuellement dépendants l’un de l’autre, nous sommes fusionnés plus complètement dans une famille. Frère, prend le texte du message de Dieu pour toi. Travaille â secourir les autres, et spécialement efforce-toi â les encourager, parle tendrement au jeune et â l’âme anxieuse avec bonté, efforce-toi d’enlever les pierres d’achoppement sur son chemin. Quand se présente une étincelle de grâce dans le coeur, fléchis le genou et souffle-la, pousse-la dans la flamme. Permets au jeune croyant de découvrir la rudesse du chemin progressivement, mais parle-lui de la puissance qui demeure en Dieu, de la certitude de la promesse, et du charme de la communion avec Christ. Vise â réconforter celui qui est triste, et ranime le découragé. Prononce une parole dite â propos â celui qui est lassé, encourage ceux qui sont dans la crainte d’aller sur leur chemin joyeusement. Dieu vous encourage par ses promesses. Christ vous encourage comme Il a le regard vers le ciel et qu’Il a remporté pour vous la victoire, et l’Esprit vous encourage puisqu’il oeuvre â mettre en vous le vouloir et le faire selon son bon plaisir. Imite la sagesse divine, encourage les autres, selon la parole de ce soir.
Fortifie-le. {#De 1:38}
Dieu emploie son peuple â s’encourager mutuellement. Il n’avait pas dit â un ange, â Gabriel: mon serviteur Josué est sur le point de faire entrer mon peuple dans le pays de Canaan, va, encourage-le. Dieu n’accomplit pas inutilement des miracles; si son dessein peut être accompli par des moyens ordinaires, il n’opérera pas de miracle. Gabriel n’aurait pas été l’être adéquat pour l’oeuvre accomplie par Moïse. La sympathie, la compagnie fraternelle sont plus précieuses qu’une ambassade d’anges. L’ange au vol rapide, aurait mieux connu l’ordre du Maître que le mauvais tempérament du peuple, mais un ange n’a jamais expérimenté la dureté du chemin, ni vu les serpents brûlants, ni eu â conduire la multitude au cou roide dans le désert comme Moïse l’a fait. Nous devrions nous contenter de ce que Dieu généralement oeuvre pour l’homme par l’homme. Cela crée un lien de fraternité, et étant mutuellement dépendants l’un de l’autre, nous sommes fusionnés plus complètement dans une famille. Frère, prend le texte du message de Dieu pour toi. Travaille â secourir les autres, et spécialement efforce-toi â les encourager, parle tendrement au jeune et â l’âme anxieuse avec bonté, efforce-toi d’enlever les pierres d’achoppement sur son chemin. Quand se présente une étincelle de grâce dans le coeur, fléchis le genou et souffle-la, pousse-la dans la flamme. Permets au jeune croyant de découvrir la rudesse du chemin progressivement, mais parle-lui de la puissance qui demeure en Dieu, de la certitude de la promesse, et du charme de la communion avec Christ. Vise â réconforter celui qui est triste, et ranime le découragé. Prononce une parole dite â propos â celui qui est lassé, encourage ceux qui sont dans la crainte d’aller sur leur chemin joyeusement. Dieu vous encourage par ses promesses. Christ vous encourage comme Il a le regard vers le ciel et qu’Il a remporté pour vous la victoire, et l’Esprit vous encourage puisqu’il oeuvre â mettre en vous le vouloir et le faire selon son bon plaisir. Imite la sagesse divine, encourage les autres, selon la parole de ce soir.
dimanche 17 septembre 2017
Lecture du matin Spurgeon 17-09-2017
17 Septembre-Matin.
Amenez-le-moi. {#Mr 9:19}
Avec désespoir le pauvre père déçu se détourna des disciples pour leur Maître. Son fils était dans la pire des situations possibles, et tous les moyens avaient échoué mais le misérable enfant fut bientôt délivré du malin quand les parents, par la foi, obéirent â la parole du Seigneur Jésus, "Amenez-le moi". Les enfants sont un précieux cadeau de la part de Dieu, et beaucoup d’anxiété naît avec eux. Ils peuvent être une grande joie ou une grande amertume pour leurs parents; ils peuvent être remplis de l’Esprit de Dieu, ou possédés de l’esprit malin. Dans tous les cas, la parole de Dieu nous donne une solution acquise pour la guérison de toutes leurs maladies: "Amenez-le moi". Oh! encore plus de prières avec angoisse en leur nom pendant qu’ils sont encore de petits enfants! Le péché est lâ, que nos prières commencent â l’attaquer. Nos cris pour nos enfants devraient précéder ces cris qui témoignent de leur arrivée actuelle dans un monde de péchés. Dans les jours de leur jeunesse nous verrons de tristes signes de cet esprit sourd et muet qui ni ne priera d’une bonne manière, ni n’entendra la voix de Dieu dans son âme, mais Jésus commande toujours: "Amenez-le moi ". Lorsqu’ils ont grandi ils peuvent se vautrer dans le péché et écumer de haine contre Dieu; alors quand nos coeurs sont brisés nous devrions nous souvenir des paroles du Grand Médecin: "Amenez-le moi ". Nous ne devons jamais cesser de prier jusqu’â ce qu’ils cessent de vivre. Il n’y a aucun cas sans espoir, puisque que Jésus vit. Le Seigneur quelquefois permet que son peuple soit acculé afin qu’il puisse expérimenter combien il leur est nécessaire. Les enfants sans Dieu, lorsqu’ils nous montrent la dépravation de leurs coeurs, nous amènent â fuir vers le Fort pour la force, et ceci est une grande bénédiction pour nous. Quelques soient nos besoins du matin, laissons-le nous porter comme un courant fort vers l’océan de l’amour divin. Jésus peut bientôt nous ôter notre peine, il prend plaisir â nous consoler. Hâtons nous vers lui alors qu’il attend pour nous rencontrer.
#Da 7:1-9:27 * Lecture Quotidienne de la Bible
Amenez-le-moi. {#Mr 9:19}
Avec désespoir le pauvre père déçu se détourna des disciples pour leur Maître. Son fils était dans la pire des situations possibles, et tous les moyens avaient échoué mais le misérable enfant fut bientôt délivré du malin quand les parents, par la foi, obéirent â la parole du Seigneur Jésus, "Amenez-le moi". Les enfants sont un précieux cadeau de la part de Dieu, et beaucoup d’anxiété naît avec eux. Ils peuvent être une grande joie ou une grande amertume pour leurs parents; ils peuvent être remplis de l’Esprit de Dieu, ou possédés de l’esprit malin. Dans tous les cas, la parole de Dieu nous donne une solution acquise pour la guérison de toutes leurs maladies: "Amenez-le moi". Oh! encore plus de prières avec angoisse en leur nom pendant qu’ils sont encore de petits enfants! Le péché est lâ, que nos prières commencent â l’attaquer. Nos cris pour nos enfants devraient précéder ces cris qui témoignent de leur arrivée actuelle dans un monde de péchés. Dans les jours de leur jeunesse nous verrons de tristes signes de cet esprit sourd et muet qui ni ne priera d’une bonne manière, ni n’entendra la voix de Dieu dans son âme, mais Jésus commande toujours: "Amenez-le moi ". Lorsqu’ils ont grandi ils peuvent se vautrer dans le péché et écumer de haine contre Dieu; alors quand nos coeurs sont brisés nous devrions nous souvenir des paroles du Grand Médecin: "Amenez-le moi ". Nous ne devons jamais cesser de prier jusqu’â ce qu’ils cessent de vivre. Il n’y a aucun cas sans espoir, puisque que Jésus vit. Le Seigneur quelquefois permet que son peuple soit acculé afin qu’il puisse expérimenter combien il leur est nécessaire. Les enfants sans Dieu, lorsqu’ils nous montrent la dépravation de leurs coeurs, nous amènent â fuir vers le Fort pour la force, et ceci est une grande bénédiction pour nous. Quelques soient nos besoins du matin, laissons-le nous porter comme un courant fort vers l’océan de l’amour divin. Jésus peut bientôt nous ôter notre peine, il prend plaisir â nous consoler. Hâtons nous vers lui alors qu’il attend pour nous rencontrer.
#Da 7:1-9:27 * Lecture Quotidienne de la Bible
samedi 16 septembre 2017
Lecture du soir Spurgeon 16-09-2017
16 septembre-Soir
Suis-je une mer, ou un monstre marin, pour que tu établisses une garde autour de moi ?{#Job 7:12}
Ceci était une question étrange de la part de Job, insignifiant au point d’être si sévèrement observé et châtié, et sa recherche était naturelle pour un homme entouré de telles misères insupportables mais, après tout, capables de lui procurer une véritable réponse d’humilité. Il est vrai que l’homme n’est pas la mer mais il est pire et plus indiscipliné. La mer peut, avec la soumission, respecter ses limites, et quoiqu’il n’y ait qu’une ceinture de sable autour, elle ne franchit pas sa limite. Puissante comme elle est, elle écoute le "jusqu’ici" divin, et quand elle est la plus déchaînée par la tempête, elle respecte la parole. Mais l’homme, livré à lui-même, avec sa propre volonté, défie le ciel et oppresse la terre. Il n’y a point de fin à sa rage de rébellion. La mer obéit à l’attraction exercée par la lune. Les jusants et le flot lui font décrire une baisse et une montée d’une incessante régularité et ainsi rend témoignage d’une active aussi bien que passive obéissance. Mais l’homme, sans trêve ni repos, au delà de sa sphère, sommeille à l’intérieur des lignes du devoir, indolent là où il devrait être actif. Il ne viendra ni ne partira sur l’ordre divin mais, de mauvaise grâce, préfère faire ce qu’il ne devrait pas et abandonner inachevé ce à quoi il a été appelé. Chaque goutte de l’océan, chaque bulle perlée, et chaque flocon d’écume au goût de levure, chaque coquillage et caillou éprouve la puissance de la loi et cède ou se met en mouvement tout de suite.
Oh! que cette nature humaine puisse, ne serait-ce que d’un millième, se conformer à la volonté de Dieu! Nous appelons la mer changeante, fausse et trompeuse, mais pourtant combien elle est constante! Puisque depuis les jours de nos pères, et jadis avant eux, la mer est où elle était, frappant, déferlant sur les mêmes falaises avec la même mélodie. Nous savons où la trouver. Elle n’abandonne pas son lieu et elle ne varie pas dans son grondement perpétuel. Mais où est l’homme vain, l’homme changeant? L’homme sage peut-il estimer par quelle folie il sera prochainement séduit de son obéissance? Nous avons besoin de veiller davantage que les flots tumultueux de la mer, car nous sommes de loin bien plus rebelles.
Seigneur, enseigne-nous pour ta gloire. Amen.
Suis-je une mer, ou un monstre marin, pour que tu établisses une garde autour de moi ?{#Job 7:12}
Ceci était une question étrange de la part de Job, insignifiant au point d’être si sévèrement observé et châtié, et sa recherche était naturelle pour un homme entouré de telles misères insupportables mais, après tout, capables de lui procurer une véritable réponse d’humilité. Il est vrai que l’homme n’est pas la mer mais il est pire et plus indiscipliné. La mer peut, avec la soumission, respecter ses limites, et quoiqu’il n’y ait qu’une ceinture de sable autour, elle ne franchit pas sa limite. Puissante comme elle est, elle écoute le "jusqu’ici" divin, et quand elle est la plus déchaînée par la tempête, elle respecte la parole. Mais l’homme, livré à lui-même, avec sa propre volonté, défie le ciel et oppresse la terre. Il n’y a point de fin à sa rage de rébellion. La mer obéit à l’attraction exercée par la lune. Les jusants et le flot lui font décrire une baisse et une montée d’une incessante régularité et ainsi rend témoignage d’une active aussi bien que passive obéissance. Mais l’homme, sans trêve ni repos, au delà de sa sphère, sommeille à l’intérieur des lignes du devoir, indolent là où il devrait être actif. Il ne viendra ni ne partira sur l’ordre divin mais, de mauvaise grâce, préfère faire ce qu’il ne devrait pas et abandonner inachevé ce à quoi il a été appelé. Chaque goutte de l’océan, chaque bulle perlée, et chaque flocon d’écume au goût de levure, chaque coquillage et caillou éprouve la puissance de la loi et cède ou se met en mouvement tout de suite.
Oh! que cette nature humaine puisse, ne serait-ce que d’un millième, se conformer à la volonté de Dieu! Nous appelons la mer changeante, fausse et trompeuse, mais pourtant combien elle est constante! Puisque depuis les jours de nos pères, et jadis avant eux, la mer est où elle était, frappant, déferlant sur les mêmes falaises avec la même mélodie. Nous savons où la trouver. Elle n’abandonne pas son lieu et elle ne varie pas dans son grondement perpétuel. Mais où est l’homme vain, l’homme changeant? L’homme sage peut-il estimer par quelle folie il sera prochainement séduit de son obéissance? Nous avons besoin de veiller davantage que les flots tumultueux de la mer, car nous sommes de loin bien plus rebelles.
Seigneur, enseigne-nous pour ta gloire. Amen.
Lecture du matin Spurgeon 16-09-2017
16 Septembre-Matin.
Participants de la nature divine, {#2Pe 1:4}
Etre un participant de la nature divine n’est pas, bien sûr, devenir Dieu. Cela est impossible. La nature de la Déité n’est pas en ce que la créature y participe. Entre la créature et le Créateur il doit toujours y avoir un gouffre fixé dans le respect de la nature; mais de même que le premier homme Adam a été fait â l’image de Dieu, nous par le renouvellement du Saint Esprit, nous sommes-dans un néanmoins sens divin-faits â l’image du très haut, et nous sommes participants de la nature divine. Nous sommes, par grâce, faits comme Dieu. "Dieu est amour" nous devenons amour; "Quiconque aime est né de Dieu". Dieu est la vérité; nous devenons vrais, et nous aimons ce qui est vrai; Dieu est bon, il nous rend bons par sa grâce, afin que nous soyons de ceux qui ont le coeur pur et qui verront Dieu. Qui plus est, nous devenons participants de la nature divine dans un sens plus élevé que celui-ci; un sens si élevé qu’on ne peut le concevoir, l’imaginer, notre être est absolument divin. Ne devient-on pas des membres du corps de la divine personne de Christ? Oui le même sang qui coule dans la tête, coule dans la main: la même vie qui anime Christ anime son peuple, car "vous êtes morts, votre vie est cachée avec Christ en Dieu". Et comme si cela n’était pas assez, nous sommes mariés â Christ. Il nous a fiancés â lui par la droiture et la fidélité, et lui qui est uni â l’Eternel est un seul esprit. Oh! merveilleux mystère! Nous l’étudions mais qui le comprendra? Un avec Jésus , tellement un avec lui que le cep n’est pas plus un avec la vigne que nous sommes une part du Seigneur, notre Sauveur, et notre Rédempteur! Alors que nous nous sommes réjouis en cela, souvenons-nous que ceux qui sont faits participants de la nature divine manifesteront leurs liens profonds et saints dans leurs relations avec les autres, et par leur marche et conversation de chaque jour, qu’il soit évident qu’ils se sont échappés de la corruption qui est dans le monde par le moyen de la luxure. Oh! Pour davantage de sainteté divine dans la vie!
#Da 4:1-6:28 * Lecture Quotidienne de la Bible
Participants de la nature divine, {#2Pe 1:4}
Etre un participant de la nature divine n’est pas, bien sûr, devenir Dieu. Cela est impossible. La nature de la Déité n’est pas en ce que la créature y participe. Entre la créature et le Créateur il doit toujours y avoir un gouffre fixé dans le respect de la nature; mais de même que le premier homme Adam a été fait â l’image de Dieu, nous par le renouvellement du Saint Esprit, nous sommes-dans un néanmoins sens divin-faits â l’image du très haut, et nous sommes participants de la nature divine. Nous sommes, par grâce, faits comme Dieu. "Dieu est amour" nous devenons amour; "Quiconque aime est né de Dieu". Dieu est la vérité; nous devenons vrais, et nous aimons ce qui est vrai; Dieu est bon, il nous rend bons par sa grâce, afin que nous soyons de ceux qui ont le coeur pur et qui verront Dieu. Qui plus est, nous devenons participants de la nature divine dans un sens plus élevé que celui-ci; un sens si élevé qu’on ne peut le concevoir, l’imaginer, notre être est absolument divin. Ne devient-on pas des membres du corps de la divine personne de Christ? Oui le même sang qui coule dans la tête, coule dans la main: la même vie qui anime Christ anime son peuple, car "vous êtes morts, votre vie est cachée avec Christ en Dieu". Et comme si cela n’était pas assez, nous sommes mariés â Christ. Il nous a fiancés â lui par la droiture et la fidélité, et lui qui est uni â l’Eternel est un seul esprit. Oh! merveilleux mystère! Nous l’étudions mais qui le comprendra? Un avec Jésus , tellement un avec lui que le cep n’est pas plus un avec la vigne que nous sommes une part du Seigneur, notre Sauveur, et notre Rédempteur! Alors que nous nous sommes réjouis en cela, souvenons-nous que ceux qui sont faits participants de la nature divine manifesteront leurs liens profonds et saints dans leurs relations avec les autres, et par leur marche et conversation de chaque jour, qu’il soit évident qu’ils se sont échappés de la corruption qui est dans le monde par le moyen de la luxure. Oh! Pour davantage de sainteté divine dans la vie!
#Da 4:1-6:28 * Lecture Quotidienne de la Bible
vendredi 15 septembre 2017
Lecture du soir Spurgeon 15-09-2017
15 Septembre-Soir.
Du peuple qui est près de lui. {#Ps 148:14}
La dispensation de l’ancienne alliance était celle de la distance. Lorsque Dieu a paru même â son serviteur Moïse, il a dit, "N’approche pas plus près: enlève tes chaussures de tes pieds"; et quand il s’est manifesté sur le Mont Sinaï, â son peuple choisi et mis â part, un de ses premiers ordres fut: "Fixe des limites autour de la montagne". Dans l’adoration sacrée du tabernacle et du temple, la notion de distance était toujours proéminente. Le commun du peuple ne devait même pas dépasser le parvis extérieur. Dans le parvis intérieur nul autre que les sacrificateurs ne pouvait oser pénétrer; Tandis que dans le lieu le plus intérieur, ou le saint des saints, le souverain sacrificateur n’entrait qu’une fois par an. C’était comme si le Seigneur, dans ces temps anciens, voulait enseigner â l’homme que le péché lui était si totalement en horreur, qu’il devait traiter les hommes comme des lépreux chassés hors du camp; et quand il est venu plus près d’eux, il leur a alors fait ressentir la largeur de la séparation entre un Dieu saint et un pécheur impur. Quand l’évangile est venu, nous avons été placés dans une toute autre situation. Le mot "Va" fut changé en "Viens"; la distance a fait place â la proximité, et nous qui autrefois étions loin, nous sommes devenus proches par le sang de Jésus-Christ. Le Verbe incarné n’a pas de mur de feu autour de lui. "Venez â moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos," est la proclamation joyeuse de Dieu lorsqu’il est venu dans un corps humain. Il n’enseigne pas le lépreux en le tenant â distance, mais en souffrant lui-même la peine de sa souillure. Quel état de sécurité et quel privilège que d’être â proximité de Dieu au travers de Jésus! Savez-vous cela par expérience? Si vous le savez, vivez-vous dans le pouvoir de cela? Merveilleuse est cette proximité, cependant elle doit être suivie par une dispensation d’une encore plus grande proximité, quand il sera dit: "Le tabernacle de Dieu est avec les hommes, et il demeure parmi eux". Hâte-toi, O Seigneur.
Du peuple qui est près de lui. {#Ps 148:14}
La dispensation de l’ancienne alliance était celle de la distance. Lorsque Dieu a paru même â son serviteur Moïse, il a dit, "N’approche pas plus près: enlève tes chaussures de tes pieds"; et quand il s’est manifesté sur le Mont Sinaï, â son peuple choisi et mis â part, un de ses premiers ordres fut: "Fixe des limites autour de la montagne". Dans l’adoration sacrée du tabernacle et du temple, la notion de distance était toujours proéminente. Le commun du peuple ne devait même pas dépasser le parvis extérieur. Dans le parvis intérieur nul autre que les sacrificateurs ne pouvait oser pénétrer; Tandis que dans le lieu le plus intérieur, ou le saint des saints, le souverain sacrificateur n’entrait qu’une fois par an. C’était comme si le Seigneur, dans ces temps anciens, voulait enseigner â l’homme que le péché lui était si totalement en horreur, qu’il devait traiter les hommes comme des lépreux chassés hors du camp; et quand il est venu plus près d’eux, il leur a alors fait ressentir la largeur de la séparation entre un Dieu saint et un pécheur impur. Quand l’évangile est venu, nous avons été placés dans une toute autre situation. Le mot "Va" fut changé en "Viens"; la distance a fait place â la proximité, et nous qui autrefois étions loin, nous sommes devenus proches par le sang de Jésus-Christ. Le Verbe incarné n’a pas de mur de feu autour de lui. "Venez â moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos," est la proclamation joyeuse de Dieu lorsqu’il est venu dans un corps humain. Il n’enseigne pas le lépreux en le tenant â distance, mais en souffrant lui-même la peine de sa souillure. Quel état de sécurité et quel privilège que d’être â proximité de Dieu au travers de Jésus! Savez-vous cela par expérience? Si vous le savez, vivez-vous dans le pouvoir de cela? Merveilleuse est cette proximité, cependant elle doit être suivie par une dispensation d’une encore plus grande proximité, quand il sera dit: "Le tabernacle de Dieu est avec les hommes, et il demeure parmi eux". Hâte-toi, O Seigneur.
Lecture du matin Spurgeon 15-09-2017
15 Septembre-Matin.
Il ne craint point les mauvaises nouvelles; {#Ps 112:7}
Chrétien, vous ne devez pas redouter l’arrivée de mauvaises nouvelles; parce que si ces nouvelles vous affligent, que faites-vous de plus que les autres hommes? Les autres hommes n’ont pas votre Dieu pour pouvoir y chercher refuge; ils n’ont jamais éprouvé sa fidélité comme vous l’avez fait, et il n’est pas étonnant qu’ils soient abattus â la moindre alarme et rendus muets par la crainte: mais vous professez être d’un autre esprit; vous êtes nés de nouveau â une espérance vivante, et votre coeur vit dans le ciel et non sur les choses terrestres; maintenant, si l’on vous voit vous affoler comme les autres hommes, quelle est la valeur de cette grâce que vous professez avoir reçue? Où est la dignité de cette nouvelle nature que vous affirmez posséder? Et puis, si vous êtes rempli de crainte, comme le sont les autres, vous serez sans aucun doute conduit vers les péchés si communs aux autres dans les moments d’épreuves. Les impies, quand ils ont connaissance de mauvaises nouvelles, se rebellent contre Dieu; ils murmurent, et pensent que Dieu agit durement envers eux. Est-ce que vous tomberez dans le même péché? Voudriez-vous provoquer le Seigneur comme ils le font? D’ailleurs, les hommes inconvertis courent souvent vers le mal pour échapper aux difficultés, et vous seriez certain d’en faire autant si votre esprit cédait â la pression du moment. Ayez confiance dans le Seigneur, et attendez-vous patiemment â lui. La manière la plus sage est de faire comme Moïse a fait â la Mer Rouge, "restez en place et voyez comment l’Eternel va vous sauver aujourd’hui". Car si vous laissez libre cours â la peur quand vous entendez parler de mauvaises nouvelles, vous serez incapable de rencontrer le trouble avec ce calme que nécessite votre devoir, et qui vous soutient dans l’adversité. Comment pouvez-vous glorifier Dieu si vous agissez comme un lâche? Les Saints ont souvent chanté les hautes louanges de Dieu lorsqu’ils étaient dans les flammes, mais est-ce que vos doutes et vos agissements, comme si vous n’aviez personne pour vous aider, magnifient le Très-Haut? Prenez alors courage, et plaçant votre confiance sur la fidélité de votre Dieu de l’alliance, ne permettez pas que votre coeur soit troublé.
#Da 1:1-4:37 * Lecture Quotidienne de la Bible
Il ne craint point les mauvaises nouvelles; {#Ps 112:7}
Chrétien, vous ne devez pas redouter l’arrivée de mauvaises nouvelles; parce que si ces nouvelles vous affligent, que faites-vous de plus que les autres hommes? Les autres hommes n’ont pas votre Dieu pour pouvoir y chercher refuge; ils n’ont jamais éprouvé sa fidélité comme vous l’avez fait, et il n’est pas étonnant qu’ils soient abattus â la moindre alarme et rendus muets par la crainte: mais vous professez être d’un autre esprit; vous êtes nés de nouveau â une espérance vivante, et votre coeur vit dans le ciel et non sur les choses terrestres; maintenant, si l’on vous voit vous affoler comme les autres hommes, quelle est la valeur de cette grâce que vous professez avoir reçue? Où est la dignité de cette nouvelle nature que vous affirmez posséder? Et puis, si vous êtes rempli de crainte, comme le sont les autres, vous serez sans aucun doute conduit vers les péchés si communs aux autres dans les moments d’épreuves. Les impies, quand ils ont connaissance de mauvaises nouvelles, se rebellent contre Dieu; ils murmurent, et pensent que Dieu agit durement envers eux. Est-ce que vous tomberez dans le même péché? Voudriez-vous provoquer le Seigneur comme ils le font? D’ailleurs, les hommes inconvertis courent souvent vers le mal pour échapper aux difficultés, et vous seriez certain d’en faire autant si votre esprit cédait â la pression du moment. Ayez confiance dans le Seigneur, et attendez-vous patiemment â lui. La manière la plus sage est de faire comme Moïse a fait â la Mer Rouge, "restez en place et voyez comment l’Eternel va vous sauver aujourd’hui". Car si vous laissez libre cours â la peur quand vous entendez parler de mauvaises nouvelles, vous serez incapable de rencontrer le trouble avec ce calme que nécessite votre devoir, et qui vous soutient dans l’adversité. Comment pouvez-vous glorifier Dieu si vous agissez comme un lâche? Les Saints ont souvent chanté les hautes louanges de Dieu lorsqu’ils étaient dans les flammes, mais est-ce que vos doutes et vos agissements, comme si vous n’aviez personne pour vous aider, magnifient le Très-Haut? Prenez alors courage, et plaçant votre confiance sur la fidélité de votre Dieu de l’alliance, ne permettez pas que votre coeur soit troublé.
#Da 1:1-4:37 * Lecture Quotidienne de la Bible
Lecture du soir Spurgeon 14-09-2017
14 Septembre- Soir.
Je t’ai fait connaître mon péché, je n’ai pas caché mon iniquité; J’ai dit: J’avouerai mes transgressions â l’Eternel! Et tu as effacé la peine de mon péché. {#Ps 32:5}
Le chagrin de David pour avoir péché était amer. Ses effets étaient visibles sur toute son apparence: "ses os ont vieilli"; sa sève s’est transformée en sécheresse de l’été. Il ne pouvait trouver aucun remède, jusqu’â ce qu’il ait fait une confession entière devant le trône de la grâce céleste. Il nous dit que pour un temps il a gardé le silence, et son coeur est devenu de plus en plus rempli de chagrin: comme un petit lac de montagne dont le déversoir est bouché, son âme s’est enflée avec des torrents de peine. Il a trouvé des excuses; il a tenté de détourner ses pensées, mais cela sans aucun résultat; comme une plaie envenimée son angoisse a grandie, et tant qu’il n’a pas utilisé le scalpel de la confession, son esprit était rempli de tourment, et ne connaissait pas le repos. Enfin il est venu â cela, il doit revenir â son Dieu dans une humble pénitence, ou mourir complètement; il s’est donc hâté vers le propitiatoire, et a ouvert lâ le livre de ses iniquités devant le Dieu omniscient, reconnaissant tout le mal de ses voies dans un langage tel que celui que vous avez pu lire dans le Psaume 51 et les autres Psaumes de contrition. Ayant fait ceci, une chose bien simple et pourtant si difficile â faire pour un orgueilleux, il a reçu immédiatement le signe du pardon divin; les os qui avaient été brisés ont pu de nouveau se réjouir, et David est revenu de sa chambre pour chanter la béatitude de l’homme dont la transgression est pardonnée. Voyez la valeur de ce qu’apporte la grâce de la confession du péché! Ceci n’a pas de prix, car â chaque fois qu’il y a une confession authentique, la miséricorde est librement donnée, non pas parce que le repentir et la confession méritent la miséricorde, mais pour l’amour de Christ. Béni soit Dieu, il y a toujours une guérison pour le coeur brisé; la fontaine coule en permanence pour nous purifier de nos péchés. Vraiment, O Seigneur, tu es un Dieu "prêt â pardonner"! Et donc nous reconnaissons nos iniquités.
Je t’ai fait connaître mon péché, je n’ai pas caché mon iniquité; J’ai dit: J’avouerai mes transgressions â l’Eternel! Et tu as effacé la peine de mon péché. {#Ps 32:5}
Le chagrin de David pour avoir péché était amer. Ses effets étaient visibles sur toute son apparence: "ses os ont vieilli"; sa sève s’est transformée en sécheresse de l’été. Il ne pouvait trouver aucun remède, jusqu’â ce qu’il ait fait une confession entière devant le trône de la grâce céleste. Il nous dit que pour un temps il a gardé le silence, et son coeur est devenu de plus en plus rempli de chagrin: comme un petit lac de montagne dont le déversoir est bouché, son âme s’est enflée avec des torrents de peine. Il a trouvé des excuses; il a tenté de détourner ses pensées, mais cela sans aucun résultat; comme une plaie envenimée son angoisse a grandie, et tant qu’il n’a pas utilisé le scalpel de la confession, son esprit était rempli de tourment, et ne connaissait pas le repos. Enfin il est venu â cela, il doit revenir â son Dieu dans une humble pénitence, ou mourir complètement; il s’est donc hâté vers le propitiatoire, et a ouvert lâ le livre de ses iniquités devant le Dieu omniscient, reconnaissant tout le mal de ses voies dans un langage tel que celui que vous avez pu lire dans le Psaume 51 et les autres Psaumes de contrition. Ayant fait ceci, une chose bien simple et pourtant si difficile â faire pour un orgueilleux, il a reçu immédiatement le signe du pardon divin; les os qui avaient été brisés ont pu de nouveau se réjouir, et David est revenu de sa chambre pour chanter la béatitude de l’homme dont la transgression est pardonnée. Voyez la valeur de ce qu’apporte la grâce de la confession du péché! Ceci n’a pas de prix, car â chaque fois qu’il y a une confession authentique, la miséricorde est librement donnée, non pas parce que le repentir et la confession méritent la miséricorde, mais pour l’amour de Christ. Béni soit Dieu, il y a toujours une guérison pour le coeur brisé; la fontaine coule en permanence pour nous purifier de nos péchés. Vraiment, O Seigneur, tu es un Dieu "prêt â pardonner"! Et donc nous reconnaissons nos iniquités.
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